Catégorie : Vie professionnelle

  • Usure mentale de la non-qualité

    Usure mentale de la non-qualité

    Vous pouvez argu­men­ter à propos du retour sur inves­tis­se­ment de haus­ser un peu le niveau de qualité – je l’ai fait aussi – mais il faut avouer que sauf à connaitre le futur, ces chiffres auront la même fiabi­lité et la même préci­sion que l’ho­ro­scope de l’an­née dernière.

    Tout au plus peut-on tracer une ligne en dessous de laquelle le manque de qualité rend vrai­ment le travail diffi­cile, mais en réalité nous cher­chons tous à mettre la barre bien plus haut.

    Le coût de non-qualité est en fait bien plus basique. Il se cache dans la fatigue mentale, l’épui­se­ment, mais aussi la baisse d’en­vie, de moti­va­tion, de résis­tance à la frus­tra­tion ou de celle aux petits accrocs trop fréquents du quoti­diens…

    Le terme anglais est burn-out, et c’est bien plus une ques­tion de qualité et de bien-être que de temps de travail ou de pres­sion.

    C’est Nico­las qui le forma­lise le mieux :

    Ces petites erreurs aux grandes consé­quences font de plus en plus mal. Autant sur les personnes (le moral, l’es­time de soi, la frus­tra­tion) que sur le busi­ness (image, etc.). […] Je crois que ces galères de coûts de non-qualité et l’usure sur nos corps et nos esprits sont trop souvent sous-esti­mées.

    La ques­tion est : Où avez-vous envie de travailler ? Où vos colla­bo­ra­teurs ont-ils envie de travailler ? Combien de temps tien­dront-ils avant d’être usés et rési­gnés, sans moti­va­tion ni initia­tive ? Qui voulez-vous atti­rer ?

    Cet aspect est trop souvent oublié dans la logique produc­ti­viste du retour sur inves­tis­se­ment, pour­tant ce sont les ques­tions essen­tielles : À côté de l’im­por­tance du dyna­misme de l’équipe, tout gain de produc­ti­vité lié à une baisse des exigences revient à travailler à la bougie pour écono­mi­ser l’élec­tri­cité.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY par Intan­gi­bleArts

  • Deci­sions are made by people…

    Certaines fois certaines cari­ca­tures en bande dessi­née sont telle­ment proches de certaines expé­riences passées…

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  • It’s almost impos­sible to come up with really inno­va­tive things when you have a dead­line and sche­dule

    Je ne partage pas pour le billet mais pour la cita­tion :

    “It’s almost impos­sible to come up with really inno­va­tive things when you have a dead­line and sche­dule.”

    La ques­tion n’est pas d’avoir un temps infini ou non contrôlé, mais que l’in­no­va­tion appa­rait hors des proces­sus défi­nis. On ne découvre pas la fleur hors des sentiers battus quand on se défi­nit un plan de marche et en program­mant à l’avance les étapes le soir. Il faut se permettre d’ex­plo­rer, flâner, réflé­chir. Et ça ça ne se programme pas.

  • Entre équité et égalité des rému­né­ra­tions

    Entre équité et égalité des rému­né­ra­tions

    One of the expe­ri­ments that we are running in iwant­my­name since we star­ted is the « one-salary-expe­riment ». At iwant­my­name everyone earns the same. This sounds strange to many and I get asked a lot of ques­tions how this may work once we grow bigger and the honest answer is: « I don’t know, but so far it works » and I give that same answer since we star­ted 5 years ago.
    culture at iwant­my­name – Part 1: The « one salary expe­riment »

    J’ai vu plusieurs personnes envi­sa­ger des choses assez simi­laires dans des projets de SCOP. Je n’y crois pas. Pas tant que ça ne fonc­tionne pas – la preuve, ça fonc­tionne pour eux – mais parce que ça finit forcé­ment par être injuste.

    Je suis prêt à envi­sa­ger de ne pas comp­ter l’ex­pé­rience, l’ex­per­tise ou la compé­tence dans l’équa­tion de la rému­né­ra­tion si tout le monde joue le jeu. Que le mana­ger soit payé autant que le person­nel de ménage ne me semble pas déli­rant. J’adhère tout à fait à l’idée que l’im­pli­ca­tion est l’élé­ment le plus impor­tant et que tous sont essen­tiels à la bonne marche de l’en­tre­prise.

    Tout ça est une histoire de culture. Si la culture de l’équité ou de l’éga­lité sala­riale est forte, si tous vivent la même aven­ture, ce peut être sacré­ment posi­tif à la société dans son ensemble, même à ceux qui sont globa­le­ment pas si mal payés.

    Ça permet aussi assu­ré­ment de décloi­son­ner les postes, de faire confiance à l’exé­cu­tant pour des respon­sa­bi­li­tés et de remettre en cause la déci­sion du mana­ger, parce que tout le monde est là au même titre : faire fonc­tion­ner l’en­tre­prise au mieux. Une rému­né­ra­tion pyra­mi­dale fige les respon­sa­bi­li­tés et empêche chacun de se sentir impliqué et impliquable de la même façon sur tous les sujets.

    À dire vrai, le person­nel de ménage peut tout à fait se révé­ler un mana­ger excep­tion­nel mais il est peu probable que le mana­ger accepte de faire le person­nel de ménage long­temps, même à salaire iden­tique. C’est dire à quel point ces histoires de compé­tences et d’ex­pé­riences sont sur-évaluées. C’est juste la struc­ture géné­rale de notre société, rien n’em­pêche d’en inven­ter une autre.

    Mais juste­ment, l’im­pli­ca­tion de tous est forcé­ment diffé­rente. Il y a toujours un président qui léga­le­ment a une respon­sa­bi­lité pénale que les autres n’ont pas. Certains, souvent les commer­ciaux, voyagent beau­coup et font des sacri­fices parti­cu­liers vis à vis de leur vie person­nelle. D’autres opèrent des astreintes ou se forment en continu sur leur temps person­nel. Etc.

    Si on paye tout le monde la même chose, il faut une sacré­ment bonne culture commune dans la société pour que personne n’ait l’im­pres­sion d’être le pigeon de l’his­toire. Ça peut tenir, mais ça risque aussi d’écla­ter lors de n’im­porte quel coup dur au niveau person­nel ou au niveau de l’en­tre­prise.

    Mais le nid à emmerde est encore plus loin, il est au niveau de l’im­pli­ca­tion person­nelle. Que faire quand un colla­bo­ra­teur a l’im­pres­sion de donner plus que les autres ? quand un autre se désim­plique de son travail et prend juste le tiroir-caisse ? Là il va y avoir senti­ment d’injus­tice.

    Ces cas et le senti­ment d’injus­tice qui en découle existent aussi sur des struc­tures pyra­mi­dales mais ces dernières peuvent s’ap­puyer juste­ment sur la pyra­mide pour cadrer les impli­ca­tions de chacun, éven­tuel­le­ment modu­ler la rému­né­ra­tion via les primes et les augmen­ta­tions, ou évaluer le sala­rié en fonc­tion de ce qu’il vaut sur le marché (qui lui fonc­tionne avec des rému­né­ra­tions pyra­mi­dales).

    Sur une struc­ture plus égali­taire il ne reste que la culture interne de la société. Elle a inté­rêt à être sacré­ment forte pour garder tout le monde à bord. C’est plus faci­le­ment le cas sur une société qui se créé mais il n’y a rien de magique. Deman­dez aux entre­pre­neurs combien de couples ou triplets se sont sépa­rés à cause d’un problème d’im­pli­ca­tion non homo­gène dans la direc­tion…

    Pour autant le concept de rému­né­ra­tion pyra­mi­dale ne me sied guère. Je suis preneur de vos réflexions.

    À défaut je suis parti­san de trans­pa­rence. Que les rému­né­ra­tions soient connues, voire discu­tées par tous, et pas unique­ment du haut de la pyra­mide vers le bas. C’est complexe, je ne suis même pas certain que ce soit légal en France, et ça demande là aussi une culture très forte dans la société, mais ça résou­drait une partie des problèmes.

    J’ai briè­ve­ment fait partie d’une société de conseil qui voulait je crois tenter l’ex­pé­rience de la trans­pa­rence interne. C’est resté dans les cartons, de mémoire juste­ment pour des problèmes légaux liés à la vie privée. Dommage. Ils méritent tout de même bien un petit salut : coucou Octo.

  • The Expert (Short Comedy Sketch)

    J’hé­site toujours avant de parta­ger des vidéos, et encore plus quand il s’agit juste de renfor­cer les poncifs et stéréo­types. Celle là est cari­ca­tu­rale, mais elle repré­sente telle­ment ce que j’ai vu tout au long de ma carrière que je la mets ici, pour pouvoir la citer en réfé­rence, et vous permettre de faire de même.

  • Loi du logos magnus

    Quel que soit l’ap­pli­ca­tion ou le docu­ment, quelle que soit la taille initiale, un des premiers retours fonc­tion­nels sera « le logo n’est pas assez gros » et il sera mis en haut des listes d’im­por­tance.

  • Quelques conseils de CV

    Quelques conseils qui n’en­gagent que moi après quelques tours dans des CV cette semaine :

    Jeunes diplô­més :

    • Ne préci­sez pas votre mention si vous n’avez pas au moins obtenu « bien », voire « très bien ». Ne mention­nez pas de clas­se­ment si vous n’êtes pas dans les tout premiers.
    • Conti­nuez à détailler vos projets scolaires et stages, mais préci­sez très expli­ci­te­ment quand ils appar­tiennent à cette caté­go­rie. C’est très néga­tif quand on s’en rend compte après coup au niveau des dates. Si ça ressemble à de vrais travaux au niveau orga­ni­sa­tion, préci­sez le, avec la taille de l’équipe, l’or­ga­ni­sa­tion, le résul­tat…
    • L’in­ven­taire de toutes les tech­nos que vous avez touché de près ou de loin est de faible valeur ajou­tée. Hiérar­chi­sez et mettez en avant celles que vous souhai­tez déve­lop­per ou celles pour lesquelles vous êtes signi­fi­ca­ti­ve­ment au dessus du lot. Au pire montrez que vous avez compris l’an­nonce à laquelle vous répon­dez et mettez en avant les mêmes tech­nos.
    • Trou­vez ce qui vous diffé­ren­cie de vos collègues de promo­tion et mettez le en avant. C’est quasi­ment unique­ment là dessus que se fera la sélec­tion.
    • Il peut être inté­res­sant de montrer que vous avez un parcours profes­sion­nel ouvrier ou manu­ten­tion­naire, mais pas la peine de détailler les nombreuses expé­riences, voire de mettre une expli­ca­tion complète pour chaque. Si vous avez des expé­riences signi­fi­ca­tives propre à votre métier, vous pouvez ne pas perdre de place avec celles qui sont hors cadre.
    • Mettez des liens vers tout : école, projets, asso­cia­tions, entre­pri­ses…
    • Si vous avez des recom­man­da­tions de profes­seurs ou maitres de stage, c’est fonda­men­tal de le préci­ser quelque part.
    • Infor­ma­tique : Préci­sez vos affi­ni­tés, vos envies, les projets open source qu’e­ven­tuel­le­ment vous avez rejoint (même si c’est unique­ment pour la docu­men­ta­tion), un blog tech­nique, etc.

    Et pour tous :

    • Dans une expé­rience, préci­sez toujours la taille de l’équipe, votre rôle exact, les enjeux spéci­fiques, diffi­cul­tés, réus­sites
    • Ne cher­chez pas à être exhaus­tif : Détaillez ce qui doit l’être parce que c’est inté­res­sant pour le recru­teur, le reste néces­site tout juste une ligne. Vous avez plein d’ex­pé­riences ? mettez les deux dernières et peut être une ou deux très signi­fi­ca­tives, pas plus.
    • Vous avez de l’ex­pé­rience profes­sion­nelle ? ne vous éten­dez pas trop sur votre parcours étudiant ou vos diplômes, ne remon­tez pas jusqu’au BAC, même si vous avez une très bonne mention. Votre parcours ensuite est bien plus repré­sen­ta­tif.
    • Détaillez tout ce que vous faites hors ou en plus de l’école : Asso­cia­tions, auto-forma­tion, projets person­nels… même si ce n’est pas dans votre branche profes­sion­nelle.
    • Inver­se­ment : Le fait que vous amiez sortir entre amis, aller au cinéma, voya­ger, le sport… n’est que de peu d’uti­lité si vous n’avez pas déve­loppé quelque chose de signi­fi­ca­tif ou trans­formé ça à un moment où un autre en vrai projet (genre « balade en sac à dos sur les routes de Chine » ça oui)
    • Je crois que je suis un cas à part mais : Je me moque de votre photo (surtout si elle est de mauvaise qualité), de votre date de nais­sance, de la présence d’un permis B
    • Le CV c’est bien, mais un court texte qui décrit ce que vous souhai­tez faire, pourquoi, ce qui vous inté­resse chez le recru­teur, et globa­le­ment ce qui vous diffé­ren­cie d’un autre et montrer que vous avez compris l’an­nonce : c’est surtout ça l’im­por­tant.

    Rien de tout cela n’est grave, pas même les fautes de français, mais il faut faire des choix sur les personnes qu’on rencontre. La diffé­rence se fait forcé­ment entre ceux qui ont su mettre en avant ce qui semble perti­nent et ceux qui l’ont noyé ou mal formulé au point que ça n’at­tire pas au final.

  • Que propo­ser aux confé­rences web ?

    Je ne sais pas si je propo­se­rai des sujets cette année aux diffé­rentes confé­rences : Sudweb, Paris­web, Mix-IT, Blend, PHP Tour et toutes les autres.

    Ce n’est pas l’en­vie qui m’en manque. L’ex­pé­rience s’est toujours révé­lée posi­tive, quand bien même l’in­ter­ven­tion elle-même n’a pas été au niveau espéré : Le feed-back sur place, celui dû à la petite visi­bi­lité offerte, la plus grande faci­lité pour abor­der la discus­sion avec tout le monde…

    Et puis échan­ger est géné­ra­le­ment à la base de ces événe­ments. Je propose ma pierre, les autres font de même, et on repars tous avec les pierres des voisins. En ne propo­sant rien, quitte à ce que ce ne soit pas accepté, j’ai l’im­pres­sion d’être un client, d’ache­ter une forma­tion, et ce n’est pas l’es­prit que je recherche.

    Mais aujourd’­hui je ne vois simple­ment pas quoi appor­ter de neuf. Mon métier a évolué. J’ai toujours des exper­tises fortes mais pas vrai­ment nouvelles. Je suis certain d’avoir plein de choses à parta­ger, mais je ne vois pas forcé­ment de sujet assez déli­mité à propo­ser et à présen­ter.

    Ou plutôt… et c’est le sens de ce billet, je peux parler de mon parcours profes­sion­nel, de ce qu’est mon nouveau métier, de comment je vis et j’ai vécu le passage de l’ex­pert tech­nique au direc­teur tech­nique, celui du conseil à l’édi­teur de solu­tion, celui de travail pour des grands groupes à celui d’une petite star­tup.

    Le sujet est diffi­cile, casse gueule pour savoir ce que je peux dire et comment, mais surtout j’ai peur que ce soit limite hors sujet dans la plupart des événe­ments web et déve­lop­peurs. Donc : Est-ce que ça peut vous inté­res­ser ? Pensez-vous que ça puisse être dans le cadre d’un ou plusieurs événe­ments auxquels vous me voyez habi­tuel­le­ment ? Qu’en atten­driez-vous éven­tuel­le­ment ?

  • Et si… oui mais en fait non.

    Un matin je me suis dit « et si je rédi­geais ce livre que j’ai en tête, que je le publiais libre­ment, en inci­tant les gens à faire un don s’ils pensent eux-même y avoir gagné quelque chose ? »

    L’idée est d’abord de tester un modèle de rému­né­ra­tion diffé­rent, inver­sant la chaîne commer­ciale. Certains en parlent depuis long­temps, pourquoi ne pas tester moi qui ai le confort de ne pas en dépendre pour vivre.

    Sauf qu’un don pour une acti­vité pro, ça semble juste un concept qui n’existe pas. J’ai eu beau explo­rer le site des impôts ou appe­ler à l’aide, niet. On verra si une demande directe au percep­teur amène mieux, mais j’ai peu d’es­poir.

    Je ne peux même pas consi­dé­rer que je vends le livre à un prix libre. Non seule­ment ça n’est pas le modèle (je tiens à ce que le don se fasse après l’uti­li­sa­tion du livre, pas avant), mais en France celui qui diffuse un livre est obligé par la loi d’en fixer un prix qui sera unique sur tout le terri­toire.

    Solu­tion de contour­ne­ment à tout ça : Le don est en fait une vente d’un truc annexe et symbo­lique, par exemple une petite image. Défaut : On perd la TVA réduite du livre, ce qui sur une vente à des parti­cu­liers dimi­nue d’au­tant la rému­né­ra­tion.

    Encore une autre idée : Faire un joli dessin et consi­dé­rer que le don corres­pond à la vente de droits d’ex­ploi­ta­tion et de repro­duc­tion, via une note de droits d’au­teur. Avan­tage : Ce sont des droits d’au­teur, assez inté­res­sants au niveau fiscal et aussi en TVA réduite.

    Reste qu’en­suite il faut se décla­rer. Je trouve normal de payer des coti­sa­tions sociales sur ces reve­nus à l’AGESSA, mais les emmer­de­ments et risques finan­ciers de monter une struc­ture juri­dique juste pour cette petite expé­ri­men­ta­tion… ça me bloque.

    C’est encore plus vrai quand je réalise qu’a­voir une struc­ture à côté peut me faire perdre mes droits au chômage sur mon acti­vité sala­riée, voire pour­rait entrer en conflit avec une clause de mon contrat de travail.

    Vu ce que ça peut me rappor­ter et mon temps dispo­nible, ça ne vaut clai­re­ment pas le coup. Fina­le­ment, si j’écris un nouveau livre, je passe­rai certai­ne­ment par un éditeur clas­sique, avec une vente clas­sique, simple­ment pour éviter une usine à gaz. Et du coup c’est vache­ment moins atti­rant pour moi, et finan­ciè­re­ment et intel­lec­tuel­le­ment. Comprendre : je ne le ferai pas.

    Tant pis.

  • Marchands de tapis Dell

    J’ai commandé chez Dell cinq postes fixes pour déve­lop­peur :

    On commence à 900 € HT en novembre 2011, puis 945 € un mois après avec des allers-retours, puis 955 € en mars 2012 toujours après les allers-retours de négo­cia­tion. On repasse à 900 € HT en avril par chance lors de l’ab­sence du commer­cial et de son rempla­ce­ment par un tiers.

    Négo­cions encore une fois, voilà que j’ai le nouveau modèle à 780 €, proces­seur plus puis­sant (même fréquence, nouvelle géné­ra­tion), à condi­tion de tirer un trait sur la carte graphique addi­tion­nelle. Consi­dé­rant que la dite carte graphique vaut moins de 80 € HT prix public dans le commerce et que le chan­ge­ment de proces­seur est plus un renou­vel­le­ment de gamme comme il y en a tous les six mois à prix équi­valent, j’ai du mal à voir la cohé­rence.

    Qu’à cela ne tienne, voilà qu’on revient à 955 € HT en septembre 2013, 22% d’aug­men­ta­tion, toujours avec un proces­seur nouvelle géné­ra­tion (même fréquence) et 16 Go de RAM mais en sacri­fiant un des deux disques. Pour le coup impos­sible de compa­rer à confi­gu­ra­tion stric­te­ment équi­va­lente mais je suis même proba­ble­ment au-dessus des prix publics entre­prise du site Dell.fr. Mêmes problèmes pour les écrans.

    Dites DELL, comment est-ce qu’on change de commer­cial atti­tré, parce que là c’est non seule­ment n’im­porte quoi mais ça donne une sacré­ment mauvaise image de votre service. J’ai autre chose à faire que jouer le marchand de tapis pendant des heures à chaque commande, et vous aussi proba­ble­ment.

    À force je vais finir par aller ailleurs, même si c’est plus cher, entre le temps de négo­cia­tion et la rela­tion de confiance, je vais y gagner. Si rien ne s’ar­range, je suis preneur de conseils pour un reven­deur pro (donc PC monté, avec les garan­ties longues qui vont bien, etc.).