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Eau
On s’est retrouvé plusieurs fois à court d’eau mais la poche a eau n’a pas été vraiment la solution. Avec la température, on a hésité à la remplir pour se retrouver avec de l’eau chaude. Je me dis que ça peut le faire l’année prochaine si on met la poche dans la glacière. Sinon autant prendre deux bidons chacun.
Je garderai la poche à eau l’année prochaine parce que ça ne pèse rien et ça ne prend pas de place, mais je ne trouve plus ça si magique que ça.
Fond de sacoches
Nous avions trop pris de fond de sacoche l’année dernière, et on été reparti avec quasiment tout ce qu’on avait pris au départ. Cette année j’ai moins pris, et surtout on s’est autorisés à piocher dedans.
J’ai gardé mes deux indispensables : le taboulé et le méli mélo de céréales. Ce sont deux choses en sachets qui peuvent se faire hors du feu avec relativement peu d’eau, l’un avec de l’eau froide et l’autre avec de l’eau chaude. Là dessus, pas de changement. Avoir un pack de chaque au fond des sacoches permet de s’assurer de toujours avoir de quoi manger si on est pris de cours.
En pratique on a toujours eu un paquet de coquillettes 3 minutes, plus ou moins rempli, et quelques mini babybels — Le babybel étant à ma connaissance le seul fromage à supporter suffisamment la chaleur sur le long terme parce qu’il est protégé par la cire.
Agréments
Les mignonnettes de sauce de l’année dernière c’était un sacré volume. On a fait plus simple et on est parti avec une petite bouteille de 25 cl de sauce, qu’on a mis dans un sachet zippé pour plus de sécurité. C’est finalement aussi bien, et bien moins volumineux.
L’année prochaine j’ajouterai peut-être une petite salière de poivre, d’épices ou d’herbes, histoire d’avoir quelque chose de plus que le sel. Bon, cette année on a peu cuisiné de toutes façons.
Le sucré
Pour le matin on a retiré la confiture. Le miel en flacon doseur suffit tout à fait et ça reste propre à tout instant.
Les sachets de café soluble n’ont pas été utilisés. Le camping ou le village propose toujours un vrai café et on n’a jamais eu le courage de sortir vaisselle + brûleur juste pour ça. Je pense qu’on fera l’impasse l’année prochaine, même chose pour les infusions à froid.
J’avais aussi emmené des compotes en gourdes souples mais on n’y a à peine touché aussi je me demande si on ne s’en passera pas l’année prochaine là aussi.
Je garde par contre le sachet de Dragibus (les gros, pas les mini). Il y a une vraie différence de motivation et de résistance quand je donne 1 dragibus tous les 5 à 10 km au fiston et quand je ne le fais pas. La chaleur a toutefois réussi à les faire fondre dans le sac et il faut bien prévoir un sac zippé imperméable pour éviter de tout salir.
Au-dessus, il y a quelques barres de céréales dans les sacoches avant. Indispensable en cas de besoin même c’est plus pour l’exceptionnel.
Frais et non-frais
J’en ai parlé déjà deux fois mais la petite glacière souple sur le porte-bagages du fiston a été d’une vraie aide avec les températures. Le jambon aurait risqué de tourner en quelques heures sans ça.
J’ai toujours refusé les plats préparés lyophilisés des magasins de sport. Le prix est prohibitif et je ne le trouve pas pertinent pour nos randos qui ne sont que de grandes balades en camping. En supermarché on a par contre trouvé des plats préparés en sachets plastiques qui se gardent à température ambiante. Contre toute attente, c’est bon et en quantité. On a fini par toujours en avoir un jeu dans les sacoches.
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