Catégorie : Vie professionnelle

  • Forte baisse des salaire en raison de la pénu­rie d’in­for­ma­ti­ciens

    Remix Jobs relance la polé­mique sur la mythique pénu­rie d’in­for­ma­ti­ciens. Les mêmes rengaines arrivent chaque année entre juin et septembre. Cette fois ci, une semaine après, on voit dans la presse « Forte baisse des salaires à l’em­bauche en SSII ».

    Je n’ar­ri­ve­rai pas à comprendre comment on peut consi­dé­rer qu’il y a tension au recru­te­ment tout en faisant bais­ser les salaires. Ce n’est pas tant que les infor­ma­ti­ciens soient mal payés – ils ne le sont pas – mais les salaires d’autres pays sont bien plus haut, donc logique­ment la diffi­culté de recherche devrait faire monter les salaires au moins au niveau des voisins.

    Et qu’on ne se trompe pas, si la propor­tion des expé­ri­men­tés passe en dessous du tiers pour les nouvelles embauches, ce n’est pas qu’ils sont rares, c’est que personne n’a envie de payer pour l’ex­pé­rience avec autant de jeunes diplô­més sur le marché.

    Métier mal consi­déré, loca­tion de person­nel (majo­rité des embauches en SSII), salaire en baisse, déve­lop­peurs français recon­nus comme bons et mieux payés à l’étran­ger, déva­lo­ri­sa­tion du déve­lop­peur avec plus de cinq ans d’ex­pé­rience (« il aurait du passer chef de projet »)… il ne faut pas s’éton­ner que certains claquent la porte des recru­teurs français.

  • Dis tonton, pourquoi est-ce si cher un indé­pen­dant ?

    Je vous propose désor­mais une version plus à jour, ce contenu n’est laissé que pour archive.


    Et moi géné­ra­le­ment de faire les gros yeux parce que la plupart des indé­pen­dants français sont assez bas au niveau rému­né­ra­tion. Du coup j’ai fait forma­lisé pas mal de discus­sion que j’ai avec quelques uns depuis pas mal d’an­nées. Tout ça est sur une grille en ligne. Ça évoluera en fonc­tion des retours mais ça permet de déga­ger un ordre de gran­deur d’équi­va­lence finan­cière entre un sala­rié et un indé­pen­dant :

    Taux jour­na­lier Salaire mensuel net équi­valent
    300 € /jour 1100 € net / mois
    400 € /jour 1825 € net / mois
    500 € /jour 2550 € net / mois
    600 € /jour 3250 € net / mois
    800 € /jour 4700 € net / mois

    Je m’at­tends à ce que les équi­va­lents salaires baissent au fur et à mesure des correc­tions appor­tées par les lecteurs. J’ai certai­ne­ment oublié des postes de charge.

    Je suis preneur de tout commen­taire pour amélio­rer cette grille, tout en gardant à l’es­prit qu’il ne s’agit que d’un ordre de gran­deur unique­ment finan­cière, jamais d’une équi­va­lence réelle. De toute façon les ques­tions de liberté, avan­tages, envi­ron­ne­ment social, risque et sécu­rité sont telle­ment person­nelles qu’elles empê­che­ront toujours toute compa­rai­son directe.

    J’ai ici consi­déré un indé­pen­dant qui :

    • travaille de chez lui (et pas sur Paris)
    • facture ses frais de dépla­ce­ment en sus et au réel
    • facture au client ses jour­nées blanches (jour­née non travaillée car en attente d’une vali­da­tion client en retard par exemple)
    • n’a pas diffi­cul­tés pour trou­ver du boulot (pas de jours « là je n’ai pas trouvé de client »)

    Rien que la factu­ra­tion des jour­nées blanches n’est pas dans les habi­tudes en France, et si ce n’est pas le cas il faut augmen­ter le taux jour­na­lier en propor­tion pour compen­ser. Idem pour les frais de dépla­ce­ment.

    Dernière note : J’ai mis un ratio « charges taxes et impôts » à 40%. C’est bien plus qu’un auto-entre­pre­neur (donc la grille n’est plus valide si vous factu­rez en moyenne moins que 250 à 300 euros par jour travaillé), et c’est proba­ble­ment là où j’ai besoin de chiffres concrets des indé­pen­dants pour détailler et sortir un ratio plus précis. N’hé­si­tez pas à m’ame­ner le détail précis de ce que vous payez à ce niveau. On me remonte des chiffres très diffé­rents, parfois 35% parfois 45%.

    Dans tous les cas, je ne parle que de rému­né­ra­tion, et d’ordre de gran­deur et rému­né­ra­tion. Il n’est en aucune façon possible de dire qu’à un quel­conque niveau, l’in­dé­pen­dant est à équi­va­lence avec le sala­rié : Il y a trop de diffé­rences, qui ne se chiffrent pas.

  • Partage de fichiers en PME

    Comment parta­ger des fichiers au sein d’une PME d’une douzaine de personnes ?

    J’ai mis mes réflexions ci-dessous mais je suis preneur de recom­man­da­tions. J’ai du Mac, du Windows et du Linux, des postes fixes comme des portables (régu­liè­re­ment hors site).

    Un petit NAS

    Point parti­cu­lier : Il est diffi­cile d’ex­clure des vols dans les locaux, donc il faut que la NAS puisse chif­frer le système de fichier et synchro­ni­ser avec un service à distance.

    Je connais les Syno­logy, suivant la gamme on peut imagi­ner un DS213j et un disque unique synchro­nisé en rsync avec un serveur distant. C’est de l’ordre de 270€ mais ça me demande un disque en ligne donc empêche d’y mettre des To.

    On peut aussi imagi­ner un abon­ne­ment crash­plan, ce qui permet­trait de mettre un gros disque sans risquer de perte si jamais il dispa­rait. Pour ça il faut sauter sur le DS413 afin d’avoir les 1Go de mémoire néces­saires. On monte à 600€ plus 50€/an.

    On peut aussi imagi­ner un mini-PC avec un système d’ex­ploi­ta­tion dédié à un usage NAS, mais je n’ai aucun retour d’ex­pé­rience là dessus. Quelqu’un a déjà utilisé FreeNAS ou OpenMe­diaVault ? Au niveau prix, on risque de rester dans la même gamme que précé­dem­ment.

    Le défaut de ces solu­tions c’est qu’on va avoir des fichiers désyn­chro­ni­sés, des conflits parce que chacun édite dans son coin, des retours en arrière de version, etc. Par expé­rience c’est une horreur à gérer.

    Une synchro en ligne directe

    Comme de toutes façons il me faut une synchro en ligne, autant étudier la perti­nence que tout le monde synchro­nise ses fichiers en ligne avec un système type Drop­box. Ça permet d’évi­ter que chacun risque d’avoir une version non à jour sur son poste, ou au contraire que la version modi­fiée ne soit pas copiée sur le serveur central.

    Drop­box est clai­re­ment hors de prix pour le compte entre­prise. On parle de 1800 à 2000 € par an. Pour juste parta­ger des fichiers, ça me fait mal, quand bien même le service est très bon.

    Box.net propose 13€ par utili­sa­teur par mois, donc 2400€ par an pour 15. Ils offrent 1 To, ce qui est confor­table à condi­tion qu’un fichier partagé à 15 utili­sa­teur ne compte pas 15 fois. Ça a l’air plus complet que Drop­box mais pas moins cher.

    Wuala pour entre 10 et 15 personnes on parle de 600 € par an mais pour unique­ment 100 Go. Je ne sais même pas si un fichier partagé compte plusieurs fois.

    SugarSync n’est pas clair sur ses prix, ils parlent de 550$ par an pour 3 utili­sa­teurs et il faut passer par un commer­cial pour plus de 10 personnes. Comme je n’ai en plus aucun retour d’ex­pé­rien­ce…

    HubiC est disqua­li­fié, n’ayant pas de client Linux.

    On me dit d’ajou­ter Google Drive, qui peut effec­ti­ve­ment synchro­ni­ser sur disque des fichiers divers. Un compte pro c’est 50 € par mois, donc 750 € par an pour 15 utili­sa­teurs et 25 Go par utili­sa­teur.

  • Chan­ger de modèle

    « si votre busi­ness est propor­tion­nel au temps que vous y passez, chan­gez de modèle »

    L’objec­tif est simple : Passer plus de temps sur ce qui vous parait impor­tant (famille, amis, passion, aider les autres…) tout en conti­nuant à gagner votre vie, poten­tiel­le­ment mieux, de toutes façons pas moins bien (payer les études au petit, s’of­frir une terrasse pour profi­ter de la vie, finan­cer des voyages pour décou­vrir le monde…).

    Si le busi­ness est propor­tion­nel au temps passé, il est possible d’aug­men­ter un peu les marges mais dans l’en­semble vous êtes coin­cés, il faut choi­sir entre les reve­nus et ce qui est impor­tant pour vous (et si ce qui est impor­tant pour vous ce sont les reve­nus, peut-être devriez-vous y réflé­chir encore un peu).

    Vous pouvez aimer « juste » faire votre métier et votre rôle opéra­tion­nel. Pas de problème, c’est très bien et respec­table. L’idée est de decor­ré­ler l’en­vie et le besoin. Quand vous n’au­rez plus besoin de faire de l’opé­ra­tion­nel supplé­men­taire pour gagner vos reve­nus, vous pour­rez toujours le faire, mais vous n’en dépen­drez plus. Proba­ble­ment que votre acti­vité réelle chan­gera un peu, peut être pour faire plus d’hu­ma­ni­taire, peut être pour faire les chose diffé­rem­ment ou plus serei­ne­ment. Vous le ferez par choix, unique­ment par choix.

    Même si l’équi­libre vous convient actuel­le­ment, qu’en sera-t-il avec l’âge ? s’il vous arrive un acci­dent ? si les besoins finan­ciers augmentent ? si vous vous épui­sez ? Et puis on a beau dire que l’équi­libre nous convient, dans l’en­semble, gagner plus tout en consa­crant plus de temps à ce qui nous semble impor­tant, qui refuse de consi­dé­rer ça comme une bonne idée ?

    Chan­ger de modèle ?

    Chan­ger de modèle c’est créer un fonc­tion­ne­ment qui permette un passage à l’échelle : temps fixe pour déve­lop­per, puis ventes ou clients non limi­tés en nombre par exemple. Pour faire cari­ca­tu­ral c’est la diffé­rence entre un modèle de société de services (vous faîtes payer votre temps passé) et un modèle d’édi­teur (vous faites payer des licences ou des accès à une plate­forme qui est déjà déve­lop­pée). Dans le second cas, si vous réus­sis­sez, vous pouvez au fur et à mesure vous déga­ger de l’opé­ra­tion­nel tout en main­te­nant voire en augmen­tant les reve­nus.

    Poussé au maxi­mum ça veut bien dire finir par embau­cher des gens pour faire l’opé­ra­tion­nel obli­ga­toire ou pour produire le service qui sera ensuite vendu en modèle d’édi­teur, mais il ne s’agit pas, comme certains ont inter­prété, d’em­bau­cher des indiens peu chers et d’em­po­cher la diffé­rence.

    Je parle d’un éditeur  peut être éditeur d’un logi­ciel ou d’un service, si possible en abon­ne­ment et pas en licence payée une fois. Ce peut être auteur d’un livre, d’une musique ou d’une vidéo. C’est appli­cable partout mais bien plus réaliste dans les métiers infor­ma­tique et encore plus dans le domaine du web. Une très bonne auto­ma­ti­sa­tion peut suffire à rentrer dans un modèle SAAS. Il s’agit juste de passer un temps fixe dans le stade opéra­tion­nel pour ensuite avoir une rému­né­ra­tion variable et non limi­tée.

    Pous­ser la logique à un niveau plus macro, ce peut effec­ti­ve­ment aussi être créer une entre­prise, et s’en déga­ger au fur et à mesure en tirant le béné­fice de l’ac­ti­vité entre­pre­na­riale qu’est la créa­tion elle-même ; mais ce n’est pas le passage obligé, loin de là.

    Mais euh…

    Oui, tout ça est simple à dire, mais si vous vous placez à votre compte, si vous créez une acti­vité, c’est peut être la première chose à penser. Voulez-vous être, à terme, dépen­dant de votre temps passé ? Quel risque et quel inves­tis­se­ment êtes-vous prêts à mettre pour que ce ne soit plus le cas ? Quel modèle mettez-vous en oeuvre ? Avant même de parler renta­bi­lité, pensez mise à l’échelle.

    Bien entendu, si vous vous sentez très bien en sala­rié avec les avan­tages de stabi­lité et de moindre respon­sa­bi­lité que cela implique, ça va très bien aussi : pas de juge­ment de valeur, c’est juste que je m’adresse à ceux qui veulent tenter l’aven­ture.

  • ‘TEA’ recrute un déve­lop­peur ou une déve­lop­peuse

    Vous pouvez envi­sa­ger de faire de l’exé­cu­tion et de l’ex­ploi­ta­tion dans une SSII. Vous pouvez aussi voir une grande entre­prise en espé­rant poser un logo connu sur votre CV pour votre carrière toute tracée. D’autres l’ont fait, nous aussi, on fait tous des erreurs.

    Sinon vous pouvez aussi venir dans une société à taille humaine, qui travaille sur ses propres solu­tions, avec de grands projets et une équipe tech­nique sympa, le tout sur le domaine atti­rant des livres numé­riques et du mobile.

    Toujours est-il que je recrute un déve­lop­peur ou une déve­lop­peuse pour complé­ter l’équipe. Critères prin­ci­paux : Motivé(e), Curieux(se), Envie de bien faire, Approche posi­tif(ve), Exigent(e). Le reste, y compris le détail du projet, des missions et des compé­tences en jeu, se trouve sur la page dédiée.

  • Joie des cabi­nets de recru­te­ment

    Copie quasi verba­tim de ce que je viens d’en­voyer aujourd’­hui :

    Bonjour,

    J’avais eu des contacts perti­nents par le passé avec [chargé de recru­te­ment 1] et [chargé de recru­te­ment 2] entre 2008 et 2010.

    Depuis debut 2011 que vous êtes en charge, vous ne me trans­met­tez que des offres qui ne cadrent aucu­ne­ment avec mon type de poste et qui sont géné­ra­le­ment au moins 30% en dessous du salaire que j’avais en 2008 quand je discu­tais avec [cabi­net de recru­te­ment] (étant entendu que depuis 2008 mes expé­riences et mes préten­tions ont bien évidem­ment évolué).

    Le consta­tant, je vous en ai fait la remarque dès mai 2011. N’ayant vu aucune amélio­ra­tion, je vous ai demandé expli­ci­te­ment de me reti­rer de vos listes en novembre 2011. Toujours sans effet, je vous l’ai encore signalé en février de cette année.

    Ne voyant aucune amélio­ra­tion dans la quali­fi­ca­tion ni prise d’ef­fet de mes demandes, je suis au regret de devoir faire deux requêtes plus formelles :

    1. Merci de me commu­niquer le numéro d’en­re­gis­tre­ment CNIL de la base de profil dans laquelle je suis enre­gis­tré. Ceci est une requête légale au titre de la loi loi n°78–17 rela­tive à l’in­for­ma­tique, aux fichiers et aux liber­tés du 6 janvier 1978.
    2. Ensuite, au choix :
    • Soit faire en sorte en interne que mon dossier ne soit plus géré par [chargé de recru­te­ment 3], ni qu’au­cune solli­ci­ta­tion ne me soit envoyée de sa part.
    • Soit de reti­rer toute donnée nomi­na­tive me concer­nant de vos registres (et pas unique­ment de me désins­crire de vos solli­ci­ta­tions), puis de me confir­mer cette suppres­sion.

    Je suis désolé d’en arri­ver là mais je ne vois de toutes façons pas comment établir la rela­tion de confiance néces­saire à un recru­te­ment dans le contexte qui m’est présenté actuel­le­ment, ni pour moi ni – et encore moins – pour vous recom­man­der à mes rela­tions en recherche d’em­ploi.

    En vous remer­ciant d’avance pour la prise en compte,

    Le pire étant que je ne suis plus en recherche depuis 2007 mais ça…

    Sérieu­se­ment, c’est à me dissua­der de faire appel à des recru­teurs pour mes recherches en tant qu’em­ployeur, et encore plus à faire suivre leurs offres à des gens biens.

    C’est quoi vos expé­riences avec des cabi­nets de recru­te­ment ? Vous en avez à conseiller des biens, pas trop chers, qui comprennent le web, qui savent quali­fier des profils de bon niveau et pas taper au hasard ?

  • Esti­ma­tion is evil

    Peut être est-ce du à mon inca­pa­cité flagrante à sortir de bonne esti­ma­tions, mais je suis convaincu que l’exer­cice est des plus nocifs. Je conçois le déve­lop­pe­ment comme une acti­vité créa­tive, avec des problèmes qui sont large­ment incon­nus et des besoins qui sont à peine effleu­rés.

    Esti­ma­tion is evil, chez prag­prog.

    Soit on fait semblant, soit on accepte que les esti­ma­tions soient en perma­nence fausses, soit on tient les esti­ma­tions. La dernière option implique forcé­ment une astuce bien connue : c’est la qualité qui trinque. C’est l’op­tion des SSII, mais elle me parait diffi­ci­le­ment tenable en interne à une société.

    Le problème c’est que le busi­ness a besoin d’avoir des dates et de les commu­niquer. Passer du « produire ce qu’on vend » au « vendre ce qu’on produit » est loin d’être simple. L’équi­libre du néces­saire compro­mis est parfois diffi­cile à trou­ver.

  • Soin et alimen­ta­tion des ingé­nieurs infor­ma­tique (ou pourquoi les ingé­nieurs sont grin­cheux)

    Je ne suis pas d’ac­cord avec tout, mais le pourquoi les ingé­nieurs sont grin­cheux est à recom­man­der à tous les mana­gers ou direc­teurs qui ne viennent pas du déve­lop­pe­ment et qui peuvent avoir à faire même indi­rec­te­ment à une équipe tech­nique infor­ma­tique. Ça donne une première mise en contexte de certaines choses. Ensuite il reste à expliquer la culture parti­cu­lière du milieu, et l’at­ta­che­ment d’une partie de la commu­nauté à des valeurs très spéci­fiques (d’ailleurs rien que le fait de parler de commu­nau­té… parle-t-on de commu­nauté pour les comp­tables ?).

    Il faudrait presque écrire un livre. Je me suis rendu compte que servir d’in­ter­prète et de guide dans le monde des déve­lop­peurs était fina­le­ment une partie de mon métier de direc­teur tech­nique. C’est assez diffi­cile, peut être aussi parce que je suis fonciè­re­ment *dans* cette commu­nauté et atta­ché à ses parti­cu­la­ri­tés.

  • Ressources méthodes agiles

    Quelques liens pour ne pas les oublier. Tout d’abord des livres recom­man­dés concer­nant les méthodes agiles :

    Quelques jeux pour le côté agile, mais desti­nés à ceux qui veulent coacher (forcé­ment inutiles si vous les regar­dez par avance) : Inno­va­tion games

    Je suis preneur d’autres recom­man­da­tions du même tonneau si vous en avez.

     

  • Trouvé routeur

    Il y a quelques temps je cher­chais un routeur pour le côté une petite PME. J’avais trouvé quelques trucs mais rien d’ex­tra­or­di­naire, souvent au delà des 300 € pour un maté­riel peu person­na­li­sable.

    Aujourd’­hui j’ai trouvé une source assez sympa, avec des boitiers orien­tés PC mais de la taille d’un routeur, avec 4 à 6 ports ether­net, sur lesquels mettre un Linux avec une distri­bu­tion orien­tée routage, à tarif élevé mais pas déli­rant. Bref, le bonheur.

    Un peu tard cepen­dant, nous avons plani­fié d’autres solu­tions en atten­dant.