Retour maté­­­riel après le voyage à vélo — La nour­ri­ture

J’étais obnu­bilé par la liste de maté­riel alors j’ai dit que je ferai un retour.

  1. Les vélos
  2. Les sacoches
  3. Le couchage
  4. La cuisine
  5. Les acces­soires
  6. Les habits
  7. La nour­ri­ture
  8. Le reste

Le fond de sacoche

Ce que je compte trou­ver quasi­ment tout le temps :

  • Des salades indi­vi­duelles en boite, le genre de choses qui tient 3 ans sans même être au frais et qui permet de ne jamais se trou­ver à court.
  • Du taboulé épicé en sachet. Il y a juste besoin d’eau en faible quan­tité (merci l’éco-cup qui fait doseur) sans même la chauf­fer. Là aussi c’est la solu­tion à toute épreuve.
  • Des céréales en sachet qui s’hy­dratent hors du feu, mais cette fois ci avec de l’eau chaude.
  • Un paquet de coquillettes 3 minutes
  • Quelques Baby­bels indi­vi­duels
  • Des compotes en gourdes indi­vi­duelles
  • Des barres de céréales
  • Un sachet de graines et fruits secs mélan­gés

En réalité ça fait trop. J’au­rais du choi­sir entre les coquillettes et les céréales, entre les salades indi­vi­duelles et le taboulé, les barres de céréales et les graines.

Non seule­ment je prévois trop mais j’ai en plus peur de taper dedans et de risquer de manquer ensuite. Du coup je porte pour rien.

Agré­ments

À côté j’avais une petite salière en plas­tique — de type celles de cantine, du sucre en sticks indi­vi­duels et des mignon­nettes de sauce vinai­grette. Le format était je pense le bon. La quan­tité beau­coup moins : J’ai prévu pour trois sur un voyage long et on a fait plus court à deux donc ce n’est pas repré­sen­ta­tif mais je pense que j’ai quand même nette­ment trop pris.

Éner­gie

J’ai vu Sarah distri­buer les dragi­bus au compte-goutte lors du dernier trajet et j’ai repro­duit avec le fiston. Ça lui permet l’ap­port en sucre continu plus un peu de moti­va­tion. J’ai vu une nette diffé­rence quand je le fais et quand je ne le fais pas.

Petit déjeu­ner

J’ai trouvé un petit pot de bébé en plas­tique, le type qui ferme hermé­tique­ment pour mettre du lait mater­nel. Le mien était rempli de confi­ture.

À côté il y avait le pot de pâte à tarti­ner en carton. Ça plus la baguette le matin, c’était parfait.

Frais

Je me suis peu arrêté dans les villes et du coup j’ai pris trop peu de frais, trop peu de fruits. J’au­rai dû rééqui­li­brer si le voyage avait conti­nué.

Il faut dire que c’est plus facile de faire des sand­wich avec du pain de mis, du fromage coupé et des tranches de poulet qu’a­vec des crudi­tés dont on ne sait pas quoi faire s’il en reste.

Conte­nant

J’ai pris au dernier moment un tupper­ware qui ferme hermé­tique­ment en pensant que j’y mettrais des crudi­tés ou un repas non fini. En pratique il m’a servi au petit déjeu­ner.

À refaire j’en pren­drais au moins un par personne tant qu’ils s’em­boîtent les uns dans les autres. Ça m’in­ci­tera peut-être à prendre du frais, à la fois parce que ça ne s’écra­sera pas dans les sacoches mais aussi parce que je pour­rai stocker des restes.


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Commentaires

2 réponses à “Retour maté­­­riel après le voyage à vélo — La nour­ri­ture”

  1. Avatar de Mère Teresa
    Mère Teresa

    J’ai ri pour les Dragibus et la petite dédicace (fonctionne aussi avec des M&M’s et bien moins avec des abricots secs, qui sont moins festifs)

  2. Avatar de Mère Teresa
    Mère Teresa

    Pour le frais/fruits, le secret est plutôt de prendre des fruits/légumes à consommer en entier : concombre en tronçons, tomates à la croque au sel, carottes épluchées à croquer, melon à se partager…et en d’autres saisons agrumes (facile à transporter) et pommes.

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