Catégorie : Vélo

  • Maga­sins vélo en ligne

    On m’a plusieurs fois donné des adresses en ligne pour ache­ter du maté­riel vélo pas cher et je les oublie ensuite. Cette fois-ci je les ai notées :

  • Cherche un VAE de rando

    Mise à jour : On a trouvé un Winora Yuka­tan X12 qui semble conve­nir parfai­te­ment à notre recherche.


    Je cherche un vélo à assis­tance élec­trique pour partir en rando avec une personne lourde peu spor­tive et ses sacoches, idéa­le­ment jusqu’à 60 km au moins pour des étapes vallon­nées avec des montées ponc­tuelles de 10%, en été sur des chemins cyclables terre et bitume.

    Évidem­ment, l’in­ves­tis­se­ment servira aussi pour le quoti­dien en ville et en balade le week-end mais les contraintes y sont plus faibles.

    Sans avoir éplu­ché toutes les marques, pour l’ins­tant je trouve ce qui suit. Je mettrai à jour la liste au fur et à mesure.

    Il y a des Lapierre et des Gazelle qui pour­raient corres­pondre mais ils n’in­diquent pas le poids total auto­risé, ce qui ne m’in­cite pas à croire qu’il est au-dessus des 130 kg.


    Mes critères

    Un poids total auto­ri­sée d’au moins 145 kg (95 kg de cycliste + 20 à 25 kg de bagages et acces­soires + 25 à 30 kg de vélo et batte­rie)

    Une auto­no­mie construc­teur d’au moins 100 km. C’est calculé à plat sur bitume en mode éco avec une personne de 70 kg sans bagages, donc c’est ce que je prévois pour 50 km de mon cas réel.

    Un moteur avec un couple de plus de 60 Nm, pour tenir des montées avec le poids anti­cipé et une bonne assis­tance.

    Un déve­lop­pe­ment mini­mum de moins de 2,2 mètres. Ça me parait déjà élevé mais je précise parce que je vois des VAE avec un déve­lop­pe­ment mini­mum plus proche des 3 mètres.

    Et le prix ? Pour l’ins­tant je ne filtre pas, pour d’abord voir le néces­saire. J’ai en réalité peur que même le premier prix soit déme­suré : On a de quoi se payer des vacances tout inclus plusieurs années pour ce prix.

  • Petite réjouis­sance. Samedi 9 décembre 2023

    Déci­sion prise avec enthou­siasme de tout le monde : Nous repar­tons en petit voyage à vélo en famille cet été.

    Reste à trou­ver où, et trou­ver le vélo à assis­tance élec­trique pour madame.

  • Petite réjouis­sance. Mardi 5 décembre 2023

    Je me suis acheté un vélo hors de prix il y a main­te­nant deux ans.

    Si j’ex­clus les vélos d’en­fant, mon seul autre vélo a été un VTC BTwin moyen de gamme acheté il y a main­te­nant presque 20 ans. Achat utili­taire pour un voyage autour de la Loire, je n’ai jamais eu d’ac­croche avec, au contraire.

    Là c’était mon premier vrai vélo plai­sir. J’ai mis des mois ou plus à me déci­der, à trou­ver ce que je voulais, et à le trou­ver sur le marché en pleine crise covid.

    Me payer un vélo à ce prix là n’al­lait pas de soi pour moi, mais le super haut de gamme était un peu la condi­tion pour que je trans­forme mes trajets sans y aller en contrainte morale pénible. C’était aussi le retour à des trajets domi­cile-travail et je ne voulais pas qu’ils soient vécus néga­ti­ve­ment.

    Le prix restait un peu un excès dont je n’étais pas si fier. Aujourd’­hui j’ai un poids qui part : J’ai remboursé mon vélo en évitant 70 € de trans­port en commun chaque mois pendant 25 mois. Aujourd’­hui je peux dire qu’au final il ne m’a rien coûté et que c’était raison­nable. Si vous me connais­sez vous savez à quel point c’est un critère fort pour moi.

    Peut-être que ça aurait aussi fonc­tionné avec un vélo deux fois moins cher. Peut-être aussi que je n’au­rais pas eu la même affi­nité et que je ne l’au­rais pas sorti aussi faci­le­ment.

    Au-delà de la ques­tion finan­cière c’est aussi ça le vrai retour : Je ne prends plus que le vélo. C’est un confort par rapport à la voiture mais aussi par rapport aux trans­ports en commun, et ça qu’il pleuve ou qu’il vente. C’est au point où je me demande comment je faisais avant.

    Ma seule complainte, j’en ai toujours, c’est mon manque d’au­to­no­mie pour son entre­tien. Ca vien­dra.

  • Elles sont grandes comment tes sacoches ?

    Mes anciennes Go Sport

    On m’a prêté une ancienne Ortlieb back-roller plus CR, une ancienne Vaude aqua back. De mon côté j’avais des anciennes sacoches à rabat premier prix 2005 de Go Sport, plus petites que les sacoches Ortlieb ou Vaude mais rectan­gu­laires plutôt qu’en cône, et avec une poche sacré­ment volu­mi­neuse sur le dessus.

    Ortlieb back-roller plus CR

    Le proto­cole

    Test abso­lu­ment non scien­ti­fique et tota­le­ment subjec­tif, j’ai simple­ment bourré les sacoches à tour de rôle avec des serviettes éponge pour voir laquelle conte­nait plus.

    Vaude acqua back

    Les sacoches 20 à 25 litres

    Le résul­tat que j’avais lu et que je voulais véri­fier : Les Ortlieb titrées à 20 litres et les Vaude titrées à 24 litres contiennent grosso modo la même chose en pratique. La Ortlieb semblait même avoir un peu de marge.

    Nouvelles Ortlieb back-roller plus

    Les deux conte­naient un peu moins que mes anciennes Go Sport si on compte la poche supé­rieure. Un peu déce­vant sachant que mes anciennes pèsent moins de 500 grammes l’une, à compa­rer aux 840 et 970 grammes des Ortlieb et Vaude. L’im­per­méa­bi­lité pèse sur la balance.

    Vaude aqua back plus

    J’ima­gine que la poche des nouvelles Ortlieb back-roller plus (titrées 23 litres) ou des Vaude aqua back plus (titrées 26 litres) corres­pondent bien à ce que j’avais.

    Petite atten­tion : Sur Ortlieb le « plus » indique le tissu souple en cordura (par oppo­si­tion au PVC luisant histo­rique des « clas­sic »). Les nouvelles « plus » ont aussi une poche (mais pas les « clas­sic ») et les anciennes « plus » sans poche sont renom­mées « plus CR ». Sur Vaude le « plus » indique au contraire la présence d’une poche sur le devant.

    Les sacoches 30 à 35 litres

    Mes anciennes Btwin

    J’ai testé les Vaude, j’ai vite compris à quel point ce serait le jour et la nuit par rapport à mes anciennes. C’est au point que j’ima­gine aussi renou­ve­ler ma paire de grosses sacoches Btwin de 2010 (à peu près le même volume de base mais deux grosses poches en plus).

    Je mettais un petit tiers de plus dans mes Btwin que dans mes Go Sport. Si les Go Sport étaient dans les 23 litres, je peux imagi­ner que les Btwin étaient dans les 30 litres.

    Ortlieb back-roller pro plus

    On m’a prêté des Ortlieb back-roller pro plus (le « pro » est pour le volume supplé­men­taire) et la capa­cité corres­pond bien à celle de mes anciennes, avec un filet sur le devant en plus. C’est cohé­rent vu qu’elles sont titrées à 35 litres dont 4 litres dans le filet.

    Ne tenez pas compte des litrages des fabri­cants

    Decath­lon Velo 900 27L imper­méable

    Je suis convaincu que chaque marque a une méthode cohé­rente pour mesu­rer les capa­ci­tés mais c’est sans valeur pour vous et moi :

    • Les 20 litres d’Ort­lieb corres­pondent très bien aux 24 litres de Vaude
    • Les 27 litres de Decath­lon sont visuel­le­ment bien plus petites que les 20 litres d’Ort­lieb et j’ima­gine que le litrage est mesuré sacoche non enrou­lée
    • Les 35 litres de l’Ort­lieb pro ne sont pas 75% plus volu­mi­neuses que les 20 litres du même fabri­cant, sauf à consi­dé­rer ce qu’on peut mettre dans le filet

    Bref, si vous voulez compa­rer, il faut tester.

    Ok mais tu prends quoi au final ?

    Ça c’est une ***** bonne ques­tion. Je n’ai pas beau­coup avancé depuis mes inter­ro­ga­tions précé­dentes et je suis preneur d’aide si vous en avez.

    Mon esprit raison­nable, encou­ragé par ceux qui me disent que plus les sacoches sont larges et plus on les charge, me dit de prendre les nouvelles Ortlieb back-roller plus. Ce sont celles avec la poche : j’aime bien l’idée d’avoir des poches en plus du compar­ti­ment prin­ci­pal. Je regrette juste que celles « haute visi­bi­lité » n’aient pas de poche pour l’ins­tant, sinon j’au­rais pris ça.

    Mon esprit anxieux me dit que je partais avec les grandes quand j’avais mon fils, donc qu’il serait plus logique de prendre d’of­fice les Ortlieb back-roller pro plus, d’au­tant que le surpoids est peu signi­fi­ca­tif et qu’il y a une sangle pour réduire l’épais­seur quand on n’en a pas besoin.

    Si jamais je fais plus que rempla­cer la paire cassée et que je renou­velle aussi les anciennes, je pren­drai une paire de chaque et j’évi­te­rai d’avoir à choi­sir ;-)

    Et pourquoi pas [autre marque] ?

    J’ai exclu les Vaude, qui sont légè­re­ment plus lourdes pour pas plus de volume, mais surtout parce que j’ai entendu parler de décol­le­ment et que je l’ai juste­ment vécu avec la paire qu’on m’a prêté l’an­née dernière.

    J’ai exclu les Décath­lon malgré les 27 litres annon­cés. Sans tester, elles semblent vrai­ment moins volu­mi­neuses. Si quelqu’un les a pour me permettre de tester, je compa­re­rai avec plai­sir.

    J’ai retenu volon­tai­re­ment du haut de gamme parce que j’ai pu consta­ter la diffé­rence mes anciennes (crochets + élas­tique pour l’une, scratchs pour l’autre) et les Vaude. C’est vrai­ment le jour et la nuit. Je ne m’ima­gine pas reprendre des galères volon­tai­re­ment. Je suis preneur d’autres recom­man­da­tions, mais je ne veux pas de crochet à élas­tique, de scratch ou de système d’ac­croche arti­sa­nal.

    Enfin, je tiens à l’étan­chéité. Je sais que je ne vais pas souvent avoir de la pluie, qu’un sac poubelle à l’in­té­rieur suffit et qu’au pire il y a des bâches anti-pluie qu’on peut mettre par dessus. Avoir de l’im­per­méa­bi­lité par défaut me donne quand même une tranquillité d’es­prit que je ne renie­rai pas forcé­ment. Je suis même prêt à prendre des sacoches à enrou­le­ment plutôt qu’à rabat alors que je n’aime pas du tout ça, juste parce que toutes les imper­méables haut de gamme sont à enrou­le­ment.

    Mon idéal, si vous le trou­vez, ce sont des sacoches de 25 à 30 litres, imper­méables, à rabat plutôt qu’à enrou­le­ment, avec des poches externes pour sépa­rer les choses, et un système d’ac­croche simi­laire à ceux de Vaude ou Ortlieb, pour entre 600 et 900 grammes la sacoche.

  • Cyclistes, brillez !

    Ça y est, les trajets du matin et du soir se font de nuit. Amis cyclistes, assu­rez-vous d’avoir :

    1. 🔦 une lumière blanche à l’avant, non cligno­tante, accro­chée au cadre et pas au casque, suffi­sam­ment puis­sante, avec un coupe-flux ou poin­tée vers le bas ;
    2. 🏮une lumière rouge à l’ar­rière, non cligno­tante, accro­chée au cadre et pas en hauteur, suffi­sam­ment puis­sante ;
    3. 🦺 des réflec­teurs, au moins sur les roues, idéa­le­ment aussi sur vous.

    C’est indis­pen­sable pour qu’on vous voit, même entre cyclistes, même si la ville est elle-même éclai­rée et que donc vous y voyez vous-même correc­te­ment.


    En plus détaillé

  • Quel agen­ce­ment de sacoches pour voya­ger à vélo

    Je me pose encore quarante-treize ques­tions alors je laisse mes réflexions ici pour ne pas repar­tir de zéro la prochaine fois et avec l’es­poir que vous me guidiez un peu.

    Contexte : Je suis parti la dernière fois avec le fiston. Il avait 2 sacoches Vaude de 20 L chacune. Moi j’avais des vieux trucs de 20 ans qui venaient de Decath­lon, un système avec 2 sacoches arrières plus une troi­sième par dessus qui peut se trans­for­mer en sac à dos. Les quatre sacoches sur les côtés étaient remplies au maxi­mum, les miennes assez lour­de­ment ; la centrale ne conte­nait que la grande tente. Je ne connais pas le litrage de mes deux arrières mais j’en mettais nette­ment plus que dans les 20 L de Vaude, à la fois en poids et en volume. On va comp­ter un bon 25 à 30 L.

    Les miennes, défor­mées et sans vrai renfort ni accroche stable, finis­saient fréquem­ment dans les rayons. Ça plus la galère systé­ma­tique pour les accro­cher et les décro­cher avec ce système à base de scratch, j’ai prévu de les chan­ger contre un système aussi pratique que les Vaude ou les Ortlieb.

    Reste à savoir ce que je prends.
    Les deux contraintes : Simple et imper­méable.

    Je pars visi­ble­ment plus chargé que la moyenne, que ce soit en poids ou en volume. Une simple paire de back-roller 2×20 L risque de faire vrai­ment juste.

    La paire de back-roller pro en 2×35 L m’a fait de l’oeil. J’ai plus de volume, et une poche exté­rieure qui me semble pratique pour un sweat, une casquette, un truc acheté à manger, une serviette humide, etc. Le surpoids de 350 grammes est modéré face au volume ajouté. Le piège c’est que je peux y mettre plus de volume mais pas plus de poids.

    En modu­lable j’ai aussi l’op­tion de prendre les back-roller 2×20 L et d’ajou­ter un rack-pack central de 30 ou 50 L. Le 30 L n’ajoute que 500 grammes à la solu­tion précé­dente mais avoir trois sacs sera plus sympa que deux pour le range­ment, et je peux ajou­ter un peu de poids. Le 50 L ajouté encore 100 grammes de plus mais me permet­trait d’y four­rer aussi ma tente au sec.

    On m’in­cite très forte­ment à char­ger aussi l’avant pour équi­li­brer le vélo. Je peux prendre les back-roller 2×20 L à l’ar­rière et ajou­ter une paire de gravel-pack 2×12 L à l’avant. C’est déjà plus lourd en soi mais il me faut aussi ajou­ter un porte-bagages avant. Je sais que j’y gagne­rai pas mal en prati­cité de range­ment d’avoir 4 sacoches mais est-ce que ça vaut vrai­ment le surpoids de 1.5 kg par rapport aux 2×35 L alors que je vais déjà partir trop chargé ?

    Évidem­ment on peut mélan­ger tout ça mais pour l’ins­tant je risque de faire des voyages d’une à deux semaines sur des voies vélo connues, pas des tours du monde (même si en réalité je ne sais pas si j’eme­ne­rais vrai­ment beau­coup de choses en plus dans un tour du monde).

    Bref, je sèche tota­le­ment entre les trois dernières options. Avez-vous un recom­man­da­tion éclai­rée ?

  • Retour maté­­­riel après le voyage à vélo — Le reste

    J’étais obnu­bilé par la liste de maté­riel alors j’ai dit que je ferai un retour.

    1. Les vélos
    2. Les sacoches
    3. Le couchage
    4. La cuisine
    5. Les acces­soires
    6. Les habits
    7. La nour­ri­ture
    8. Le reste

    Proba­ble­ment rien d’en­thou­sias­mant là dedans mais si ça peut servir…

    Répa­ra­tion

    Contre la crevai­son : Une chambre à air de chaque type, quelques rustines, des démonte pneu en plas­tique.

    Outillage vélo : Un multi-outil vélo simple, deux clefs plates fines et super légères.

    Visse­rie : Mon précé­dent trajet j’ai un porte-bagage qui a décidé de prendre la tangente sur le vélo du fiston. Ce coup ci j’avais quelques vis M5 et M6 de diffé­rentes tailles et quelques boulons bloquants. Je n’en ai pas eu besoin mais je pense les garder.

    Je n’ai pas pris de câble ou de rayon de rechange. Mes trajets sont au plus de 60 km par jour, jamais loin des villes, et je dors en camping. Si j’ai quelque chose qui casse, je peux retrou­ver un vélo­ciste quitte à attendre quelques jours au camping, et au pire je peux pous­ser à la main jusqu’à un village. Je ne saurais de toutes façons pas chan­ger ça moi-même, n’en ayant jamais eu besoin.

    Attaches

    J’ai pris un lot de serflex et j’ai au utilisé 6 dans le lot. Vu le poids, c’est le genre de choses qui me parait indis­pen­sable pour toute répa­ra­tion de fortune.

    Je sais que certains proposent de prendre du scotch d’élec­tri­cien. De mon côté j’ai quelques bandes velcro qui me servent pour à peu près tout. Ça tient aussi bien si ce n’est mieux que du scotch et ça se repo­si­tionne à l’en­vie.

    Ajouté à ça, j’ai quelques mousque­tons super légers de quelques grammes chacun pour juste accro­cher des choses et ne pas les perdre. J’en ai sorti 3 pendant le trajet donc je ne regrette pas.

    Toilette

    Comme pour la lessive et la vais­selle, j’ai fait le choix du solide avec un savon corps et cheveux. Ça veut dire là aussi avoir un savon humide qui traîne dans un sac étanche. Je pense que la prochaine fois j’étu­die­rai plus sérieu­se­ment la possi­bi­lité d’em­me­ner du gel douche dans une petite bouteille adap­tée.

    Côté serviettes les Sea To Summit Airlite L sont impres­sion­nantes. On a une 60×120 cm dans un volume ridi­cule et qui sèche quasi immé­dia­te­ment pour 70 grammes et un petit sac parfait pour ça.

    Reste la brosse à dent, un denti­frice avec un conte­neur solide plutôt qu’un tube, un peigne, et pas grand chose d’autre.

    Santé

    La trousse de premiers secours est bien compres­sée mais avec plusieurs panse­ments de chaque taille, y compris des spéci­fiques ampoules au pieds, des compresses, du spara­drap, une bande, quelques bandes de suture rapide, du désin­fec­tant en pipettes indi­vi­duelles, une pince à épiler, un coupe ongle, du sérum physio­lo­gique, du para­cé­ta­mol, et des anti-hista­mi­niques pour moi.

    J’ai utilisé une partie non négli­geable des items de bobo­lo­gie et je ne pense rien enle­ver à l’ave­nir.

    J’ai fait l’im­passe sur le maté­riel pour bles­sures graves consi­dé­rant que je ne serai jamais assez loin de la civi­li­sa­tion pour qu’un usage par un néophyte soit plus perti­nent qu’un coup de fil aux urgences. Je ne me balade pas avec en temps normal et je n’ai pas l’im­pres­sion que mes risques soient plus grands sur mes trajets en vélo.

    À côté j’ai quand même un petit tube de crème solaire écran total et une bombe anti-mous­tique. Cette dernière ne nous a pas servi. Je compte plus sur la mous­tiquaire de la tente et je ne sais pas si je dois vrai­ment empor­ter de nouveau la bombe anti-mous­tique à l’ave­nir.

    Range­ments

    Avant de partir j’ai acheté deux filets à linge 40×30 cm par personne, et plusieurs filets en nylon avec cordon de serrage. Le poids est tota­le­ment négli­geable et ça a permis avec succès de savoir gérer le range­ment des sacoches sans rien qui traîne, pas même les vête­ments.

    J’ai même pris un sac à dos pliable de 10 L, le type Decath­lon qui ne pèse rien, au cas où on se balade à pieds. En pratique on avait toujours nos sacoches avant en bandou­lière donc c’était proba­ble­ment inutile.

    Sangles

    J’avais prévu deux tendeurs à trois brins et deux tendeurs filet pour le total des trois vélos. J’ima­gi­nais les utili­ser pour mettre la polaire sur le porte-bagage. Plus jeune on avait trans­porté un melon comme ça.

    Ici je n’en ai pas utilisé un seul. Je garde­rai peut-être le filet, éven­tuel­le­ment un tendeur simple. Pas plus.

    Gilet réflé­chis­sant

    Un par personne, au cas où. C’est non-utilisé ici même si en fait j’au­rais peut-être pu les sortir sur les quelques parties de route fréquen­tées avec des voitures qui allaient trop vite.

    Je crois que je ne les reti­re­rai pas dès la prochaine fois mais je surveille­rai. Je regrette juste que ça prenne un sacré volume par rapport au reste.

  • Retour maté­­­riel après le voyage à vélo — La nour­ri­ture

    J’étais obnu­bilé par la liste de maté­riel alors j’ai dit que je ferai un retour.

    1. Les vélos
    2. Les sacoches
    3. Le couchage
    4. La cuisine
    5. Les acces­soires
    6. Les habits
    7. La nour­ri­ture
    8. Le reste

    Le fond de sacoche

    Ce que je compte trou­ver quasi­ment tout le temps :

    • Des salades indi­vi­duelles en boite, le genre de choses qui tient 3 ans sans même être au frais et qui permet de ne jamais se trou­ver à court.
    • Du taboulé épicé en sachet. Il y a juste besoin d’eau en faible quan­tité (merci l’éco-cup qui fait doseur) sans même la chauf­fer. Là aussi c’est la solu­tion à toute épreuve.
    • Des céréales en sachet qui s’hy­dratent hors du feu, mais cette fois ci avec de l’eau chaude.
    • Un paquet de coquillettes 3 minutes
    • Quelques Baby­bels indi­vi­duels
    • Des compotes en gourdes indi­vi­duelles
    • Des barres de céréales
    • Un sachet de graines et fruits secs mélan­gés

    En réalité ça fait trop. J’au­rais du choi­sir entre les coquillettes et les céréales, entre les salades indi­vi­duelles et le taboulé, les barres de céréales et les graines.

    Non seule­ment je prévois trop mais j’ai en plus peur de taper dedans et de risquer de manquer ensuite. Du coup je porte pour rien.

    Agré­ments

    À côté j’avais une petite salière en plas­tique — de type celles de cantine, du sucre en sticks indi­vi­duels et des mignon­nettes de sauce vinai­grette. Le format était je pense le bon. La quan­tité beau­coup moins : J’ai prévu pour trois sur un voyage long et on a fait plus court à deux donc ce n’est pas repré­sen­ta­tif mais je pense que j’ai quand même nette­ment trop pris.

    Éner­gie

    J’ai vu Sarah distri­buer les dragi­bus au compte-goutte lors du dernier trajet et j’ai repro­duit avec le fiston. Ça lui permet l’ap­port en sucre continu plus un peu de moti­va­tion. J’ai vu une nette diffé­rence quand je le fais et quand je ne le fais pas.

    Petit déjeu­ner

    J’ai trouvé un petit pot de bébé en plas­tique, le type qui ferme hermé­tique­ment pour mettre du lait mater­nel. Le mien était rempli de confi­ture.

    À côté il y avait le pot de pâte à tarti­ner en carton. Ça plus la baguette le matin, c’était parfait.

    Frais

    Je me suis peu arrêté dans les villes et du coup j’ai pris trop peu de frais, trop peu de fruits. J’au­rai dû rééqui­li­brer si le voyage avait conti­nué.

    Il faut dire que c’est plus facile de faire des sand­wich avec du pain de mis, du fromage coupé et des tranches de poulet qu’a­vec des crudi­tés dont on ne sait pas quoi faire s’il en reste.

    Conte­nant

    J’ai pris au dernier moment un tupper­ware qui ferme hermé­tique­ment en pensant que j’y mettrais des crudi­tés ou un repas non fini. En pratique il m’a servi au petit déjeu­ner.

    À refaire j’en pren­drais au moins un par personne tant qu’ils s’em­boîtent les uns dans les autres. Ça m’in­ci­tera peut-être à prendre du frais, à la fois parce que ça ne s’écra­sera pas dans les sacoches mais aussi parce que je pour­rai stocker des restes.

  • Retour maté­riel après le voyage à vélo — Les habits

    J’étais obnu­bilé par la liste de maté­riel alors j’ai dit que je ferai un retour.

    1. Les vélos
    2. Les sacoches
    3. Le couchage
    4. La cuisine
    5. Les acces­soires
    6. Les habits
    7. La nour­ri­ture
    8. Le reste

    Un short, un panta­lon, une polaire, une casquette, une paire de gants vélo, une paire de lunette de soleil, une tenue de pluie, 4 tshirts dont un long, 4 jeux de sous-vête­ments, un pyjama, éven­tuel­le­ment des cuis­sards, un coupe-pluie, un maillot de bain, une paire de tongs ou sandales, une paire de chaus­sures, un tour de cou.

    Lessive

    Je suis heureux d’avoir résisté à la sirène du « un change complet ça suffit ». On a pris 3 changes en plus des vête­ments sur nous et c’était le bon compte. Ça veut dire une lessive tous les trois jours. Mon envie de faire plus est assez faible et un tshirt + un jeu de sous-vête­ments ça ne pèse pas assez lourd pour cher­cher à écono­mi­ser.

    Pour laver c’était de la lessive en feuilles (parfait), un hauban de tente ultra­lé­ger de 10 mètres comme fil à linge (et qui sert si besoin de pièce de rechange pour la tente en même temps), et plein de mini pinces à linges plas­tiques (genre 1/3 des normales). Au camping j’ai toujours trouvé une machine qui épargne de faire la lessive à la main.

    Synthé­tique

    J’ai pris un maxi­mum de synthé­tique parce que j’ai vu que ça me permet­tait de ne pas être trempé de sueur il y a pas mal de temps de ça. Après un premier séchage de lessive, je ne ferai plus aucune conces­sion sur ce point en voyage. La diffé­rence avec du coton est majeure, même sur une simple culotte. Ça permet de ne pas étendre pendant des heures.

    Cuis­sard

    Le cuis­sard c’est un truc que je n’avais jamais compris. Je n’en ai jamais utilisé jusqu’à main­te­nant, y compris dans mes voyages à vélo plus jeune. La selle confort en rembour­rage gel me suffi­sait.

    Là j’ai quand même vite au mal au cul, avec la même selle qu’il y a 20 ans. J’ai pris du poids et de l’âge entre les deux. Il faudra que j’es­saie voir si je me range à l’avis de tout le monde et que je prends des cuis­sards. Ma femme et mon fils y sont déjà passés et voient une vraie diffé­rence.

    Maillot de bain

    J’ai appris la dernière fois : Toujours un maillot de bain au cas où le camping ait une piscine, et toujours un maillot de bain qui soit accepté dans les piscines (pas un short ample).

    Contre toute attente ce sont les petits campings muni­ci­paux à 10 € qui ont souvent une piscine, ou plutôt une entrée gratuite à la piscine muni­ci­pale à 50 mètres.

    Vête­ment de pluie

    Le coupe-pluie me semble indis­pen­sable. On a aussi pris aussi les panta­lons de pluie. Je me suis dit que si la pluie tombe, on sera content de pouvoir rejoindre le camping avec.

    En pratique je ne sais pas si c’est vrai­ment néces­saire, entre la faible proba­bi­lité d’une pluie signi­fi­ca­tive impré­vue, et le fait qu’être trempé en été n’est pas si drama­tique que ça.

    Seul je le re-pren­drai, parce que rouler sous la pluie ne me gêne pas. En famille c’est moins certain.

    Polaire

    Je l’in­dique parce qu’il y a eu discus­sion de savoir si, avec la cani­cule, la polaire était vrai­ment utile. Réponse : oui.

    Le soir il peut faire plus frais. Ça a été le cas et la fatigue du soir démul­ti­plie faci­le­ment tout. Même chose le matin.

    Tongs

    Indis­pen­sable dès que je sors de vélo, la paire de tongs pour avoir les pieds à l’air.


    Futur

    • S’as­su­rer d’éli­mi­ner tout vête­ment coton dans les bagages de la famille.
    • Peut-être essayer des cuis­sards pour moi et arrê­ter de me croire diffé­rent.
    • Peut-être reti­rer le panta­lon de pluie si je ne suis pas seul, vu la faible proba­bi­lité de rouler sous la pluie en famille.
    • Le tour de cou était proba­ble­ment de trop mais il ne pèse rien et s’il y avait eu du vent j’au­rais peut-être dit le contraire.