Mise à jour : On a trouvé un Winora Yukatan X12 qui semble convenir parfaitement à notre recherche.
Je cherche un vélo à assistance électrique pour partir en rando avec une personne lourde peu sportive et ses sacoches, idéalement jusqu’à 60 km au moins pour des étapes vallonnées avec des montées ponctuelles de 10%, en été sur des chemins cyclables terre et bitume.
Évidemment, l’investissement servira aussi pour le quotidien en ville et en balade le week-end mais les contraintes y sont plus faibles.
Sans avoir épluché toutes les marques, pour l’instant je trouve ce qui suit. Je mettrai à jour la liste au fur et à mesure.
Il y a des Lapierre et des Gazelle qui pourraient correspondre mais ils n’indiquent pas le poids total autorisé, ce qui ne m’incite pas à croire qu’il est au-dessus des 130 kg.
Mes critères
Un poids total autorisée d’au moins 145 kg (95 kg de cycliste + 20 à 25 kg de bagages et accessoires + 25 à 30 kg de vélo et batterie)
Une autonomie constructeur d’au moins 100 km. C’est calculé à plat sur bitume en mode éco avec une personne de 70 kg sans bagages, donc c’est ce que je prévois pour 50 km de mon cas réel.
Un moteur avec un couple de plus de 60 Nm, pour tenir des montées avec le poids anticipé et une bonne assistance.
Un développement minimum de moins de 2,2 mètres. Ça me parait déjà élevé mais je précise parce que je vois des VAE avec un développement minimum plus proche des 3 mètres.
Et le prix ? Pour l’instant je ne filtre pas, pour d’abord voir le nécessaire. J’ai en réalité peur que même le premier prix soit démesuré : On a de quoi se payer des vacances tout inclus plusieurs années pour ce prix.
Je crois que c’est un des points contre-intuitif les plus mal connus sur le poids environnemental :
Acheter localement n’est pas forcément plus respectueux vis-a-vis des enjeux climatiques.
Je ne dis pas non, je dis « c’est plus compliqué que ça ».
Le transport maritime par conteneur est extrêmement optimisé. On parle de 3 grammes équivalent CO2 par kilomètre soit 60 kg équivalent CO2 la tonne à transporter sur un Shangaï – Rotterdam de 20 000 km par le canal de Suez. Votre paquet de 1 kg va consommer 60 grammes équivalent CO2 pour son trajet.
On peut aussi comparer au volume. Le transporteur nous dit qu’un TEU (conteneur de 20 pieds) de 38,5 m3 coûtera entre 0,8 et 0,9 tonne équivalent CO2 pour le trajet. Votre paquet de 30×20×15 cm va consommer 210 grammes équivalent CO2 pour son trajet.
Il n’y a pas de petit gain mais on parle là au mieux de l’équivalent de 1 km en voiture ou d’une bouteille d’eau en plastique. C’est probablement totalement insignifiant sur le coût équivalent CO2 de ce que vous achetez.
Si vous devez faire un trajet spécifique via les transports en commun (bus) pour favoriser le produit en Europe, vous êtes probablement déjà perdants.
Si votre producteur local fait des petits volumes, même géographiquement très proche de vous, il émettra peut-être même plus d’équivalent CO2 que celui qui fait venir de gros volumes par bateau depuis l’Asie du sud.
Pourquoi ai-je dit que c’était plus complexe ? Parce que les normes environnementales des différents pays ne sont pas forcément les mêmes, ni leur mix de production électrique, ni le moyen de transport de leurs employés, ni le besoin de chauffage de l’usine, ni la norme d’intensité d’éclairage, ni la productivité de l’usine, ni les volumes en jeu et leurs effets d’optimisation, ni… et considérant le faible coût CO2 dont on parle, n’importe quel critère annexe peut avoir 10 ou 100 fois plus d’impact d’un côté ou de l’autre.
Je me suis acheté un vélo hors de prix il y a maintenant deux ans.
Si j’exclus les vélos d’enfant, mon seul autre vélo a été un VTC BTwin moyen de gamme acheté il y a maintenant presque 20 ans. Achat utilitaire pour un voyage autour de la Loire, je n’ai jamais eu d’accroche avec, au contraire.
Là c’était mon premier vrai vélo plaisir. J’ai mis des mois ou plus à me décider, à trouver ce que je voulais, et à le trouver sur le marché en pleine crise covid.
Me payer un vélo à ce prix là n’allait pas de soi pour moi, mais le super haut de gamme était un peu la condition pour que je transforme mes trajets sans y aller en contrainte morale pénible. C’était aussi le retour à des trajets domicile-travail et je ne voulais pas qu’ils soient vécus négativement.
Le prix restait un peu un excès dont je n’étais pas si fier. Aujourd’hui j’ai un poids qui part : J’ai remboursé mon vélo en évitant 70 € de transport en commun chaque mois pendant 25 mois. Aujourd’hui je peux dire qu’au final il ne m’a rien coûté et que c’était raisonnable. Si vous me connaissez vous savez à quel point c’est un critère fort pour moi.
Peut-être que ça aurait aussi fonctionné avec un vélo deux fois moins cher. Peut-être aussi que je n’aurais pas eu la même affinité et que je ne l’aurais pas sorti aussi facilement.
Au-delà de la question financière c’est aussi ça le vrai retour : Je ne prends plus que le vélo. C’est un confort par rapport à la voiture mais aussi par rapport aux transports en commun, et ça qu’il pleuve ou qu’il vente. C’est au point où je me demande comment je faisais avant.
Ma seule complainte, j’en ai toujours, c’est mon manque d’autonomie pour son entretien. Ca viendra.
On m’a prêté une ancienne Ortlieb back-roller plus CR, une ancienne Vaude aqua back. De mon côté j’avais des anciennes sacoches à rabat premier prix 2005 de Go Sport, plus petites que les sacoches Ortlieb ou Vaude mais rectangulaires plutôt qu’en cône, et avec une poche sacrément volumineuse sur le dessus.
Ortlieb back-roller plus CR
Le protocole
Test absolument non scientifique et totalement subjectif, j’ai simplement bourré les sacoches à tour de rôle avec des serviettes éponge pour voir laquelle contenait plus.
Vaude acqua back
Les sacoches 20 à 25 litres
Le résultat que j’avais lu et que je voulais vérifier : Les Ortlieb titrées à 20 litres et les Vaude titrées à 24 litres contiennent grosso modo la même chose en pratique. La Ortlieb semblait même avoir un peu de marge.
Nouvelles Ortlieb back-roller plus
Les deux contenaient un peu moins que mes anciennes Go Sport si on compte la poche supérieure. Un peu décevant sachant que mes anciennes pèsent moins de 500 grammes l’une, à comparer aux 840 et 970 grammes des Ortlieb et Vaude. L’imperméabilité pèse sur la balance.
Petite attention : Sur Ortlieb le « plus » indique le tissu souple en cordura (par opposition au PVC luisant historique des « classic »). Les nouvelles « plus » ont aussi une poche (mais pas les « classic ») et les anciennes « plus » sans poche sont renommées « plus CR ». Sur Vaude le « plus » indique au contraire la présence d’une poche sur le devant.
Les sacoches 30 à 35 litres
Mes anciennes Btwin
J’ai testé les Vaude, j’ai vite compris à quel point ce serait le jour et la nuit par rapport à mes anciennes. C’est au point que j’imagine aussi renouveler ma paire de grosses sacoches Btwin de 2010 (à peu près le même volume de base mais deux grosses poches en plus).
Je mettais un petit tiers de plus dans mes Btwin que dans mes Go Sport. Si les Go Sport étaient dans les 23 litres, je peux imaginer que les Btwin étaient dans les 30 litres.
Ortlieb back-roller pro plus
On m’a prêté des Ortlieb back-roller pro plus (le « pro » est pour le volume supplémentaire) et la capacité correspond bien à celle de mes anciennes, avec un filet sur le devant en plus. C’est cohérent vu qu’elles sont titrées à 35 litres dont 4 litres dans le filet.
Ne tenez pas compte des litrages des fabricants
Decathlon Velo 900 27L imperméable
Je suis convaincu que chaque marque a une méthode cohérente pour mesurer les capacités mais c’est sans valeur pour vous et moi :
Les 20 litres d’Ortlieb correspondent très bien aux 24 litres de Vaude
Les 27 litres de Decathlon sont visuellement bien plus petites que les 20 litres d’Ortlieb et j’imagine que le litrage est mesuré sacoche non enroulée
Les 35 litres de l’Ortlieb pro ne sont pas 75% plus volumineuses que les 20 litres du même fabricant, sauf à considérer ce qu’on peut mettre dans le filet
Bref, si vous voulez comparer, il faut tester.
Ok mais tu prends quoi au final ?
Ça c’est une ***** bonne question. Je n’ai pas beaucoup avancé depuis mes interrogations précédentes et je suis preneur d’aide si vous en avez.
Mon esprit raisonnable, encouragé par ceux qui me disent que plus les sacoches sont larges et plus on les charge, me dit de prendre les nouvelles Ortlieb back-roller plus. Ce sont celles avec la poche : j’aime bien l’idée d’avoir des poches en plus du compartiment principal. Je regrette juste que celles « haute visibilité » n’aient pas de poche pour l’instant, sinon j’aurais pris ça.
Mon esprit anxieux me dit que je partais avec les grandes quand j’avais mon fils, donc qu’il serait plus logique de prendre d’office les Ortlieb back-roller pro plus, d’autant que le surpoids est peu significatif et qu’il y a une sangle pour réduire l’épaisseur quand on n’en a pas besoin.
Si jamais je fais plus que remplacer la paire cassée et que je renouvelle aussi les anciennes, je prendrai une paire de chaque et j’éviterai d’avoir à choisir ;-)
Et pourquoi pas [autre marque] ?
J’ai exclu les Vaude, qui sont légèrement plus lourdes pour pas plus de volume, mais surtout parce que j’ai entendu parler de décollement et que je l’ai justement vécu avec la paire qu’on m’a prêté l’année dernière.
J’ai exclu les Décathlon malgré les 27 litres annoncés. Sans tester, elles semblent vraiment moins volumineuses. Si quelqu’un les a pour me permettre de tester, je comparerai avec plaisir.
J’ai retenu volontairement du haut de gamme parce que j’ai pu constater la différence mes anciennes (crochets + élastique pour l’une, scratchs pour l’autre) et les Vaude. C’est vraiment le jour et la nuit. Je ne m’imagine pas reprendre des galères volontairement. Je suis preneur d’autres recommandations, mais je ne veux pas de crochet à élastique, de scratch ou de système d’accroche artisanal.
Enfin, je tiens à l’étanchéité. Je sais que je ne vais pas souvent avoir de la pluie, qu’un sac poubelle à l’intérieur suffit et qu’au pire il y a des bâches anti-pluie qu’on peut mettre par dessus. Avoir de l’imperméabilité par défaut me donne quand même une tranquillité d’esprit que je ne renierai pas forcément. Je suis même prêt à prendre des sacoches à enroulement plutôt qu’à rabat alors que je n’aime pas du tout ça, juste parce que toutes les imperméables haut de gamme sont à enroulement.
Mon idéal, si vous le trouvez, ce sont des sacoches de 25 à 30 litres, imperméables, à rabat plutôt qu’à enroulement, avec des poches externes pour séparer les choses, et un système d’accroche similaire à ceux de Vaude ou Ortlieb, pour entre 600 et 900 grammes la sacoche.
Le gouvernement réagit. Le ministre de l’intérieur a demandé aux préfets de recenser l’intégralité des logements vacants, incluant les bureaux qui pourraient servir de logement, et d’en opérer la réquisition dans la semaine pour une première période de 6 mois :
« La situation ne peut plus durer. Nous avons d’un côté des espaces vacants et de l’autre des personnes qui risquent leur vie dehors, dont des milliers d’enfants.
Il y a une solution simple et immédiate à mettre en œuvre. Elle n’est pas sans défauts mais se bander les yeux ne servira à rien. Les préfets, sur mon instruction, agiront dès cette semaine.
Nous partons sur une période de 6 mois que nous renouvellerons probablement. Nous ne voulons pas juste remettre les personnes à la rue une fois l’hiver fini et recommencer en décembre prochain. Nous voulons permettre la réintégration dans la société et cela demande d’abriter ceux qui en ont besoin tout au long de l’année.
Entre une inflation 2023 proche des 6% et les charges qui ont été déportées de la sécurité sociale vers les mutuelles, rien d’étonnant à ce que les cotisations de ces dernières s’envolent de 8% ou plus.
« Je ne pense qu’il soit acceptable d’avoir des augmentations de 8% » a déclaré le ministre de la santé :
Nous avons fait une erreur et nous allons revenir en arrière. Les coûts de gestion de la sécurité sociale sont bien moindre et la couverture santé devrait profiter aux citoyens avant de profiter aux gestionnaires des mutuelles ou aux agences de publicité.
Nous allons donc reprendre petit à petit à la CPAM des charges aujourd’hui dévolues aux mutuelles. Nous espérons obtenir un équilibre pertinent avec les différentes société d’assurance. Si ce n’est pas le cas, nous prévoyons de reprendre l’essentiel des charges dans le régime public et de supprimer l’obligation de prise en charge des mutuelles par les employeurs une fois qu’elles ne géreront que les éléments de confort.
Je sais que ça peut sembler contradictoire d’augmenter les prélèvements publics au regard des objectifs de pouvoir d’achat que mène le gouvernement mais ne vous y trompez pas : Au final ce sera bien des économies pour le porte-monnaie des ménages.
J’aimerais une réglementation stricte sur les éclairages vendus avec les vélos. Aujourd’hui l’obligation de présence d’éclairage sur les vélos neufs ne sert quasiment à rien. La plupart des lampes restent au placard parce qu’on ne pense pas à les mettre sur le vélo ou qu’elles sont à vide¹.
Il ne faut pas qu’on se pose plus de questions pour allumer un éclairage à vélo qu’on ne le fait dans d’autres véhicules ou pour chez soi. Pour ça il faut que l’éclairage soit là à demeure et qu’il ait une alimentation permanente :
Un éclairage fixé sur le cadre, démontable mais non amovible. Il est toujours là, sans avoir à penser à le prendre avec nous.
Une alimentation sur dynamo², optionnellement sur la batterie principale du vélo pour les VAE. Il est toujours prêt à être allumé, sans avoir à réfléchir ou prévoir à l’avance.
Un tampon qui permet de garder l’éclairage actif quelques minutes à l’arrêt.
Rien ne vous empêche d’acheter un éclairage amovible rechargeable, à la place ou en parallèle de l’équipement d’origine, mais l’éclairage est là par défaut, disponible quand on en a besoin. La plupart l’utiliseront au lieu de laisser la lampe d’origine au placard (en tout cas c’est le but).
Ça ne suffit évidemment pas, parce qu’aujourd’hui on nous vend des LED faiblardes et inutiles ou des torches surpuissantes qui vont éblouir tout le monde. Les allemands font beaucoup mieux que nous et il y a des idées à reprendre.
Il faut réglementer plus fortement tous les éclairages en vente dès lors qu’ils sont destinés à des vélos et qu’on n’exclut pas leur usage sur la chaussée publique :
Une intensité suffisante : L’Allemagne propose un minimum 30 lux mesurés à 10 mètres pour la lampe avant. On peut imposer 10 lumens pour la lampe arrière³,⁴.
Intensité continue : La lampe ne doit pas proposer de mode clignotant⁵. On sait que sinon il finira par être utilisé.
Non éblouissante : Pour un faisceau principal dirigé pour tomber au sol à 10 mètres au moins devant le vélo, l’intensité qui passe au-dessus de l’horizon ne doit pas dépasser 10 lux à 5 mètres⁴.
Enfin, parce que tout ça ne fonctionne que si c’est bien utilisé :
L’éclairage principal des cyclistes doit être fixé sur le cadre, en excluant tout positionnement sur le casque ou sur le cycliste lui-même. Il est totalement impossible d’avoir un flux correctement orienté s’il suit la position du cycliste.
1: Oui les vélotaffeurs, pas besoin de me dire que vous vous rechargez systématiquement vos lumières et qu’elles sont systématiquement dans votre sac. Si vous étiez représentatifs, on ne parlerait même pas du sujet et la FUB n’aurait pas besoin de lancer une grande campagne « cyclistes, brillez ! » chaque année.
2: Je sais ce que vous vous dites mais il faut oublier l’image des lampes et les dynamo d’il y a 50 ans. Avec les LED, une dynamo est capable d’alimenter correctement votre éclairage même à faible vitesse. On trouve des phares à dynamo qui montent à 70 et 100 lux, c’est à dire plus que ce que vous trouvez sur 90% des vélos la nuit. Pour ceux qui n’aiment pas les dynamo sur jante dites « dynamo bouteille », on fait maintenant des dynamo zéro maintenance directement embarquées dans le moyeu de la roue avant. Ne dédaignez quand même pas les formats bouteille qui ne coûtent pas grand chose et qui auront au final une fiabilité plus grande que votre capacité à toujours penser à charger vos batteries. Le très haut de gamme en termes de puissance et d’efficacité énergétique (Pedacell, Velogical) est même au format bouteille.
3 : Je parle de lumens et de lux et ce n’est pas interchangeable. Les lumens c’est l’intensité émise par la lampe. Les lux c’est l’intensité reçue sur une surface (qu’on mesure donc à une distance déterminée s’il s’agit de déterminer l’efficacité d’une lampe). Il n’y a pas de formule pour passer de l’un à l’autre, puisque ça dépend de la focalisation de la lumière émise.
4 : Chiffres assez arbitraires pour l’illustration, on peut en trouver d’autres.
5 : Oui, vraiment. D’une part c’est interdit à l’avant, d’autre part c’est dangereux pour vous comme pour les autres. Pour vous, le clignotant ne laisse pas la possibilité aux yeux de faire le focus et donc empêche l’appréciation des vitesses et des distances (on sait qu’il y a quelque chose, mais pas où ni si c’est proche). Pour les autres, le clignotant attire l’attention, ce qui empêche de l’avoir sur le reste de la situation (que les motorisés voient les autres cyclistes ou piétons, que les autres cyclistes ou piétons voient les dangers autour). En règle générale les lumières clignotantes qui n’ont pas ce dernier problème sont aussi celles qui sont trop faiblardes.
Un média étranger rapporte que les services du ministère de l’intérieur ont éclaté de rire au téléphone quand il a tenté d’obtenir leur réaction officielle. Il cite :
« Mais monsieur, les droits de l’homme c’est ancré dans notre histoire et dans notre constitution. Jamais nous n’expulserions une personne qui risquerait des traitements inhumains ou illégitimes, encore moins pour de simples soupçons.
Nous allons juste le garder à l’œil, et nous assurer que les services sociaux fassent ce qu’il faut pour lui assurer des conditions dignes en France. C’est ainsi que nous espérons qu’il s’intégrera, que nous éliminerons le risque qu’il commette l’irréparable sur notre territoire.
Ça ne fonctionnera peut-être pas, mais nous essaierons, comme à chaque fois.