Moment détente, à écouter avec le son, vraiment :
Catégorie : Geek
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10 questions posées lors d’entretiens d’embauche chez Apple
Heureusement que personne ne me fait passer d’entretiens d’embauche de ce type. Je crois que je ne qualifierai jamais. Voici ce que je me sentirais réellement capable de répondre en face à face.
Heureusement, on ne m’a jamais, mais alors jamais, posé de questions de ce type. Je trouve ça bien à côté de la plaque quand c’est pensé au premier degré, et assez aléatoire si c’est pensé au second degré (c’est à dire pour regarder le pourquoi, le comment et quelle réponse il donne plus que savoir s’il a donné la bonne réponse).
Je m’y essaye bêtement :
Si vous avez 2 oeufs et que vous voulez savoir la hauteur maximale à laquelle vous pouvez lâcher un oeuf sans qu’il se brise, comment vous y prendriez-vous ? Quelle est la solution optimale ? – poste de Software Engineer
Je cherche sur Internet. Et j’espère qu’il n’attend pas « je le lâche de plus en plus haut jusqu’à ce que le premier casse » parce que même en alternant les deux œufs, non seulement on va les fragiliser au fur et à mesure, mais en plus les résultats seraient bien trop aléatoires en fonction de comment ils atterrissent pour prétendre avoir un résultat fiable.
Combien d’enfants naissent chaque jour ? – poste de Global Supply Manager
Je ne sais pas, mais je suis capable de trouver cette information si besoin.
Vous disposez de 100 pièces posées à plat devant vous sur une table, chacune avec un coté « face » et un coté « pile ». 10 d’entre-elles ont le côté « face » vers le haut, les 90 autres ont le côté « pile ». Vous ne pouvez d’aucune manière voir ou sentir quelles pièces ont le côté « face » et quelles pièces ont le côté « pile ». Séparez les pièces en 2 tas de manière à ce qu’il y ait le même nombre de pièces avec le côté « face » dans chaque tas. – poste de Software Engineer
Certains trouveront peut-être la solution mais je crains que ça ne filtre surtout ceux qui connaissent le truc ou qui ont le déclic sur place. Le problème c’est que si ceux qui ont d’eux-même le déclic ont bien une capacité d’analyse intéressante, ça ne dit rien sur la majorité qui reste : ceux qui n’ont pas su trouver mais qui sont pour beaucoup tout aussi capables.
Je pense que j’aurais triché, et proposé de mettre les piles horizontales, sur la tranche. Tricher c’est mal, mais ça s’argumente : là je réponds au besoin réellement exprimé.
Il y a trois boîtes, une ne contient que des pommes, l’autre que des oranges et la dernière contient un mélange de pommes et d’oranges. Les boîtes ont mal été identifiées, ce qui induit qu’aucune d’entre elles n’a le nom correspondant à son véritable contenu. En ouvrant une boîte uniquement, et sans regarder son contenu, vous prenez un fruit à l’intérieur. En regardant le fruit que vous venez de prendre, comment pouvez-vous immédiatement identifier les trois boîtes ? – poste de Software Quality Assurance Engineer
Je la poserai à mon fils quand il sera en école primaire celle là. Je ne peux qu’espérer que ce que cherche ici le recruteur c’est vérifier qu’on sait expliquer et prouver que notre solution couvre tous les cas au lieu de se baser sur notre compréhension intuitive. Ce serait effectivement une compétence très pertinente pour un ingénieur QA.
Si par contre le recruteur reste au premier degré et que c’est leur niveau d’exigence pour un ingénieur, ce sera sans moi. Le pire c’est qu’avec le stress ou simplement si on ne voit pas le truc, même quelqu’un de très intelligent peut ne pas savoir répondre à une question basique. Très mauvaise question si c’est bien ça qu’on attend.
Comment pourriez-vous répartir le coût de ce stylo ? – poste de Global Supply Manager
Je ne suis pas certain de comprendre la question, savoir si on parle de répartir entre le coût d’achat, de transport, de stockage, de négociation, etc. ou si on parle de répartir entre le bouchon, la bille, le tube, etc.
L’intitulé du poste me fait penser qu’on est plutôt dans le premier type de répartition. Dans ce cas un expérimenté aura probablement une idée des ordres de grandeur. Sinon : « je cherche sur Internet ». Oui, c’est la réponse magique mais c’est réellement la réponse.
Êtes-vous intelligent ? – poste de Build Engineer
Oui selon la définition la plus classique de l’intelligence et dans sa classification relative à la population humaine récente, mais est-ce cette définition et cette classification qui est réellement recherchée ?
J’ai peur que cette question soit plus une question humaine, donc la réponse varie tellement en fonction du stress, de l’histoire et du caractère de la personne qu’elle en devienne assez peu pertinente – même s’il s’agit justement de comprendre le caractère de la personne.
Qu’un recruteur me demande ça est un point négatif dans l’interview.
Vous posez un verre rempli d’eau sur une platine vinyle et vous augmentez progressivement la vitesse. Qu’arrive-t-il en premier – est-ce que le verre tombe de la platine, se renverse dessus ou est-ce que de l’eau est éjectée du verre ? – poste de Mechanical Engineer
Quel verre, quelle platine, quelle vitesse, quel niveau d’eau dans le verre, quelle progressivité, quelle position initiale sur la platine ? Si c’est une question liée à un projet réel, la solution la plus pertinente est réellement de mettre en test, même si on a une réponse théorique à disposition.
S’il faut faire une réponse au jeté, si on a une progressivité parfaite avec une accélération constante la plus faible possible, sauf erreur de ma part le verre va glisser jusqu’à sortir de la platine.
Quelle est la chose la plus importante entre régler le problème du client ou lui offrir une expérience client satisfaisante ? – poste d’Apple At Home Advisor
Je n’imagine pas que le client puisse considérer avoir une expérience satisfaisante si son problème n’est pas réglé. Inversement, je ne vois pas pourquoi régler son problème induirait une mauvaise expérience.
Question au recruteur : a-t-il un cas concret où il est nécessaire d’arbitrer entre ces deux valeurs afin de pouvoir lui présenter une solution adaptée ?
Si l’on vous donne un bocal avec un mélange de pièce normale et de pièces truquées, que vous en piochez une, que vous la faites sauter 3 fois et que vous obtenez comme séquence de résultats : face, face et pile, quelles sont les chances pour que la pièce que vous avez tirée au hasard soit normale ou truquée ? – poste de Lead Analyst
Ne sachant pas ce quel est le comportement d’une pièce truquée (est-ce qu’elle est censée donner plus de face ou plus de pile ? toujours ou simplement plus souvent ? si c’est juste plus souvent, quelles sont les probabilités associées ?) il n’y a pas de réponse.
À défaut de plus d’indication, la probabilité dépend de la proportion de pièces truquées et normales.
Comment testeriez-vous un grille-pain ? – poste de Software Quality Assurance Engineer
Quelles sont les qualité et niveau d’exigence attendus sur ce grille-pain ? Quels sont les défauts les plus courants ou corrigés récemment ?
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An Elegant Kinetic Sculpture by Derek Hugger that Mimics the Flight of a Hummingbird
Je sais que ça prendrait la poussière, mais j’adorerais avoir ça devant moi.
Encore via Mitternarcht
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Sans Bullshit Sans
Dans le temps la blague potache c’était supprimer les icônes du bureau pour les intégrer dans l’image du fond d’écran. Pour quelqu’un qui ne l’a jamais vécu, ça peut prendre une bonne heure avant de se rendre compte que…
Autre bidouille : Changer l’agencement clavier pour rendre inopérantes les touches de suppression et de retour arrière (ou une des flèches de direction).
Je me rends compte qu’on peut faire beaucoup plus sympathique avec les ligatures dans les polices de caractères. Genre prendre un mot d’usage courant, créer une ligature sur tout le mot qui donne le même rendu mais avec une faute d’orthographe.
Dans le même esprit on m’a fait passer Sans Bullshit Sans, qui utilise les ligatures pour retirer les mots sur-utilisés par ceux qui brassent du vent, type synergie.
Oui, tout ça est mesquin.
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Un seul port USB-C
Je regarde encore récemment le macbook d’Apple et son unique port USB-C. Je n’en reviens toujours pas de l’absence de démultiplicateurs.
J’imaginais trouver quelque chose qui permette d’alimenter le macbook (soit directement soit en branchant l’alimentation USB-C dessus) et qui ajoute 1 ethernet, 1 port pour écran 4K à 60Hz, et au moins 1 USB-C en plus de l’alimentation ainsi qu’un USB-3.1.
Probablement ça veut dire un dock et plus un adaptateur, et autant voir large : 1x alimentation, 1x ethernet Gb/s, 2x usb-c, 2x usb-3.1, 1x (mini) displayport et 1x hdmi tous les deux pour du 4K à 60Hz.
Je n’ai rien vu de même approchant. La moitié des docks ne permettent même pas l’alimentation du mac, même en branchant le secteur sur un USB-C du hub. Je ne comprends juste pas.
À défaut d’avoir deux ports femelle physiques sur la machine, le minimum pour moi aurait été d’intégrer un port femelle à la terminaison du chargeur secteur, histoire de pouvoir chaîner les appareils sans savoir à connecter un hub au préalable.
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Science GIFs
Perspective meets physics… pic.twitter.com/3v6XYoc679
— Science GIFs (@Learn_Things) 5 Décembre 2015
Quelques images sympa sur ce compte twitter.
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L’Avant gardiste
Plein de cadeaux idiots qui peuvent être marrants, mais parfois chers : L’Avant gardiste. Ça me fait un peu penser à la boutique de L’Homme moderne, mais en plus détendu.
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Isolation
Isolation – XKCD 1601 Cette histoire m’agace d’autant plus quand je vois ces anciennes photos noir et blanc avec tous ces gens lisant leur journaux sans se regarder. Aujourd’hui j’ai beau avoir un vrai handicap social avec ce smartphone, je discute par écrit avec plus de correspondants que quiconque de « non drogué ». Bref, la relation sociale change de forme, mais elle ne s’éteint pas du tout.
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La fraude au paiement sans contact
Nous parlions paiement sans contact via la carte bancaire, mais les quelques arguments donnés me gênent, pour ne pas dire plus.
Petit 3 : croyez-vous vraiment que la Banque de France a laissé les banques diffuser ces machins s’il y avait le moindre risque ?
Petit 4 : croyez-vous vraiment que les banques allaient diffuser ce truc s’il y avait le moindre risque, si elles risquaient de payer la peau des fesses pour renouveler 50 millions de cartes, si elles risquaient de passer pour des imbéciles en qui on ne pouvait pas faire confiance,…
Je ne crois pas à l’idée d’un complot de tout le milieu bancaire diffusant consciemment une solution totalement trouée. Je crois que beaucoup d’autres scénarios sont par contre tout à fait possibles :
Les banques sont comme tous les gros groupes. En amont du projet, les risques structurels sont de nature à faire différer le projet ou à le rejeter. Proche de l’aboutissement, et particulièrement si des étapes administratives, commerciales ou si une communication publique ont déjà été faite, la politique du « pas le moindre risque » n’existe plus.
Même chose côté public : Pour que la Banque de France dise « non » au dernier moment au milieu bancaire sur un sujet « nouvelle technologie » qui a une visibilité publique, qui est voulu par les banques, qui a été annoncé au public, qui peut faire une superbe pub moderne au gouvernement, et qui existe déjà à l’étranger… il en faut certainement beaucoup sur la balance.
Donc une fois le projet bien lancé ou sur le point d’aboutir, ça devient une question de balance : Le problème risque-t-il d’être découvert ? Si oui, risque-t-il d’être découvert avant qu’on ait trouvé un palliatif ou que le parc soit renouvelé ? Si oui, quel est la probabilité de ce risque, combien ça peut nous coûter de le combler après coup en communication et dommages, et à l’inverse combien ça coûte de différer le projet ? Sachant que dans le coût de différer on compte aussi le coût pour le département R&D ou l’institution en question d’avoir le mauvais rôle auprès de sa tutelle et d’être responsable de l’échec du gros projet.
Une fois en route (on en est là) des problèmes peuvent encore être découverts (quand ce ne sont pas des risques envisagés plus haut). Là la stratégie habituelle c’est de nier tout en bloc en cachant sous le tapis. Quand ce n’est plus possible il s’agit d’un exercice de communication associé à un « on prend toutes les mesures mais ce n’est pas notre faute ».
Rien de neuf. Dire que les banques ne se permettraient jamais le moindre risque c’est comme dire qu’un constructeur automobile ne continuerait jamais avec un défaut grave dans les voitures sans faire un rappel (ah mais on me dit dans l’oreillette que…).
Et les banques ne sont pas meilleures. J’ai même tendance à croire que leur situation est plus simple : Pour elles c’est un bête calcul de coût et de risque, il n’y a pas de vie humaine en jeu. Elles ne risquent pas non plus leur survie : C’est toutes les banques qui font le même mouvement ensemble, vous ne passerez pas au concurrent et vous ne vous passerez pas d’elles de toutes façons.
Il va me falloir un bien meilleur argument que « ce sont des banques, c’est sérieux, ils ne feraient jamais ça ».
D’autant que par le passé on les a vu nier qu’une fausse carte bancaire puisse fonctionner jusqu’à ce que quelqu’un fasse une démonstration publique (et finisse en prison pour ça), que ma banque a eu un certificat TLS expiré et donnait les indications pour passer outre dans le navigateur, que pas mal de scandales passés ou récents ont montré plus d’une fois leur capacité à prendre des risques importants en franchissant sérieusement la ligne jaune légale et/ou réglementaire.
Ce ne sont pas des grands méchants, mais pas des bisounours non plus. L’argument du « vous croyez vraiment qu’ils prendraient le risque ? » me parait bien fragile.
Pour revenir à nos cartes sans contact, remettons nous dans le contexte : dans deux ou trois ans, on pourra payer en sans contact avec nos smartphone. Le résultat est que le marché des paiements passera dans les mains d’Apple et de Samsung ou Google.Les banques française (et autres) ont-elles un autre choix que de se lancer sur le marché à marché forcée ?La question, posée dans le second billet, me semble l’illustration parfaite de la destruction de l’argument lui-même. Non elles n’ont pas le choix, oui elles sont pressées par le temps, non elles n’ont pas vraiment la possibilité en termes de communication d’échouer à sortir le produit.
Bref, tous les éléments sont justement là pour permettre une prise de risque idiote, pour planquer les défauts sous le tapis, et pour prendre des raccourcis.
les banques ne sont pas tarées au pont de prendre des risques inconsidérés. C’est un métier.
Cet argument là, avec l’historique depuis les subprimes en passant par J. Kerviel, il me fait rire un peu jaune. Si j’étais moqueur je dirais que prendre des risques inconsidérés ça semble un peu leur métier, justement.
Petit 1 : effectivement, les données de la carte sont lisibles par un truand à distance mais qu’est-ce que vous voulez qu’ils en fassent ? Il n’a pas le code confidentiel, le cryptogramme visuel et tout ce qui permettrait de vous emmerder.
Je suis étonné qu’on pose cette question désormais. Faire du traçage ? Un état qui voudrait l’identité de gens à une manifestation ? Une entreprise qui contrôlerait les allées et venues ? Une grande surface qui ferait du pistage de clientèle ?
Tout ceci n’est pas de la science-fiction, on a eu brièvement à Londres des poubelles qui collectaient les adresses mac des smartphones passant à portée.
Je ne me rappelle plus le nom du film d’anticipationJe me rappelle le film Minority Report où le client était identifié par ses yeux à son entrée dans un magasin. Techniquement seule la CNIL empêche que ça arrive un jour, et la CNIL en ce moment…Petit 2 : citez moi un cas de fraude depuis que ces machins commencent à se répandre comme des petits pains dans le langage de Jean-François Copé.
L’argument « rien n’existe parce que ce n’est pas (encore) la catastrophe » me parait encore plus faible que les précédents. Ça ne prouve pas non plus l’existence d’un problème grave, c’est juste que ça ne prouve rien du tout.
Un de mes interlocuteurs citait des machins techniques auquel il ne comprend pas grand chose et moi non. Il parlait par exemple « d’un terminal un peu augmenté côté antenne qui pourrait faire des paiements discrets à ton insu ». Sachant que le montant maximum du sans contact est de 20 euros, le fraudeur se ferait chier à faire un terminal spécifique pour pas grand chose en prenant un risque inconsidéré de voir la police lui tomber dessus.
La capacité de faire payer 20 euros à des passants d’une rue touristique fréquentée ? La capacité d’un commerçant à faire faire un second paiement en douce à un touriste qui passe ? Les pickpockets classiques prennent plus de risques de se faire prendre pour un butin pas toujours meilleur.
Si je me rappelle bien, il y a toute une masse de fraude en VPC qui se font justement avec des petits montants parce que la plupart des gens ne les vérifient pas ou ne vont pas jusqu’à les contester, que les commerçants de leur côté ne demandent pas le 3D secure pour ça, et qu’on est donc tranquilles un moment.
20 euros ce n’est rien, 1000 fois 20 euros c’est 20 000 euros et beaucoup sont prêts à prendre des risques pour ça.
Le système des yes card a fini lui aussi par être une entreprise extrêmement risquée. Ça n’a pas empêché des fraudeurs de continuer longtemps à jouer à ça pour juste 50 euros de carburant.
Au final, le paiement frauduleux est-il possible ? As-tu désactivé ta carte ?
C’est la question qui n’a pas été posée, c’est dommage, alors je me cite moi-même.
Au final je ne sais pas si c’est possible. J’ai lu quelqu’un qui disait avoir étudié la question, qui parlait d’une sécurité contre la lecture à distance, et qu’elle serait franchement peu utile. Ça parlait de limites de temps de réponse et d’antennes, essentiellement. Rien de vraiment hi-tech. Je regrette de ne pas retrouver le lien.
Cela dit c’est assez cohérent. Si on peut dialoguer en NFC à distance avec une bonne antenne, qu’il n’y a aucun contact ni aucune validation manuelle, j’ai du mal à voir pourquoi le paiement lui-même serait impossible (mais encore une fois, je n’y connais rien, je suis preneur si vous avez un lien qui explique pourquoi ça l’est). Bref, je ne sais pas, mais ça n’est pas non plus du domaine de la science fiction.
Si j’ai fait désactiver ma carte c’est plutôt pour le basique : Plusieurs commerçants ont passé ma carte sur le sans contact sans me demander mon avis alors que je m’attendais à taper mon code. Un l’a même fait avec un mauvais montant (je l’ai vu sur le ticket, c’était certainement une erreur, mais ça ne m’aide pas à avoir confiance).
Bref, sans même parler de terminaux fraudeurs dans les rues passantes (pas irréaliste même si risqué), ou de commerçants malhonnêtes qui passeraient un paiement de petit montant sur un terminal sans bip derrière le comptoir (je me vois mal le détecter sur mes relevés), je vois très bien les problèmes sur des montants erronés (volontairement ou non, mais potentiellement loin d’être rare). Ça n’existe pas avec la validation du code (ou ça demande un terminal franchement modifié, bien plus qu’une simple antenne).
Je ne vois simplement pas le bénéfice à me passer de la validation manuelle que représente la saisie du code, au contraire. Une simple menace de changer de banque a suffit pour me faire délivrer gratuitement une carte sans le circuit litigieux, et ça me va très bien ainsi.
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ZNAPS -The $9 Magnetic Adapter for your mobile devices
Franchement, après avoir goûté le chargeur magnétique des Mac, j’attendais ça depuis longtemps. J’ai même choisi mon téléphone en partie parce qu’il avait un adaptateur magnétique pour la recharge.
Bref, ils l’ont fait, et ce n’est franchement pas cher. Tout ça est sur kickstarter. Il y a de bonnes chances pour qu’on ait même un adaptateur USB C possible.
Pour 11 $ canadiens, donc moins de 8 €, ce serait dommage de se priver.