Pour moi les cuissards c’était pour les cyclo-sportifs sur leur vélo de route et leur selle étroite. Pour faire un raccourci : pour les vrais, les dûrs, ceux qui ont un cintre route et qui vont deux fois plus vite que moi.
Mettre un cuissard c’était me prendre pour ce que je ne suis pas, au point d’en être ridicule.
Et puis… je n’en ai jamais ressenti le besoin. Sur mon vieux vélo avec sa large selle en gel, je tenais les 40 ou 50 km d’une traite sans avoir mal. On pouvait faire le reste du trajet après une grosse pause méridienne.
J’ai quand même eu un doute et je suis allé acheter un cuissard au soir la veille du 100 km. Je me suis dit que je serai ridicule mais moins que si je ralentis tout le monde en me plaignant du fessier. Au mieux ça ne se verrait pas sous le short, au pire j’avais même prévu de quoi me changer.
Les leçons :
Difficile de dire si ça serait passé sans, mais le cuissard ne m’a pas gêné et j’ai l’impression qu’il a même grandement aidé. Je pourrais en dire autant des gants vélo.
Il serait peut-être temps que j’arrête de craindre le ridicule. Mis à part une poignée de participants, tout le monde était en gants et cuissard, y compris voire surtout ceux qui étaient des habitués de ces distances. Ceux qui ne paraissaient pas en avoir en portaient même peut-être sous leur short.
Il serait donc de la même façon temps que j’accepte de ne pas être différents et que je me facilite la vie avec le matériel qui existe.
Bref, si vous êtes comme moi, arrêtez de tergiversez et mettez donc cuissards et gants pour plus de 50 km. Tant pis si certains vous trouvent ridicule. Moi je vais m’acheter deux cuissards de plus pour tourner avec trois cet été.
Mise à jour : On a trouvé un Winora Yukatan X12 qui semble convenir parfaitement à notre recherche.
Je cherche un vélo à assistance électrique pour partir en rando avec une personne lourde peu sportive et ses sacoches, idéalement jusqu’à 60 km au moins pour des étapes vallonnées avec des montées ponctuelles de 10%, en été sur des chemins cyclables terre et bitume.
Évidemment, l’investissement servira aussi pour le quotidien en ville et en balade le week-end mais les contraintes y sont plus faibles.
Sans avoir épluché toutes les marques, pour l’instant je trouve ce qui suit. Je mettrai à jour la liste au fur et à mesure.
Il y a des Lapierre et des Gazelle qui pourraient correspondre mais ils n’indiquent pas le poids total autorisé, ce qui ne m’incite pas à croire qu’il est au-dessus des 130 kg.
Mes critères
Un poids total autorisée d’au moins 145 kg (95 kg de cycliste + 20 à 25 kg de bagages et accessoires + 25 à 30 kg de vélo et batterie)
Une autonomie constructeur d’au moins 100 km. C’est calculé à plat sur bitume en mode éco avec une personne de 70 kg sans bagages, donc c’est ce que je prévois pour 50 km de mon cas réel.
Un moteur avec un couple de plus de 60 Nm, pour tenir des montées avec le poids anticipé et une bonne assistance.
Un développement minimum de moins de 2,2 mètres. Ça me parait déjà élevé mais je précise parce que je vois des VAE avec un développement minimum plus proche des 3 mètres.
Et le prix ? Pour l’instant je ne filtre pas, pour d’abord voir le nécessaire. J’ai en réalité peur que même le premier prix soit démesuré : On a de quoi se payer des vacances tout inclus plusieurs années pour ce prix.
Je me suis acheté un vélo hors de prix il y a maintenant deux ans.
Si j’exclus les vélos d’enfant, mon seul autre vélo a été un VTC BTwin moyen de gamme acheté il y a maintenant presque 20 ans. Achat utilitaire pour un voyage autour de la Loire, je n’ai jamais eu d’accroche avec, au contraire.
Là c’était mon premier vrai vélo plaisir. J’ai mis des mois ou plus à me décider, à trouver ce que je voulais, et à le trouver sur le marché en pleine crise covid.
Me payer un vélo à ce prix là n’allait pas de soi pour moi, mais le super haut de gamme était un peu la condition pour que je transforme mes trajets sans y aller en contrainte morale pénible. C’était aussi le retour à des trajets domicile-travail et je ne voulais pas qu’ils soient vécus négativement.
Le prix restait un peu un excès dont je n’étais pas si fier. Aujourd’hui j’ai un poids qui part : J’ai remboursé mon vélo en évitant 70 € de transport en commun chaque mois pendant 25 mois. Aujourd’hui je peux dire qu’au final il ne m’a rien coûté et que c’était raisonnable. Si vous me connaissez vous savez à quel point c’est un critère fort pour moi.
Peut-être que ça aurait aussi fonctionné avec un vélo deux fois moins cher. Peut-être aussi que je n’aurais pas eu la même affinité et que je ne l’aurais pas sorti aussi facilement.
Au-delà de la question financière c’est aussi ça le vrai retour : Je ne prends plus que le vélo. C’est un confort par rapport à la voiture mais aussi par rapport aux transports en commun, et ça qu’il pleuve ou qu’il vente. C’est au point où je me demande comment je faisais avant.
Ma seule complainte, j’en ai toujours, c’est mon manque d’autonomie pour son entretien. Ca viendra.
On m’a prêté une ancienne Ortlieb back-roller plus CR, une ancienne Vaude aqua back. De mon côté j’avais des anciennes sacoches à rabat premier prix 2005 de Go Sport, plus petites que les sacoches Ortlieb ou Vaude mais rectangulaires plutôt qu’en cône, et avec une poche sacrément volumineuse sur le dessus.
Ortlieb back-roller plus CR
Le protocole
Test absolument non scientifique et totalement subjectif, j’ai simplement bourré les sacoches à tour de rôle avec des serviettes éponge pour voir laquelle contenait plus.
Vaude acqua back
Les sacoches 20 à 25 litres
Le résultat que j’avais lu et que je voulais vérifier : Les Ortlieb titrées à 20 litres et les Vaude titrées à 24 litres contiennent grosso modo la même chose en pratique. La Ortlieb semblait même avoir un peu de marge.
Nouvelles Ortlieb back-roller plus
Les deux contenaient un peu moins que mes anciennes Go Sport si on compte la poche supérieure. Un peu décevant sachant que mes anciennes pèsent moins de 500 grammes l’une, à comparer aux 840 et 970 grammes des Ortlieb et Vaude. L’imperméabilité pèse sur la balance.
Petite attention : Sur Ortlieb le « plus » indique le tissu souple en cordura (par opposition au PVC luisant historique des « classic »). Les nouvelles « plus » ont aussi une poche (mais pas les « classic ») et les anciennes « plus » sans poche sont renommées « plus CR ». Sur Vaude le « plus » indique au contraire la présence d’une poche sur le devant.
Les sacoches 30 à 35 litres
Mes anciennes Btwin
J’ai testé les Vaude, j’ai vite compris à quel point ce serait le jour et la nuit par rapport à mes anciennes. C’est au point que j’imagine aussi renouveler ma paire de grosses sacoches Btwin de 2010 (à peu près le même volume de base mais deux grosses poches en plus).
Je mettais un petit tiers de plus dans mes Btwin que dans mes Go Sport. Si les Go Sport étaient dans les 23 litres, je peux imaginer que les Btwin étaient dans les 30 litres.
Ortlieb back-roller pro plus
On m’a prêté des Ortlieb back-roller pro plus (le « pro » est pour le volume supplémentaire) et la capacité correspond bien à celle de mes anciennes, avec un filet sur le devant en plus. C’est cohérent vu qu’elles sont titrées à 35 litres dont 4 litres dans le filet.
Ne tenez pas compte des litrages des fabricants
Decathlon Velo 900 27L imperméable
Je suis convaincu que chaque marque a une méthode cohérente pour mesurer les capacités mais c’est sans valeur pour vous et moi :
Les 20 litres d’Ortlieb correspondent très bien aux 24 litres de Vaude
Les 27 litres de Decathlon sont visuellement bien plus petites que les 20 litres d’Ortlieb et j’imagine que le litrage est mesuré sacoche non enroulée
Les 35 litres de l’Ortlieb pro ne sont pas 75% plus volumineuses que les 20 litres du même fabricant, sauf à considérer ce qu’on peut mettre dans le filet
Bref, si vous voulez comparer, il faut tester.
Ok mais tu prends quoi au final ?
Ça c’est une ***** bonne question. Je n’ai pas beaucoup avancé depuis mes interrogations précédentes et je suis preneur d’aide si vous en avez.
Mon esprit raisonnable, encouragé par ceux qui me disent que plus les sacoches sont larges et plus on les charge, me dit de prendre les nouvelles Ortlieb back-roller plus. Ce sont celles avec la poche : j’aime bien l’idée d’avoir des poches en plus du compartiment principal. Je regrette juste que celles « haute visibilité » n’aient pas de poche pour l’instant, sinon j’aurais pris ça.
Mon esprit anxieux me dit que je partais avec les grandes quand j’avais mon fils, donc qu’il serait plus logique de prendre d’office les Ortlieb back-roller pro plus, d’autant que le surpoids est peu significatif et qu’il y a une sangle pour réduire l’épaisseur quand on n’en a pas besoin.
Si jamais je fais plus que remplacer la paire cassée et que je renouvelle aussi les anciennes, je prendrai une paire de chaque et j’éviterai d’avoir à choisir ;-)
Et pourquoi pas [autre marque] ?
J’ai exclu les Vaude, qui sont légèrement plus lourdes pour pas plus de volume, mais surtout parce que j’ai entendu parler de décollement et que je l’ai justement vécu avec la paire qu’on m’a prêté l’année dernière.
J’ai exclu les Décathlon malgré les 27 litres annoncés. Sans tester, elles semblent vraiment moins volumineuses. Si quelqu’un les a pour me permettre de tester, je comparerai avec plaisir.
J’ai retenu volontairement du haut de gamme parce que j’ai pu constater la différence mes anciennes (crochets + élastique pour l’une, scratchs pour l’autre) et les Vaude. C’est vraiment le jour et la nuit. Je ne m’imagine pas reprendre des galères volontairement. Je suis preneur d’autres recommandations, mais je ne veux pas de crochet à élastique, de scratch ou de système d’accroche artisanal.
Enfin, je tiens à l’étanchéité. Je sais que je ne vais pas souvent avoir de la pluie, qu’un sac poubelle à l’intérieur suffit et qu’au pire il y a des bâches anti-pluie qu’on peut mettre par dessus. Avoir de l’imperméabilité par défaut me donne quand même une tranquillité d’esprit que je ne renierai pas forcément. Je suis même prêt à prendre des sacoches à enroulement plutôt qu’à rabat alors que je n’aime pas du tout ça, juste parce que toutes les imperméables haut de gamme sont à enroulement.
Mon idéal, si vous le trouvez, ce sont des sacoches de 25 à 30 litres, imperméables, à rabat plutôt qu’à enroulement, avec des poches externes pour séparer les choses, et un système d’accroche similaire à ceux de Vaude ou Ortlieb, pour entre 600 et 900 grammes la sacoche.
Ça y est, les trajets du matin et du soir se font de nuit. Amis cyclistes, assurez-vous d’avoir :
🔦 une lumière blanche à l’avant, non clignotante, accrochée au cadre et pas au casque, suffisamment puissante, avec un coupe-flux ou pointée vers le bas ;
🏮une lumière rouge à l’arrière, non clignotante, accrochée au cadre et pas en hauteur, suffisamment puissante ;
🦺 des réflecteurs, au moins sur les roues, idéalement aussi sur vous.
C’est indispensable pour qu’on vous voit, même entre cyclistes, même si la ville est elle-même éclairée et que donc vous y voyez vous-même correctement.
Je me pose encore quarante-treize questions alors je laisse mes réflexions ici pour ne pas repartir de zéro la prochaine fois et avec l’espoir que vous me guidiez un peu.
Contexte : Je suis parti la dernière fois avec le fiston. Il avait 2 sacoches Vaude de 20 L chacune. Moi j’avais des vieux trucs de 20 ans qui venaient de Decathlon, un système avec 2 sacoches arrières plus une troisième par dessus qui peut se transformer en sac à dos. Les quatre sacoches sur les côtés étaient remplies au maximum, les miennes assez lourdement ; la centrale ne contenait que la grande tente.Je ne connais pas le litrage de mes deux arrières mais j’en mettais nettement plus que dans les 20 L de Vaude, à la fois en poids et en volume. On va compter un bon 25 à 30 L.
Les miennes, déformées et sans vrai renfort ni accroche stable, finissaient fréquemment dans les rayons. Ça plus la galère systématique pour les accrocher et les décrocher avec ce système à base de scratch, j’ai prévu de les changer contre un système aussi pratique que les Vaude ou les Ortlieb.
Reste à savoir ce que je prends. Les deux contraintes : Simple et imperméable.
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Je pars visiblement plus chargé que la moyenne, que ce soit en poids ou en volume. Une simple paire de back-roller 2×20 L risque de faire vraiment juste.
La paire de back-roller pro en 2×35 L m’a fait de l’oeil. J’ai plus de volume, et une poche extérieure qui me semble pratique pour un sweat, une casquette, un truc acheté à manger, une serviette humide, etc. Le surpoids de 350 grammes est modéré face au volume ajouté. Le piège c’est que je peux y mettre plus de volume mais pas plus de poids.
En modulable j’ai aussi l’option de prendre les back-roller 2×20 L et d’ajouter un rack-pack central de 30 ou 50 L. Le 30 L n’ajoute que 500 grammes à la solution précédente mais avoir trois sacs sera plus sympa que deux pour le rangement, et je peux ajouter un peu de poids. Le 50 L ajouté encore 100 grammes de plus mais me permettrait d’y fourrer aussi ma tente au sec.
On m’incite très fortement à charger aussi l’avant pour équilibrer le vélo. Je peux prendre les back-roller 2×20 L à l’arrière et ajouter une paire de gravel-pack 2×12 L à l’avant. C’est déjà plus lourd en soi mais il me faut aussi ajouter un porte-bagages avant. Je sais que j’y gagnerai pas mal en praticité de rangement d’avoir 4 sacoches mais est-ce que ça vaut vraiment le surpoids de 1.5 kg par rapport aux 2×35 L alors que je vais déjà partir trop chargé ?
Évidemment on peut mélanger tout ça mais pour l’instant je risque de faire des voyages d’une à deux semaines sur des voies vélo connues, pas des tours du monde (même si en réalité je ne sais pas si j’emenerais vraiment beaucoup de choses en plus dans un tour du monde).
Bref, je sèche totalement entre les trois dernières options. Avez-vous un recommandation éclairée ?
Probablement rien d’enthousiasmant là dedans mais si ça peut servir…
Réparation
Contre la crevaison : Une chambre à air de chaque type, quelques rustines, des démonte pneu en plastique.
Outillage vélo : Un multi-outil vélo simple, deux clefs plates fines et super légères.
Visserie : Mon précédent trajet j’ai un porte-bagage qui a décidé de prendre la tangente sur le vélo du fiston. Ce coup ci j’avais quelques vis M5 et M6 de différentes tailles et quelques boulons bloquants. Je n’en ai pas eu besoin mais je pense les garder.
Je n’ai pas pris de câble ou de rayon de rechange. Mes trajets sont au plus de 60 km par jour, jamais loin des villes, et je dors en camping. Si j’ai quelque chose qui casse, je peux retrouver un vélociste quitte à attendre quelques jours au camping, et au pire je peux pousser à la main jusqu’à un village. Je ne saurais de toutes façons pas changer ça moi-même, n’en ayant jamais eu besoin.
Attaches
J’ai pris un lot de serflex et j’ai au utilisé 6 dans le lot. Vu le poids, c’est le genre de choses qui me parait indispensable pour toute réparation de fortune.
Je sais que certains proposent de prendre du scotch d’électricien. De mon côté j’ai quelques bandes velcro qui me servent pour à peu près tout. Ça tient aussi bien si ce n’est mieux que du scotch et ça se repositionne à l’envie.
Ajouté à ça, j’ai quelques mousquetons super légers de quelques grammes chacun pour juste accrocher des choses et ne pas les perdre. J’en ai sorti 3 pendant le trajet donc je ne regrette pas.
Toilette
Comme pour la lessive et la vaisselle, j’ai fait le choix du solide avec un savon corps et cheveux. Ça veut dire là aussi avoir un savon humide qui traîne dans un sac étanche. Je pense que la prochaine fois j’étudierai plus sérieusement la possibilité d’emmener du gel douche dans une petite bouteille adaptée.
Côté serviettes les Sea To Summit Airlite L sont impressionnantes. On a une 60×120 cm dans un volume ridicule et qui sèche quasi immédiatement pour 70 grammes et un petit sac parfait pour ça.
La trousse de premiers secours est bien compressée mais avec plusieurs pansements de chaque taille, y compris des spécifiques ampoules au pieds, des compresses, du sparadrap, une bande, quelques bandes de suture rapide, du désinfectant en pipettes individuelles, une pince à épiler, un coupe ongle, du sérum physiologique, du paracétamol, et des anti-histaminiques pour moi.
J’ai utilisé une partie non négligeable des items de bobologie et je ne pense rien enlever à l’avenir.
J’ai fait l’impasse sur le matériel pour blessures graves considérant que je ne serai jamais assez loin de la civilisation pour qu’un usage par un néophyte soit plus pertinent qu’un coup de fil aux urgences. Je ne me balade pas avec en temps normal et je n’ai pas l’impression que mes risques soient plus grands sur mes trajets en vélo.
À côté j’ai quand même un petit tube de crème solaire écran total et une bombe anti-moustique. Cette dernière ne nous a pas servi. Je compte plus sur la moustiquaire de la tente et je ne sais pas si je dois vraiment emporter de nouveau la bombe anti-moustique à l’avenir.
Rangements
Avant de partir j’ai acheté deux filets à linge 40×30 cm par personne, et plusieurs filets en nylon avec cordon de serrage. Le poids est totalement négligeable et ça a permis avec succès de savoir gérer le rangement des sacoches sans rien qui traîne, pas même les vêtements.
J’ai même pris un sac à dos pliable de 10 L, le type Decathlon qui ne pèse rien, au cas où on se balade à pieds. En pratique on avait toujours nos sacoches avant en bandoulière donc c’était probablement inutile.
Sangles
J’avais prévu deux tendeurs à trois brins et deux tendeurs filet pour le total des trois vélos. J’imaginais les utiliser pour mettre la polaire sur le porte-bagage. Plus jeune on avait transporté un melon comme ça.
Ici je n’en ai pas utilisé un seul. Je garderai peut-être le filet, éventuellement un tendeur simple. Pas plus.
Gilet réfléchissant
Un par personne, au cas où. C’est non-utilisé ici même si en fait j’aurais peut-être pu les sortir sur les quelques parties de route fréquentées avec des voitures qui allaient trop vite.
Je crois que je ne les retirerai pas dès la prochaine fois mais je surveillerai. Je regrette juste que ça prenne un sacré volume par rapport au reste.
Ce que je compte trouver quasiment tout le temps :
Des salades individuelles en boite, le genre de choses qui tient 3 ans sans même être au frais et qui permet de ne jamais se trouver à court.
Du taboulé épicé en sachet. Il y a juste besoin d’eau en faible quantité (merci l’éco-cup qui fait doseur) sans même la chauffer. Là aussi c’est la solution à toute épreuve.
Des céréales en sachet qui s’hydratent hors du feu, mais cette fois ci avec de l’eau chaude.
Un paquet de coquillettes 3 minutes
Quelques Babybels individuels
Des compotes en gourdes individuelles
Des barres de céréales
Un sachet de graines et fruits secs mélangés
En réalité ça fait trop. J’aurais du choisir entre les coquillettes et les céréales, entre les salades individuelles et le taboulé, les barres de céréales et les graines.
Non seulement je prévois trop mais j’ai en plus peur de taper dedans et de risquer de manquer ensuite. Du coup je porte pour rien.
Agréments
À côté j’avais une petite salière en plastique — de type celles de cantine, du sucre en sticks individuels et des mignonnettes de sauce vinaigrette. Le format était je pense le bon. La quantité beaucoup moins : J’ai prévu pour trois sur un voyage long et on a fait plus court à deux donc ce n’est pas représentatif mais je pense que j’ai quand même nettement trop pris.
Énergie
J’ai vu Sarah distribuer les dragibus au compte-goutte lors du dernier trajet et j’ai reproduit avec le fiston. Ça lui permet l’apport en sucre continu plus un peu de motivation. J’ai vu une nette différence quand je le fais et quand je ne le fais pas.
Petit déjeuner
J’ai trouvé un petit pot de bébé en plastique, le type qui ferme hermétiquement pour mettre du lait maternel. Le mien était rempli de confiture.
À côté il y avait le pot de pâte à tartiner en carton. Ça plus la baguette le matin, c’était parfait.
Frais
Je me suis peu arrêté dans les villes et du coup j’ai pris trop peu de frais, trop peu de fruits. J’aurai dû rééquilibrer si le voyage avait continué.
Il faut dire que c’est plus facile de faire des sandwich avec du pain de mis, du fromage coupé et des tranches de poulet qu’avec des crudités dont on ne sait pas quoi faire s’il en reste.
Contenant
J’ai pris au dernier moment un tupperware qui ferme hermétiquement en pensant que j’y mettrais des crudités ou un repas non fini. En pratique il m’a servi au petit déjeuner.
À refaire j’en prendrais au moins un par personne tant qu’ils s’emboîtent les uns dans les autres. Ça m’incitera peut-être à prendre du frais, à la fois parce que ça ne s’écrasera pas dans les sacoches mais aussi parce que je pourrai stocker des restes.