Quel que soit l’application ou le document, quelle que soit la taille initiale, un des premiers retours fonctionnels sera « le logo n’est pas assez gros » et il sera mis en haut des listes d’importance.
Catégorie : Vie professionnelle
-
Loi du logos magnus
-
Quelques conseils de CV
Quelques conseils qui n’engagent que moi après quelques tours dans des CV cette semaine :
Jeunes diplômés :
- Ne précisez pas votre mention si vous n’avez pas au moins obtenu « bien », voire « très bien ». Ne mentionnez pas de classement si vous n’êtes pas dans les tout premiers.
- Continuez à détailler vos projets scolaires et stages, mais précisez très explicitement quand ils appartiennent à cette catégorie. C’est très négatif quand on s’en rend compte après coup au niveau des dates. Si ça ressemble à de vrais travaux au niveau organisation, précisez le, avec la taille de l’équipe, l’organisation, le résultat…
- L’inventaire de toutes les technos que vous avez touché de près ou de loin est de faible valeur ajoutée. Hiérarchisez et mettez en avant celles que vous souhaitez développer ou celles pour lesquelles vous êtes significativement au dessus du lot. Au pire montrez que vous avez compris l’annonce à laquelle vous répondez et mettez en avant les mêmes technos.
- Trouvez ce qui vous différencie de vos collègues de promotion et mettez le en avant. C’est quasiment uniquement là dessus que se fera la sélection.
- Il peut être intéressant de montrer que vous avez un parcours professionnel ouvrier ou manutentionnaire, mais pas la peine de détailler les nombreuses expériences, voire de mettre une explication complète pour chaque. Si vous avez des expériences significatives propre à votre métier, vous pouvez ne pas perdre de place avec celles qui sont hors cadre.
- Mettez des liens vers tout : école, projets, associations, entreprises…
- Si vous avez des recommandations de professeurs ou maitres de stage, c’est fondamental de le préciser quelque part.
- Informatique : Précisez vos affinités, vos envies, les projets open source qu’eventuellement vous avez rejoint (même si c’est uniquement pour la documentation), un blog technique, etc.
Et pour tous :
- Dans une expérience, précisez toujours la taille de l’équipe, votre rôle exact, les enjeux spécifiques, difficultés, réussites
- Ne cherchez pas à être exhaustif : Détaillez ce qui doit l’être parce que c’est intéressant pour le recruteur, le reste nécessite tout juste une ligne. Vous avez plein d’expériences ? mettez les deux dernières et peut être une ou deux très significatives, pas plus.
- Vous avez de l’expérience professionnelle ? ne vous étendez pas trop sur votre parcours étudiant ou vos diplômes, ne remontez pas jusqu’au BAC, même si vous avez une très bonne mention. Votre parcours ensuite est bien plus représentatif.
- Détaillez tout ce que vous faites hors ou en plus de l’école : Associations, auto-formation, projets personnels… même si ce n’est pas dans votre branche professionnelle.
- Inversement : Le fait que vous amiez sortir entre amis, aller au cinéma, voyager, le sport… n’est que de peu d’utilité si vous n’avez pas développé quelque chose de significatif ou transformé ça à un moment où un autre en vrai projet (genre « balade en sac à dos sur les routes de Chine » ça oui)
- Je crois que je suis un cas à part mais : Je me moque de votre photo (surtout si elle est de mauvaise qualité), de votre date de naissance, de la présence d’un permis B
- Le CV c’est bien, mais un court texte qui décrit ce que vous souhaitez faire, pourquoi, ce qui vous intéresse chez le recruteur, et globalement ce qui vous différencie d’un autre et montrer que vous avez compris l’annonce : c’est surtout ça l’important.
Rien de tout cela n’est grave, pas même les fautes de français, mais il faut faire des choix sur les personnes qu’on rencontre. La différence se fait forcément entre ceux qui ont su mettre en avant ce qui semble pertinent et ceux qui l’ont noyé ou mal formulé au point que ça n’attire pas au final.
-
Que proposer aux conférences web ?
Je ne sais pas si je proposerai des sujets cette année aux différentes conférences : Sudweb, Parisweb, Mix-IT, Blend, PHP Tour et toutes les autres.
Ce n’est pas l’envie qui m’en manque. L’expérience s’est toujours révélée positive, quand bien même l’intervention elle-même n’a pas été au niveau espéré : Le feed-back sur place, celui dû à la petite visibilité offerte, la plus grande facilité pour aborder la discussion avec tout le monde…
Et puis échanger est généralement à la base de ces événements. Je propose ma pierre, les autres font de même, et on repars tous avec les pierres des voisins. En ne proposant rien, quitte à ce que ce ne soit pas accepté, j’ai l’impression d’être un client, d’acheter une formation, et ce n’est pas l’esprit que je recherche.
Mais aujourd’hui je ne vois simplement pas quoi apporter de neuf. Mon métier a évolué. J’ai toujours des expertises fortes mais pas vraiment nouvelles. Je suis certain d’avoir plein de choses à partager, mais je ne vois pas forcément de sujet assez délimité à proposer et à présenter.
Ou plutôt… et c’est le sens de ce billet, je peux parler de mon parcours professionnel, de ce qu’est mon nouveau métier, de comment je vis et j’ai vécu le passage de l’expert technique au directeur technique, celui du conseil à l’éditeur de solution, celui de travail pour des grands groupes à celui d’une petite startup.
Le sujet est difficile, casse gueule pour savoir ce que je peux dire et comment, mais surtout j’ai peur que ce soit limite hors sujet dans la plupart des événements web et développeurs. Donc : Est-ce que ça peut vous intéresser ? Pensez-vous que ça puisse être dans le cadre d’un ou plusieurs événements auxquels vous me voyez habituellement ? Qu’en attendriez-vous éventuellement ?
-
Et si… oui mais en fait non.
Un matin je me suis dit « et si je rédigeais ce livre que j’ai en tête, que je le publiais librement, en incitant les gens à faire un don s’ils pensent eux-même y avoir gagné quelque chose ? »
L’idée est d’abord de tester un modèle de rémunération différent, inversant la chaîne commerciale. Certains en parlent depuis longtemps, pourquoi ne pas tester moi qui ai le confort de ne pas en dépendre pour vivre.
Sauf qu’un don pour une activité pro, ça semble juste un concept qui n’existe pas. J’ai eu beau explorer le site des impôts ou appeler à l’aide, niet. On verra si une demande directe au percepteur amène mieux, mais j’ai peu d’espoir.
Je ne peux même pas considérer que je vends le livre à un prix libre. Non seulement ça n’est pas le modèle (je tiens à ce que le don se fasse après l’utilisation du livre, pas avant), mais en France celui qui diffuse un livre est obligé par la loi d’en fixer un prix qui sera unique sur tout le territoire.
Solution de contournement à tout ça : Le don est en fait une vente d’un truc annexe et symbolique, par exemple une petite image. Défaut : On perd la TVA réduite du livre, ce qui sur une vente à des particuliers diminue d’autant la rémunération.
Encore une autre idée : Faire un joli dessin et considérer que le don correspond à la vente de droits d’exploitation et de reproduction, via une note de droits d’auteur. Avantage : Ce sont des droits d’auteur, assez intéressants au niveau fiscal et aussi en TVA réduite.
Reste qu’ensuite il faut se déclarer. Je trouve normal de payer des cotisations sociales sur ces revenus à l’AGESSA, mais les emmerdements et risques financiers de monter une structure juridique juste pour cette petite expérimentation… ça me bloque.
C’est encore plus vrai quand je réalise qu’avoir une structure à côté peut me faire perdre mes droits au chômage sur mon activité salariée, voire pourrait entrer en conflit avec une clause de mon contrat de travail.
Vu ce que ça peut me rapporter et mon temps disponible, ça ne vaut clairement pas le coup. Finalement, si j’écris un nouveau livre, je passerai certainement par un éditeur classique, avec une vente classique, simplement pour éviter une usine à gaz. Et du coup c’est vachement moins attirant pour moi, et financièrement et intellectuellement. Comprendre : je ne le ferai pas.
Tant pis.
-
Marchands de tapis Dell
J’ai commandé chez Dell cinq postes fixes pour développeur :
On commence à 900 € HT en novembre 2011, puis 945 € un mois après avec des allers-retours, puis 955 € en mars 2012 toujours après les allers-retours de négociation. On repasse à 900 € HT en avril par chance lors de l’absence du commercial et de son remplacement par un tiers.
Négocions encore une fois, voilà que j’ai le nouveau modèle à 780 €, processeur plus puissant (même fréquence, nouvelle génération), à condition de tirer un trait sur la carte graphique additionnelle. Considérant que la dite carte graphique vaut moins de 80 € HT prix public dans le commerce et que le changement de processeur est plus un renouvellement de gamme comme il y en a tous les six mois à prix équivalent, j’ai du mal à voir la cohérence.
Qu’à cela ne tienne, voilà qu’on revient à 955 € HT en septembre 2013, 22% d’augmentation, toujours avec un processeur nouvelle génération (même fréquence) et 16 Go de RAM mais en sacrifiant un des deux disques. Pour le coup impossible de comparer à configuration strictement équivalente mais je suis même probablement au-dessus des prix publics entreprise du site Dell.fr. Mêmes problèmes pour les écrans.
Dites DELL, comment est-ce qu’on change de commercial attitré, parce que là c’est non seulement n’importe quoi mais ça donne une sacrément mauvaise image de votre service. J’ai autre chose à faire que jouer le marchand de tapis pendant des heures à chaque commande, et vous aussi probablement.
À force je vais finir par aller ailleurs, même si c’est plus cher, entre le temps de négociation et la relation de confiance, je vais y gagner. Si rien ne s’arrange, je suis preneur de conseils pour un revendeur pro (donc PC monté, avec les garanties longues qui vont bien, etc.).
-
Forte baisse des salaire en raison de la pénurie d’informaticiens
Remix Jobs relance la polémique sur la mythique pénurie d’informaticiens. Les mêmes rengaines arrivent chaque année entre juin et septembre. Cette fois ci, une semaine après, on voit dans la presse « Forte baisse des salaires à l’embauche en SSII ».
Je n’arriverai pas à comprendre comment on peut considérer qu’il y a tension au recrutement tout en faisant baisser les salaires. Ce n’est pas tant que les informaticiens soient mal payés – ils ne le sont pas – mais les salaires d’autres pays sont bien plus haut, donc logiquement la difficulté de recherche devrait faire monter les salaires au moins au niveau des voisins.
Et qu’on ne se trompe pas, si la proportion des expérimentés passe en dessous du tiers pour les nouvelles embauches, ce n’est pas qu’ils sont rares, c’est que personne n’a envie de payer pour l’expérience avec autant de jeunes diplômés sur le marché.
Métier mal considéré, location de personnel (majorité des embauches en SSII), salaire en baisse, développeurs français reconnus comme bons et mieux payés à l’étranger, dévalorisation du développeur avec plus de cinq ans d’expérience (« il aurait du passer chef de projet »)… il ne faut pas s’étonner que certains claquent la porte des recruteurs français.
-
Dis tonton, pourquoi est-ce si cher un indépendant ?
Je vous propose désormais une version plus à jour, ce contenu n’est laissé que pour archive.
Et moi généralement de faire les gros yeux parce que la plupart des indépendants français sont assez bas au niveau rémunération. Du coup j’ai fait formalisé pas mal de discussion que j’ai avec quelques uns depuis pas mal d’années. Tout ça est sur une grille en ligne. Ça évoluera en fonction des retours mais ça permet de dégager un ordre de grandeur d’équivalence financière entre un salarié et un indépendant :
Taux journalier Salaire mensuel net équivalent 300 € /jour 1100 € net / mois 400 € /jour 1825 € net / mois 500 € /jour 2550 € net / mois 600 € /jour 3250 € net / mois 800 € /jour 4700 € net / mois Je m’attends à ce que les équivalents salaires baissent au fur et à mesure des corrections apportées par les lecteurs. J’ai certainement oublié des postes de charge.
Je suis preneur de tout commentaire pour améliorer cette grille, tout en gardant à l’esprit qu’il ne s’agit que d’un ordre de grandeur uniquement financière, jamais d’une équivalence réelle. De toute façon les questions de liberté, avantages, environnement social, risque et sécurité sont tellement personnelles qu’elles empêcheront toujours toute comparaison directe.
J’ai ici considéré un indépendant qui :
- travaille de chez lui (et pas sur Paris)
- facture ses frais de déplacement en sus et au réel
- facture au client ses journées blanches (journée non travaillée car en attente d’une validation client en retard par exemple)
- n’a pas difficultés pour trouver du boulot (pas de jours « là je n’ai pas trouvé de client »)
Rien que la facturation des journées blanches n’est pas dans les habitudes en France, et si ce n’est pas le cas il faut augmenter le taux journalier en proportion pour compenser. Idem pour les frais de déplacement.
Dernière note : J’ai mis un ratio « charges taxes et impôts » à 40%. C’est bien plus qu’un auto-entrepreneur (donc la grille n’est plus valide si vous facturez en moyenne moins que 250 à 300 euros par jour travaillé), et c’est probablement là où j’ai besoin de chiffres concrets des indépendants pour détailler et sortir un ratio plus précis. N’hésitez pas à m’amener le détail précis de ce que vous payez à ce niveau. On me remonte des chiffres très différents, parfois 35% parfois 45%.
Dans tous les cas, je ne parle que de rémunération, et d’ordre de grandeur et rémunération. Il n’est en aucune façon possible de dire qu’à un quelconque niveau, l’indépendant est à équivalence avec le salarié : Il y a trop de différences, qui ne se chiffrent pas.
-
Partage de fichiers en PME
Comment partager des fichiers au sein d’une PME d’une douzaine de personnes ?
J’ai mis mes réflexions ci-dessous mais je suis preneur de recommandations. J’ai du Mac, du Windows et du Linux, des postes fixes comme des portables (régulièrement hors site).
Un petit NAS
Point particulier : Il est difficile d’exclure des vols dans les locaux, donc il faut que la NAS puisse chiffrer le système de fichier et synchroniser avec un service à distance.
Je connais les Synology, suivant la gamme on peut imaginer un DS213j et un disque unique synchronisé en rsync avec un serveur distant. C’est de l’ordre de 270€ mais ça me demande un disque en ligne donc empêche d’y mettre des To.
On peut aussi imaginer un abonnement crashplan, ce qui permettrait de mettre un gros disque sans risquer de perte si jamais il disparait. Pour ça il faut sauter sur le DS413 afin d’avoir les 1Go de mémoire nécessaires. On monte à 600€ plus 50€/an.
On peut aussi imaginer un mini-PC avec un système d’exploitation dédié à un usage NAS, mais je n’ai aucun retour d’expérience là dessus. Quelqu’un a déjà utilisé FreeNAS ou OpenMediaVault ? Au niveau prix, on risque de rester dans la même gamme que précédemment.
Le défaut de ces solutions c’est qu’on va avoir des fichiers désynchronisés, des conflits parce que chacun édite dans son coin, des retours en arrière de version, etc. Par expérience c’est une horreur à gérer.
Une synchro en ligne directe
Comme de toutes façons il me faut une synchro en ligne, autant étudier la pertinence que tout le monde synchronise ses fichiers en ligne avec un système type Dropbox. Ça permet d’éviter que chacun risque d’avoir une version non à jour sur son poste, ou au contraire que la version modifiée ne soit pas copiée sur le serveur central.
Dropbox est clairement hors de prix pour le compte entreprise. On parle de 1800 à 2000 € par an. Pour juste partager des fichiers, ça me fait mal, quand bien même le service est très bon.
Box.net propose 13€ par utilisateur par mois, donc 2400€ par an pour 15. Ils offrent 1 To, ce qui est confortable à condition qu’un fichier partagé à 15 utilisateur ne compte pas 15 fois. Ça a l’air plus complet que Dropbox mais pas moins cher.
Wuala pour entre 10 et 15 personnes on parle de 600 € par an mais pour uniquement 100 Go. Je ne sais même pas si un fichier partagé compte plusieurs fois.
SugarSync n’est pas clair sur ses prix, ils parlent de 550$ par an pour 3 utilisateurs et il faut passer par un commercial pour plus de 10 personnes. Comme je n’ai en plus aucun retour d’expérience…
HubiC est disqualifié, n’ayant pas de client Linux.
On me dit d’ajouter Google Drive, qui peut effectivement synchroniser sur disque des fichiers divers. Un compte pro c’est 50 € par mois, donc 750 € par an pour 15 utilisateurs et 25 Go par utilisateur.
-
Changer de modèle
« si votre business est proportionnel au temps que vous y passez, changez de modèle »
L’objectif est simple : Passer plus de temps sur ce qui vous parait important (famille, amis, passion, aider les autres…) tout en continuant à gagner votre vie, potentiellement mieux, de toutes façons pas moins bien (payer les études au petit, s’offrir une terrasse pour profiter de la vie, financer des voyages pour découvrir le monde…).
Si le business est proportionnel au temps passé, il est possible d’augmenter un peu les marges mais dans l’ensemble vous êtes coincés, il faut choisir entre les revenus et ce qui est important pour vous (et si ce qui est important pour vous ce sont les revenus, peut-être devriez-vous y réfléchir encore un peu).
Vous pouvez aimer « juste » faire votre métier et votre rôle opérationnel. Pas de problème, c’est très bien et respectable. L’idée est de decorréler l’envie et le besoin. Quand vous n’aurez plus besoin de faire de l’opérationnel supplémentaire pour gagner vos revenus, vous pourrez toujours le faire, mais vous n’en dépendrez plus. Probablement que votre activité réelle changera un peu, peut être pour faire plus d’humanitaire, peut être pour faire les chose différemment ou plus sereinement. Vous le ferez par choix, uniquement par choix.
Même si l’équilibre vous convient actuellement, qu’en sera-t-il avec l’âge ? s’il vous arrive un accident ? si les besoins financiers augmentent ? si vous vous épuisez ? Et puis on a beau dire que l’équilibre nous convient, dans l’ensemble, gagner plus tout en consacrant plus de temps à ce qui nous semble important, qui refuse de considérer ça comme une bonne idée ?
Changer de modèle ?
Changer de modèle c’est créer un fonctionnement qui permette un passage à l’échelle : temps fixe pour développer, puis ventes ou clients non limités en nombre par exemple. Pour faire caricatural c’est la différence entre un modèle de société de services (vous faîtes payer votre temps passé) et un modèle d’éditeur (vous faites payer des licences ou des accès à une plateforme qui est déjà développée). Dans le second cas, si vous réussissez, vous pouvez au fur et à mesure vous dégager de l’opérationnel tout en maintenant voire en augmentant les revenus.
Poussé au maximum ça veut bien dire finir par embaucher des gens pour faire l’opérationnel obligatoire ou pour produire le service qui sera ensuite vendu en modèle d’éditeur, mais il ne s’agit pas, comme certains ont interprété, d’embaucher des indiens peu chers et d’empocher la différence.
Je parle d’un éditeur peut être éditeur d’un logiciel ou d’un service, si possible en abonnement et pas en licence payée une fois. Ce peut être auteur d’un livre, d’une musique ou d’une vidéo. C’est applicable partout mais bien plus réaliste dans les métiers informatique et encore plus dans le domaine du web. Une très bonne automatisation peut suffire à rentrer dans un modèle SAAS. Il s’agit juste de passer un temps fixe dans le stade opérationnel pour ensuite avoir une rémunération variable et non limitée.
Pousser la logique à un niveau plus macro, ce peut effectivement aussi être créer une entreprise, et s’en dégager au fur et à mesure en tirant le bénéfice de l’activité entreprenariale qu’est la création elle-même ; mais ce n’est pas le passage obligé, loin de là.
Mais euh…
Oui, tout ça est simple à dire, mais si vous vous placez à votre compte, si vous créez une activité, c’est peut être la première chose à penser. Voulez-vous être, à terme, dépendant de votre temps passé ? Quel risque et quel investissement êtes-vous prêts à mettre pour que ce ne soit plus le cas ? Quel modèle mettez-vous en oeuvre ? Avant même de parler rentabilité, pensez mise à l’échelle.
Bien entendu, si vous vous sentez très bien en salarié avec les avantages de stabilité et de moindre responsabilité que cela implique, ça va très bien aussi : pas de jugement de valeur, c’est juste que je m’adresse à ceux qui veulent tenter l’aventure.
-
‘TEA’ recrute un développeur ou une développeuse
Vous pouvez envisager de faire de l’exécution et de l’exploitation dans une SSII. Vous pouvez aussi voir une grande entreprise en espérant poser un logo connu sur votre CV pour votre carrière toute tracée. D’autres l’ont fait, nous aussi, on fait tous des erreurs.
Sinon vous pouvez aussi venir dans une société à taille humaine, qui travaille sur ses propres solutions, avec de grands projets et une équipe technique sympa, le tout sur le domaine attirant des livres numériques et du mobile.
Toujours est-il que je recrute un développeur ou une développeuse pour compléter l’équipe. Critères principaux : Motivé(e), Curieux(se), Envie de bien faire, Approche positif(ve), Exigent(e). Le reste, y compris le détail du projet, des missions et des compétences en jeu, se trouve sur la page dédiée.