- Préalable
- Le trajet
- Les vélos et la casse
- Les sacoches
- Le couchage
- La cuisine
- Les accessoires (ce billet)
- Les habits
- La nourriture
- Le reste
Quatre indispensables : Téléphone pour appeler en cas de soucis (quitte à l’éteindre 99% du temps), GPS parce que c’est un confort énorme de suivre la trace sans se poser de questions, liseuse pour les périodes de repos, et la pompe à matelas dont j’ai encore parlé dans le billet sur le couchage.
Électricité
Cette année on est partis avec un VAE à recharger. Ça veut dire des emplacements camping avec prise au moins un jour sur deux, un adaptateur CEE17 et une rallonge électrique. J’ai pris 10 mètres et ça s’est révélé le bon curseur, même si j’imagine que d’autres pourraient essayer de faire sans. Bien entendu, il faut rajouter le chargeur lui-même, qui pèse son poids.
Au-delà, j’ai gardé le système de l’année dernière avec la batterie portable charge rapide et le chargeur puissant pour aller avec. Pouvoir ne pas rester branché des heures est un vrai plus. Il a fallu une petite multiprise pour permettre d’avoir à la fois la charge de batterie portable et la charge du VAE. On a d’ailleurs plus utilisé les téléphones que l’année dernière, donc c’était bienvenu.
J’ai par contre réduit les câbles. Un câble 140W entre la batterie et le chargeur, trois petits câbles USB-C de 30 cm pour les appareils. Plutôt que de prendre aussi des câbles micro-USB, Lightning et USB-A, j’ai pris trois petits adaptateurs qui peuvent s’ajouter en bout de câble. Ça m’a permis d’être adaptable sans multiplier les connectiques.
GPS vélo
Je ne sais pas comment on faisait sans GPS. Si le fléchage était bon, le GPS c’est s’éviter plein de questions, plusieurs erreurs de chemin.
Prévoir toutes les traces à l’avance avec l’arrivée aux camping était aussi une bonne idée. Le tracé sur place sur téléphone se contente de suivre la recommandation automatique. À l’avance j’ai pu affiner, étudier le chemin, éviter des zones fréquentées. Les traces officielles de la Via Rhona était tout de même une très bonne base.
Malheureusement le support pour GPS Bryton est peu stable. Sur cailloux il bouge et finit par avoir la tête en bas. Je n’avais pas ce problème en ville du coup ça a été la mauvaise surprise. Je le remontais en permanence à la main.
Liseuses
Je suis toujours amoureux des liseuses. On n’aurait clairement pas pris 3 ou 4 livres chacun, en plus du fait que les liseuses n’ont pas besoin de lumière en plus pour lire le soir.
C’est l’outil pour quand on s’arrête, et qui nous suit en permanence. La charge tient le voyage, même si j’ai prévu l’adaptateur micro-USB pour les recharger.
Écouteurs
On commence à avoir des appareils sans prise jack, ce qui impose des écouteurs bluetooth, et donc cette batterie portable.
Je regrette toujours l’interdiction de porter des écouteurs à vélo. Je suis trop respectueux mais on aurait pu se permettre d’ignorer tout ça sur les pistes dédiées. Je pense que l’année prochaine je me le permettrai.
L’écouteur à conduction osseuse, oreilles ouvertes, a tout de même servi à garder la motivation du fiston sur la grande ligne droite de 40 km en pleine chaleur.
Jeux
À trois on a amené un jeu de scopa, qui fonctionne très bien même si j’ai peu eu le courage d’y jouer. Petit, pas lourd, rapide, jouable de 2 à 4, c’était parfait.
Éclairage
La lampe frontale n’a servi qu’une fois, et peut-être que les téléphones auraient suffi même si beaucoup moins pratique. Est-ce que j’en reprends une l’année prochaine ? Je ne sais pas. Ça ne prend pas beaucoup de place.
Une seule suffit toutefois largement. Entre les téléphones et les LED amovibles du vélo, pas la peine de plus. C’est juste plus pratique de n’avoir rien à la main en cas de galère.
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