Auteur/autrice : Éric

  • Naming conven­tions in Europe, Asia and North Africa

    Vous me rappe­lez pourquoi vous pensez que deux champs « nom » et « prénom » sont perti­nents ?

    BpetxyZIEAAfDXR.png_largePour plus de détails : People have name (ou pas)

     

  • John Oliver (HBO) – Neutra­lité du net

    Ok, le ton est humo­ris­tique, et pas des plus fins, c’est déli­rant, ridi­cule, mais au final il y a des éléments sérieux et c’est un des meilleurs argu­men­taires que j’ai vu sur la neutra­lité du net.

    Ça se regarde jusqu’au bout.

  • Free SSL Certi­fi­cates for Open Source Projects

    Je colle ça ici au cas où ça serve à quelqu’un, ou moi plus tard : GlobalSign donne des certi­fi­cats SSL gratuits pour les projets Open Source (license OSI).

    Visi­ble­ment ils offrent même des wild­cards. Bon, ça ne leur coûte rien, mais ça peut être pratique.

  • Vote élec­tro­nique

    J’en vois encore qui pour­suivent le mythe du vote élec­tro­nique plus simple qui débloquera la démo­cra­tie. Y compris des ingé­nieurs qui travaillent dans les réseaux.

    Sauf que rempla­cer le papier est loin d’être évident. Le système papier est simple, diffi­cile à corrompre, et diffi­cile à tracer. Ça fait beau­coup. Mais surtout tout le proces­sus est trans­pa­rent ainsi que véri­fiable par le citoyen, ce qui est un pré-requis essen­tiel.

    Pour le vote élec­tro­nique il faut garan­tir :

    1. Que le logi­ciel fait ce qu’on attend de lui (sans défaut)
    2. Que le maté­riel fait ce qu’on attend de lui (sans défaut)
    3. Que le logi­ciel n’est pas mali­cieux ou corrompu
    4. Que le maté­riel (micro­codes inclus) n’est pas mali­cieux ou corrompu
    5. Que le logi­ciel exécuté soit celui prévu, que le maté­riel prenne bien en compte le logi­ciel demandé, que personne n’a été capable d’injec­ter un autre logi­ciel, que personne n’a pu modi­fier le logi­ciel avant ou pendant le vote
    6. Que le maté­riel utilisé (micro­codes inclus) soit celui prévu, que personne n’a été capable de le modi­fier avant ou pendant le vote
    7. Que les données de vote résul­tat sont celles produites par le logi­ciel et le maté­riel prévus
    8. Que personne n’est capable de tracer les votes pour les rendre nomi­na­tifs
    9. Que s’il y a une quel­conque anoma­lie, elle puisse être détec­tée et/ou limi­tée dans son effet

    Aucun de ces points n’est réel­le­ment véri­fiable par le citoyen moyen.

    À vrai dire même les profes­sion­nels ne se risque­raient pas à donner une quel­conque garan­tie. En réalité on ne va même pas jusque là. Au mieux, ce qu’ils font aujourd’­hui c’est certi­fier qu’ils n’ont pas iden­ti­fié de problème majeur, ce qui est nette­ment diffé­rent.

    Si on y met vrai­ment les moyens, les points 1 et 3 peuvent être véri­fiés avec un niveau de confiance pas si décon­nant mais ça n’aura de toutes façons aucune utilité tant qu’ont est tota­le­ment à poil devant les risques 4 et 5 et qu’on doit faire une confiance aveugle à ceux qui certi­fient les diffé­rentes parties de la chaîne.

    Même le point 6, sécu­ri­ser plus de 150 000 machines depuis leur concep­tion jusqu’à leur répar­ti­tion dans près de 70 000 empla­ce­ments diffé­rents en France et à l’autre bout du monde, est loin d’être évident. Si tant est qu’il soit possible de le faire en se proté­geant contre des orga­ni­sa­tions de la taille d’États, c’est typique­ment invé­ri­fiable par le citoyen moyen et demande de faire confiance à une entité qui contrô­lera tout ça (aie, qui ? pas le gouver­ne­ment en place j’es­père).

    Dit autre­ment : Vous n’avez aucune garan­tie que le résul­tat du vote tel que publié corres­ponde aux inten­tions de vote des élec­teurs, ou que les opéra­tions de vote aient été anonymes. Aucune.

    Personne n’a à ce jour et à ma connais­sance trouvé une solu­tion à ce problème dans le cadre d’un vote élec­tro­nique. Si c’était le cas ça aurait déjà fait grand bruit rien que par le nombre de personnes qui se seraient atte­lées à véri­fier le système et par le nombre d’études et papiers de recherche le confir­mant.

    Gênant, quand même.

    Et si vous pensez avoir la solu­tion, après avoir avec humi­lité consi­déré que si ça vous semble simple c’est proba­ble­ment que vous vous trom­pez quelque part vu le nombre de personnes très intel­li­gentes qui sont déjà passées sur le sujet, je vous invite à faire une grande commu­ni­ca­tion publique dans la presse avec le détail de mise en œuvre que tout le monde pourra véri­fier pour confir­mer.

    Vous voulez des exemples ?

    Les machines utili­sées ces dernières années étaient très mal sécu­ri­sées. Si vous cher­chez sur Inter­net vous trou­ve­rez une univer­sité qui a réussi à faire chan­ter un hymne natio­nal à une machine de vote, de nombreuses personnes qui montrent comment modi­fier la machine dans l’iso­loir du bureau de vote, des machines à voter qui donnent plus de votes que d’élec­teurs ou même qui élisent des gens qui n’étaient pas dans les candi­dats, des résul­tats illi­sibles, des machines qui conte­naient déjà des votes avant le début de l’élec­tion, des résul­tats objec­ti­ve­ment faux (genre « tous les votes pour un candi­dat qui fait quelques pour­cents ailleurs »), et je passe de meilleures histoires encore.

    Le pire c’est que tout ce qu’on a vu sur ces ordi­na­teurs de vote est assez gros­sier, souvent résul­tat de défauts de concep­tion ou d’or­ga­ni­sa­tion tout aussi gros­siers.

    En réalité le problème n’est pas un manque de moyen, c’est que le système est objec­ti­ve­ment quasi­ment impos­sible à garan­tir et à sécu­ri­ser. Je serai très heureux que vous trou­viez une solu­tion mais des gens meilleurs que nous s’y sont cassés les dents plus d’une fois.

    Toutes les solu­tions entre­vues jusqu’à présent soit mettent à mal le secret du vote, soit ne sont qu’une auto­ma­ti­sa­tion mineure et peu perti­nente du système papier actuel.

    Et surtout, pourquoi ?

    Parce que fina­le­ment, le coût des élec­tions papier est énorme, mais les machines à voter ont coûté encore plus cher.

    Le seul défaut théo­rique du papier tient dans la lenteur pour obte­nir des résul­tats, c’est à dire quelques heures. Est-on prêt à mettre en danger nos élec­tions pour ne plus attendre quelques heures une fois par an en moyenne ?

  • Utopie huma­niste

    Je laisse les affir­ma­tions à la répon­sa­bi­lité de l’au­teur mais la réflexion est inté­res­sante. Pourquoi en est-on encore à ne pas remplir les besoins primaires ? utopie huma­niste

    En 2014, si l’on regarde la pyra­mide des besoins (dite pyra­mide de Maslow),  nous en sommes encore à répondre à nos besoins physio­lo­giques (faim, soif, respi­ra­tion, sommeil, élimi­na­tion) alors que certaines civi­li­sa­tion antiques avaient déjà atteint le troi­sième palier avec des réponses à appor­ter aux besoins d’ap­par­te­nance et d’amour (affec­tion des autres, sexua­lité) car résolu les besoins de sécu­rité (envi­ron­ne­ment stable et prévi­sible, sans anxiété ni crise).

    Dans ces civi­li­sa­tions antiques, la réponse aux besoins physio­lo­giques (faim, soif) étaient adres­sés prin­ci­pa­le­ment par l’Es­cla­vage d’autres êtres humains et les besoins de sécu­rité par des régimes poli­tiques protec­teurs des habi­tants. Restait donc au peuple la charge d’œu­vrer sur ses besoins d’ap­par­te­nance et d’amour, d’es­time et d’ac­com­plis­se­ment de soi.

    La ques­tion est peut être là. Nous avons changé notre modèle mais nous avons toujours une échelle sociale avec une partie de la popu­la­tion dont le confort se base sur l’ex­ploi­ta­tion de l’autre partie. Nous préten­dons garan­tir à tous la liberté, mais c’est pour mieux assou­vir de par la dépen­dance aux besoins encore plus basiques.

    Le déca­lage entre une popu­la­tion aisée, à l’abri (souvent occi­den­tale) et une popu­la­tion survi­vant tout juste, me fait dire que le terme d’es­cla­vage n’est pas forcé­ment inadapté aujourd’­hui. C’est juste sur une autre échelle, au niveau mondial, et instauré de façon plus insi­dieuse car moins expli­cite.

    Quand on regarde les grandes inno­va­tions à succès de ces dernières années, sont-elles des inno­va­tions répon­dant à ces besoins ? Certaines oui, mais la grande majo­rité ciblent le 3e ou le 4e étage de cette pyra­mide. Ainsi nous voyons de nombreuses tech­no­lo­gies au service des besoins sociaux/affec­tifs alors qu’une immense part des Hommes, y compris dans les zones plané­taires les plus riches et les plus avan­cées tech­no­lo­gique­ment, en sont encore à cher­cher quoti­dien­ne­ment à adres­ser leurs besoins physio­lo­giques. Pour­tant, souvent ils cèdent aux sirènes de la publi­cité et de la pres­sion sociales et vont dédier une grande part de leurs ressources sur ces besoins quitte à handi­ca­per leurs besoins primaires.

    Société de consom­ma­tion, nous voilà. Mais je n’ai pas de solu­tion pour en sortir.

    Si la Société gère et orga­nise elle-même l’ac­cès gratuit et univer­sel à ces besoins, en dehors de toute velléité marchande, cela amène­rait natu­rel­le­ment à la fin de toute aide sociale finan­cière ou subven­tion sur ces points. […] Pour voir ce mode de fonc­tion­ne­ment d’une société, il nous faut partir loin de notre civi­li­sa­tion visi­ter certaines tribus d’Afrique centrale ou d’Ama­zo­nie, où le bien commun sur tout ce qui est vital est la règle, où on ne le laisse pas son prochain avoir faim, soif, froid et que l’on protège.

    Même conclu­sion que l’au­teur : Et le revenu de base dans tout ça ? On ne résout pas tout – et certai­ne­ment pas l’alié­na­tion volon­taire des besoins primaires pour satis­faire les besoins de confort – mais ce peut être un premier pas… enfin à condi­tion que ça ne commence pas que dans des pays riches.

    Juste donner de l’argent et ne pas adres­ser direc­te­ment des besoins est, pour moi, une forme de démis­sion, de déres­pon­sa­bi­li­sa­tion, voire un aveux d’im­puis­sance.

    Ça peut sembler contra­dic­toire mais c’est pour­tant très vrai. Le « je te donne de l’argent, tu es respon­sable » c’est une forme de démis­sion de type « je sais que ça ne fonc­tionne pas comme système mais je rejette la faute sur la respon­sa­bi­lité indi­vi­duelle d’au­trui car en théo­rie il peut faire autre­ment ». Ça fonc­tionne d’au­tant mieux quand nous même sommes suffi­sam­ment aisés pour avoir dépassé le stade des besoins primaires.

    Note de fin d’ana­lyse : Donner de l’argent n’est pas « la » solu­tion, mais ça n’em­pêche pas que le revenu de base puisse être « une » solu­tion, ou en tout cas une amélio­ra­tion sur le chemin d’une solu­tion, voire une réponse à d’autres problèmes (alié­na­tion du travail, répar­ti­tion, etc.)

     

  • What are the most common mistakes first-time entre­pre­neurs make?

    Je ne vais pas parler de ma start-up, je ne ferai peut être un jour quand je serai passé à autre chose, mais de ma maigre expé­rience je seconde très très forte­ment les trois premiers points de la réponse la plus votée :

    1. Keeping your idea secret.
    This is one of the most stupid miscon­cep­tions about star­tup ideas (If I tell it to someone they’ll steal it and make millions of it) Reality is that every loser has a busi­ness idea with a poten­tial but most are not capable to execute it. And people who are able to execute ideas have plenty of their own. Of course, it’s the execu­tion not the idea – face­book came after friend­ster and myspace and google came after plenty of search engines.

    2. Trying to build a product for everyone.
    He who tries to please every­body, pleases nobody.

    3. Lack of focus.
    All entre­pre­neurs are cursed with having too many ideas that are too temp­ting not to be execu­ted. The point is to be able to put every­thing else aside and focus on one with best timing and most poten­tial. Jack Dorsey mentio­ned somw­here that he had his Twit­ter idea almost a decade before he star­ted it and put it in shelf – which is his way of clea­ring distrac­tions.

  • De la progres­si­vité du revenu de base

    Je ne reco­pie pas le billet, je ne suis pas d’ac­cord avec tout et j’ai répondu direc­te­ment là bas, mais je vous incite à lire : De la progres­si­vité du revenu de base.

    Injec­ter par exemple 1500€ par habi­tant et par mois serait une pure folie écono­mique, ne serait ce que par l’ef­fet tran­si­toire brutal qu’une telle mesure impo­se­rait en France et dans les pays voisins.

    […]

    Enfin, la défi­ni­tion du Revenu de Base impose une incon­di­tion­na­lité, mais certaines propo­si­tions, dont celles qui demandent un revenu élevé, trahissent pure­ment et simple­ment cette incon­di­tion­na­lité en concé­dant que des allo­ca­tions chômage, des aides sociales ou des pres­ta­tions fami­liales pour­raient être dimi­nuées, voire annu­lées en contre­par­tie de ce revenu de base ! Nous nous oppo­sons forte­ment à ce qu’un RdB enlève un seul centime d’euro du montant des aides actuelles. Pire, suppri­mer par exemple un RSA pour le rempla­cer par un RdB, qui serait aussi distri­bué aux riches sans baisse de salaire, condui­rait méca­nique­ment à augmen­ter les inéga­li­tés.

  • Content Used to Be King. Now It’s the Joker

    Le titre est trom­peur sur le contenu, mais c’est à lire. Je titre­rais person­nel­le­ment « s’ali­gner avec ses valeurs et construire un monde qui remet chacun à sa place » mais ça ferait un peu gran­di­lo­quent.

    As for me, I’ve deci­ded I’m done being part of the problem.

    J’es­père qu’il fera réflé­chir, et pas que dans son domaine.

  • Avec un revenu de base, qui ferait les métiers pénibles ?

    Je n’aime pas forcé­ment les réponses qui y sont données là bas mais la ques­tion est diable­ment inté­res­sante.

    L’exis­tence même de cette ques­tion amène à dire que, bien à l’abri dans notre confort, nous sommes heureux d’avoir une société de classes où certains, pour vivre, n’ont pas le choix d’ac­cep­ter les métiers pénibles que nous ne voulons pas exer­cer.

    La notion de confort et de péni­bi­lité varie suivant notre envi­ron­ne­ment social, mais seuls ceux tout en bout de chaîne ne peuvent pas en dire autant.

    Renon­cer à chan­ger la société parce que nous n’au­rions plus une popu­la­tion infé­rieure corvéable, c’est déjà répondre que ce chan­ge­ment est juste­ment essen­tiel, et urgent.

    Bref, nous aurons réussi, revenu de base ou pas, quand juste­ment nous ne nous pose­rons plus cette ques­tion.

    Et pour la réponse ?

    Il y a une chose de certaine : Si le métier est vrai­ment utile à la société, on finira par trou­ver quelqu’un pour le faire, parce qu’on sera prêt à y mettre le prix.

    Le marché de l’em­ploi est actuel­le­ment tota­le­ment faussé par une demande dispro­por­tion­née par rapport à l’offre, et par une repro­duc­tion sociale très impor­tante. La conjonc­tion des deux permet de donner de très mauvaises condi­tions à des travaux pour­tant pénibles tout en offrant extrê­me­ment bonnes condi­tions à des travaux dits « haute­ment quali­fiés » réser­vés à une élite sociale, majo­ri­tai­re­ment repro­duite par nais­sance ou rela­tion­nel.

    En réalité il y a plus de personnes capables d’as­su­rer ces travaux « haute­ment quali­fiés » pour peu qu’ils aient tous les mêmes faci­li­tés au départ, que de personnes prêtes à accep­ter les travaux pénibles.

    À long terme avec un revenu d’exis­tence qui n’est pas au rabais, on risque effec­ti­ve­ment d’in­ver­ser les condi­tions de travail et les échelles de revenu de nombreux métiers. Les travaux pénibles vrai­ment utiles conti­nue­ront à être remplis, mais simple­ment pas aux mêmes condi­tions.

  • Baisse de batte­rie [help]

    J’ai un S3 qui n’a pas loin de deux ans. Je l’uti­lise beau­coup, proba­ble­ment un cycle de batte­rie complet par jour en moyenne avant mes aven­tures. Bien évidem­ment la batte­rie s’épuise.

    Aujourd’­hui la charge tient en gros une demie-jour­née. Quand je le mets sur secteur la charge si faible que le télé­phone se décharge au lieu de se char­ger si l’uti­lise en même temps. Pire, des fois il se décharge jusqu’à épui­se­ment au lieu de se char­ger alors qu’il est bran­ché.

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    Je ne saurai dire si c’est venu progres­si­ve­ment ou si quelque chose s’est déclen­ché à un moment donné. Je situe tout de même un palier qui remonte à entre 1 et 3 mois.

    Causes

    Câble, bloc secteur : Exclu, ça m’ar­rive avec diffé­rents sources.

    Faux contact : J’ai effec­ti­ve­ment un faux contact occa­sion­nel au niveau de la prise micro-usb du télé­phone, qui arrive d’ailleurs plus fréquem­ment qu’a­vant. J’ex­clus toute­fois le faux contact simple car le télé­phone indique clai­re­ment quand il est sur secteur ou quand le câble n’est pas bien connecté. Il vibre quand il se connecte/décon­necte. Bref, parfois il se décharge alors qu’il est effec­ti­ve­ment bien connecté au secteur.

    Appli­ca­tion super consom­ma­trice : Le graphique des consom­ma­tions me semble habi­tuel. L’es­sen­tiel est pris par l’écran et le système, dans ce ordre. L’ap­pli­ca­tion la plus consom­ma­trice arrive signi­fi­ca­ti­ve­ment derrière et les consom­ma­tions me semblent révé­la­trices de mon usage.

    Système consom­ma­teur : J’ai une mise à jour système qui a eu lieu il y a 1 à 3 mois, donc je le note, mais sans avoir d’autres éléments (c’est l’OS d’ori­gine, à jour).

    Batte­rie en fin de vie : C’est une piste probable, mais j’avoue que j’ai moyen­ne­ment envie de payer une nouvelle batte­rie pour rien sur un ancien télé­phone si la cause racine n’est pas celle là.

    Problème au niveau maté­riel, hors batte­rie : Éven­tua­lité que mpn faux contact soit le symp­tôme d’un problème plus gênant, qu’ef­fec­ti­ve­ment le télé­phone ne prenne pas la charge même s’il détecte la connexion au secteur, voire qu’il fasse une décharge de la batte­rie conti­nue mais signi­fi­ca­tive quoi qu’il se passe. Et là… à part chan­ger le télé­pho­ne…

    Solu­tions

    Je sais que personne ne peut prétendre à un diagnos­tic certain à partir de ça mais j’ai­me­rai éviter de procé­der à un achat de batte­rie si la proba­bi­lité que ça vienne de là soit réduite. Et j’ai­me­rai encore plus éviter de rache­ter un nouveau télé­phone inuti­le­ment.

    Des idées ?