Auteur/autrice : Éric

  • One Product Team

    One Product Team: We are not a sepa­rate group of desi­gners, gang of deve­lo­pers, bunch of testers, with a king product owner, who only meet each other when it is needed.

    We sit toge­ther as a team. We talk and play every­day. And we all love what we are buil­ding.

    — User expe­rience and design in BBC Play­lis­ter: how to be David Fincher

    La sépa­ra­tion stricte des rôles, avec un process, un enchaî­ne­ment, une hiérar­chie, des bureaux distincts… comment avons-nous pu construire de telles habi­tudes ?

  • Comme le chewing-gum qui reste collé aux sandales

    Comme le chewing-gum qui reste collé aux sandales

    J’ai un vieux projet que je traîne comme un chewing-gum collé aux sandales. Je l’ou­blie quand je cours partout mais il suffit de ralen­tir et de traî­ner un peu les pieds pour qu’il se rappelle à moi sur le mode « je suis toujours là ! ».

    Pas le bon moment, pas le maté­riel, pas le temps, pas le bon état d’es­prit, pas les bonnes person­nes… on trouve toujours de bonnes raisons pour remettre à plus tard.

    S’ajoute ici que ce que j’ai en tête est diffi­cile, demande la pleine confiance d’au­trui, et que je n’ai pas aujourd’­hui l’ex­pé­rience pour prétendre avoir au premier coup un résul­tat dont je puisse être fier.

    Procras­ti­na­tion + perfec­tion­nisme font rare­ment bon ménage. Se lancer tête bais­sée n’est pas forcé­ment possible pour autant, il y a de vraies diffi­cul­tés – je n’ai ni le qui, ni le quand, ni le où, et juste des idées du comment.

    Je n’ai pas la solu­tion mais en parler avec vous est déjà un premier pas. Parce que ce chewing-gum, même si je n’ai pas le don de Mac Gyver pour en faire une bombe ou un delta­plane, j’ai clai­re­ment envie d’en faire quelque chose.

     

  • Anony­mat des paie­ments, atten­tion aux fausses solu­tions

    Conti­nuing the analogy, the meme in the early 90s was, “on the Inter­net, nobody knows you’re a dog.” But that chan­ged quickly once e-commerce and adver­ti­sing began to provide an incen­tive for perva­sive tracking and data mining. Bitcoin anony­mity today is where Inter­net and web anony­mity was in the 90s — a variety of research papers have shown how users’ pseu­do­ny­mous Bitcoin addresses can be linked to each other and poten­tially to their real-world iden­ti­ties, but it remains to be seen if linking/tracking services will deve­lop and flou­rish. It would be enti­rely unsur­pri­sing if they did.
    — The impor­tance of anony­mous cryp­to­cur­ren­cies

    Ne pas oublier que l’his­to­rique des tran­sac­tions Bitcoin est public, à vie. Est-ce qu’un jour une société aura suffi­sam­ment d’in­for­ma­tions pour tenter de tracer en partie l’usage et l’état des finances de tiers ? Fran­che­ment loin d’être impos­sible.

    Bitcoin est d’un côté bien plus anonyme qu’un paie­ment par carte bancaire, mais d’un autre côté poten­tiel­le­ment aussi plus dange­reux sur le long terme.

  • Entre équité et égalité des rému­né­ra­tions

    Entre équité et égalité des rému­né­ra­tions

    One of the expe­ri­ments that we are running in iwant­my­name since we star­ted is the « one-salary-expe­riment ». At iwant­my­name everyone earns the same. This sounds strange to many and I get asked a lot of ques­tions how this may work once we grow bigger and the honest answer is: « I don’t know, but so far it works » and I give that same answer since we star­ted 5 years ago.
    culture at iwant­my­name – Part 1: The « one salary expe­riment »

    J’ai vu plusieurs personnes envi­sa­ger des choses assez simi­laires dans des projets de SCOP. Je n’y crois pas. Pas tant que ça ne fonc­tionne pas – la preuve, ça fonc­tionne pour eux – mais parce que ça finit forcé­ment par être injuste.

    Je suis prêt à envi­sa­ger de ne pas comp­ter l’ex­pé­rience, l’ex­per­tise ou la compé­tence dans l’équa­tion de la rému­né­ra­tion si tout le monde joue le jeu. Que le mana­ger soit payé autant que le person­nel de ménage ne me semble pas déli­rant. J’adhère tout à fait à l’idée que l’im­pli­ca­tion est l’élé­ment le plus impor­tant et que tous sont essen­tiels à la bonne marche de l’en­tre­prise.

    Tout ça est une histoire de culture. Si la culture de l’équité ou de l’éga­lité sala­riale est forte, si tous vivent la même aven­ture, ce peut être sacré­ment posi­tif à la société dans son ensemble, même à ceux qui sont globa­le­ment pas si mal payés.

    Ça permet aussi assu­ré­ment de décloi­son­ner les postes, de faire confiance à l’exé­cu­tant pour des respon­sa­bi­li­tés et de remettre en cause la déci­sion du mana­ger, parce que tout le monde est là au même titre : faire fonc­tion­ner l’en­tre­prise au mieux. Une rému­né­ra­tion pyra­mi­dale fige les respon­sa­bi­li­tés et empêche chacun de se sentir impliqué et impliquable de la même façon sur tous les sujets.

    À dire vrai, le person­nel de ménage peut tout à fait se révé­ler un mana­ger excep­tion­nel mais il est peu probable que le mana­ger accepte de faire le person­nel de ménage long­temps, même à salaire iden­tique. C’est dire à quel point ces histoires de compé­tences et d’ex­pé­riences sont sur-évaluées. C’est juste la struc­ture géné­rale de notre société, rien n’em­pêche d’en inven­ter une autre.

    Mais juste­ment, l’im­pli­ca­tion de tous est forcé­ment diffé­rente. Il y a toujours un président qui léga­le­ment a une respon­sa­bi­lité pénale que les autres n’ont pas. Certains, souvent les commer­ciaux, voyagent beau­coup et font des sacri­fices parti­cu­liers vis à vis de leur vie person­nelle. D’autres opèrent des astreintes ou se forment en continu sur leur temps person­nel. Etc.

    Si on paye tout le monde la même chose, il faut une sacré­ment bonne culture commune dans la société pour que personne n’ait l’im­pres­sion d’être le pigeon de l’his­toire. Ça peut tenir, mais ça risque aussi d’écla­ter lors de n’im­porte quel coup dur au niveau person­nel ou au niveau de l’en­tre­prise.

    Mais le nid à emmerde est encore plus loin, il est au niveau de l’im­pli­ca­tion person­nelle. Que faire quand un colla­bo­ra­teur a l’im­pres­sion de donner plus que les autres ? quand un autre se désim­plique de son travail et prend juste le tiroir-caisse ? Là il va y avoir senti­ment d’injus­tice.

    Ces cas et le senti­ment d’injus­tice qui en découle existent aussi sur des struc­tures pyra­mi­dales mais ces dernières peuvent s’ap­puyer juste­ment sur la pyra­mide pour cadrer les impli­ca­tions de chacun, éven­tuel­le­ment modu­ler la rému­né­ra­tion via les primes et les augmen­ta­tions, ou évaluer le sala­rié en fonc­tion de ce qu’il vaut sur le marché (qui lui fonc­tionne avec des rému­né­ra­tions pyra­mi­dales).

    Sur une struc­ture plus égali­taire il ne reste que la culture interne de la société. Elle a inté­rêt à être sacré­ment forte pour garder tout le monde à bord. C’est plus faci­le­ment le cas sur une société qui se créé mais il n’y a rien de magique. Deman­dez aux entre­pre­neurs combien de couples ou triplets se sont sépa­rés à cause d’un problème d’im­pli­ca­tion non homo­gène dans la direc­tion…

    Pour autant le concept de rému­né­ra­tion pyra­mi­dale ne me sied guère. Je suis preneur de vos réflexions.

    À défaut je suis parti­san de trans­pa­rence. Que les rému­né­ra­tions soient connues, voire discu­tées par tous, et pas unique­ment du haut de la pyra­mide vers le bas. C’est complexe, je ne suis même pas certain que ce soit légal en France, et ça demande là aussi une culture très forte dans la société, mais ça résou­drait une partie des problèmes.

    J’ai briè­ve­ment fait partie d’une société de conseil qui voulait je crois tenter l’ex­pé­rience de la trans­pa­rence interne. C’est resté dans les cartons, de mémoire juste­ment pour des problèmes légaux liés à la vie privée. Dommage. Ils méritent tout de même bien un petit salut : coucou Octo.

  • Faire table rase, et cacher le passé

    C’est malheu­reu­se­ment habi­tuel, mais je ne peux m’em­pê­cher de secouer la tête à chaque fois.

    Le gouver­ne­ment ou l’élu change, la première action publique juste après la confé­rence de presse est toujours suppri­mer très très vite le site web précé­dent pour mettre quelque chose de neuf, quasi­ment vide au départ.

    La première. C’est urgent.  Pas juste mettre une nouvelle version, chan­ger les noms, biogra­phies et attri­bu­tions, mais suppri­mer le contenu du précé­dent. Qu’on fasse semblant de ne pas savoir qu’il y avait un précé­dent. Qu’on retire toute réfé­rence à ce qu’il a fait.

    Vous voulez réfé­ren­cez un contenu publié par l’an­cien président, l’an­cien gouver­ne­ment ? oubliez, il a été supprimé. Dans le meilleur des cas il sera remis en ligne ailleurs, bien caché dans des archives et sans redi­rec­tion à partir de l’an­cienne adresse.

    Il est hors de ques­tion que le site puisse parler d’autre chose que LE nouveau président ou LE nouveau gouver­ne­ment et faire de l’ombre à leur personne. Vous devriez avoir honte d’y avoir pensé.

    Même si on n’a aucun contenu à y mettre et juste un PDF à lier en page d’ac­cueil, même quand il y a conti­nuité dans le gouver­ne­ment avec la même couleur poli­tique et nombre d’in­chan­gés, même les pages d’aides, même les pages sur les insti­tu­tions elles-mêmes, non, on supprime tout.

    On peut rigo­ler, expliquer, justi­fier, person­nel­le­ment je n’y vois qu’une person­ni­fi­ca­tion désas­treuse des élus. Ils n’en­dossent pas un rôle ou ne prennent pas une charge, ils deviennent le nouveau roi. Il est temps d’ar­rê­ter tout ça. Le SIG joue le jeu, et c’est bien dommage (désolé, je ne peux pas faire de lien vers la page web du SIG, elle a été suppri­mée avec tout le reste, elle était sur l’an­cien site du gouver­ne­ment…).

  • The Expert (Short Comedy Sketch)

    J’hé­site toujours avant de parta­ger des vidéos, et encore plus quand il s’agit juste de renfor­cer les poncifs et stéréo­types. Celle là est cari­ca­tu­rale, mais elle repré­sente telle­ment ce que j’ai vu tout au long de ma carrière que je la mets ici, pour pouvoir la citer en réfé­rence, et vous permettre de faire de même.

  • Conte­nus français pour Netflix

    « Netflix a vrai­ment tout inté­rêt à être coopé­ra­tif avec le monde du cinéma et de l’au­dio­vi­suel français » car « il a besoin de conte­nus locaux pour déve­lop­per une offre suscep­tible de plaire au public français »
    Tribune de Genève

    Même si ça en donne l’im­pres­sion, ce billet n’est pas classé dans la caté­go­rie humour.

    Sérieu­se­ment, il existe des bonnes produc­tions en France mais de là à dire que ce que les gens attendent de Netflix ce sont de nouveaux conte­nus français, c’est vrai­ment se moquer du monde (ou se mettre le doigt dans l’œil jusqu’au coude).

    Si Netflix approche les produc­tions françaises c’est surtout pour se faire accep­ter par l’État, montrer patte blanche et passer par dessus une oppo­si­tion de tout le secteur. En soi Netflix, vu son public, pour­rait presque commen­cer avec unique­ment son offre US, même sans traduc­tion.

  • Talents publi­ci­taires – star­tup

    Quelle honte d’ac­cor­der 33% de son revenu à son espace de vie. À l’édu­ca­tion que l’on a reçu, aux soins dont on béné­fi­cie. Mais rassu­rez-vous, vous pouvez en être dispensé grâce au fabu­leux statut de JEI qui fait pâlir d’en­vie outre-atlan­tique

    […]

    Et cerise sur le gâteau, on peut virer ses sala­riés dans les 6 mois sans aucun risque. Sous réserve de rester en-dessous des 50 sala­riés (excluant les stagiaires bien entendu). Et puis un déve­lop­peur français est si peu cher, pourquoi s’en priver ?

    Voilà, Tariq, les talents français du code sont au mieux de la chair à canons publi­ci­taires US

    Voici la meilleure réponse à l’article du NewYork Times. Parce que oui, la France est attrac­tive pour des star­tup. Les 33% de coti­sa­tions sociales ne sont en réalité pas payées par les JEI, et la préten­due rigi­dité des contrats de travail ne l’est pas tant que ça. Factuel­le­ment la plupart des études mettent la France comme bien moins chère pour les star­tup tech­nos que les US ou Londres.

    D’autres ont fait des réponses sur les critères finan­ciers (pas de meilleure foi) mais on tape à côté. Pourquoi est-il si choquant de payer 30% du salaire en retraite, assu­rances et santé ? C’est encore plus crétin quand on compare avec des pays où ces frais sont décomp­tés du salaire net que reçois le sala­rié au lieu d’être pris plus haut au niveau de l’em­ployeur.

    Mais même en dehors de la compa­rai­son, nous devrions être heureux d’avoir un tel équi­libre. Comment est-on arri­vés à s’enor­gueuillir de ne pas payer de pres­ta­tions sociales, d’échap­per à l’im­pôt collec­tif, de payer moins cher nos déve­lop­peurs ou de pouvoir les virer faci­le­ment ? Est-ce vrai­ment de ça que le monde a besoin ? L’in­no­va­tion et les nouvelles tech­nos ne savent-elles se déve­lop­per que sur ce terreau ? Si vous répon­dez « oui » alors il faut vite arrê­ter ce désastre.

    D’au­tant que c’est juste crétin. Si Google ou Github attirent autant c’est par l’en­vi­ron­ne­ment qu’ils offrent (ou offraient). Sur le campus il y a tout ce qu’il faut, au restau­rant d’en­tre­prise on fait venir les meilleurs chefs, l’es­pace de travail est large, éclairé, atti­rant, en interne on glori­fie ceux qui agissent et renforce les déve­lop­peurs.

    Ici on se fait concur­rence au moins disant social, on abaisse les déve­lop­peurs à de l’exé­cu­tion tech­nique, on leur retire l’idée qu’ils peuvent être le moteur.

    Ce n’est pas d’un Github à la française dont nous avons besoin, mais d’une multi­tude de projets citoyens. Pour créer du lien social, du lien inter-géné­ra­tio­nel, du lien local, du lien poli­tique. Pour se sentir utile en tant que déve­lop­peur, pour se sentir agile en tant qu’hu­main.

    Notre objec­tif ne doit pas être de créer des socié­tés de 50 milliards et de copier le voisin en étant plus profi­table ou plus gros finan­ciè­re­ment. L’in­no­va­tion se nour­rit du lien, de l’uti­lité, d’une culture. La réduire à son sens écono­mique et aux copy-cat ne ne mènera nulle part.

    Il y a une culture à avoir, et ce n’est pas une culture busi­ness, c’est une culture de l’uti­lité, de colla­bo­ra­tion sociale. On ne la créera pas en jouant à celui qui propose le moins au niveau social pour un meilleur profit des inves­tis­seurs.

    À lire entiè­re­ment : Talents publi­ci­taires de David Larlet

  • Non, je n’ai pas voté pour toi

    Si je regarde le projet, la gestion actuelle de la ville – puisque vous êtes l’équipe sortante – ou même la couleur poli­tique, j’au­rai voté pour vous, pour toi maire de ma ville  (tu permets que je tutoie ? c’est l’usage ici, et de toutes façons je doute que tu me lises).

    Sauf que non.

    Tu occupes une fonc­tion exécu­tive ici depuis 25 ans main­te­nant, 1989 exac­te­ment. Ça date (et bien entendu vous étiez déjà dans le sérail aupa­ra­vant, entre autres en tant qu’as­sis­tante parle­men­taire). Même si on se contente du poste de maire, on parle de 15 ans, 1999.

    Vingt-cinq ans ! Qu’on ne me fasse pas croire qu’il était impos­sible de faire émer­ger des gens compé­tents et perti­nents pour prendre la suite.

    D’au­tant que visi­ble­ment ce sont déjà d’autres qui font le travail de tous les jours, manque de temps oblige : L’ex­press t’at­tri­bue 21 dans son clas­se­ment des cumuls, soit un sur-cumul équi­valent de plus de deux plein temps. Eux n’ont retenu que 5 mandats publics mais il faut ajou­ter 4 mandats d’ad­mi­nis­tra­trice (OPAC, centre hospi­ta­lier, fonds d’amé­na­ge­ment urbains, hospices civils), et 5 autres mandats dans des struc­tures poli­tiques et sociales connexes (Obser­va­toire de la laïcité, Conseil natio­nal de l’ha­bi­tat, comité de suivi du DALO, conseil social de l’USH) dont un en tant que prési­dente et un en tant que vice-prési­dente.

    Ce sont 14 mandats dans des struc­tures publiques ou sociales, et pas des petits ou en second plan ! auquels il faudrait bien entendu ajou­ter les éven­tuelles rôles secon­daires (comme les direc­tions de commis­sions) et les éven­tuelles occu­pa­tions à titre privé. N’en jetez plus !

    Bref, le travail semble bon, j’au­rai voté pour le succes­seur, pour la même liste mais avec de nouvelles têtes en haut. Pas ici, je ne veux plus de ce carrié­risme poli­tique.

    (et je publie ça après l’élec­tion, parce que l’objec­tif n’est pas de faire campagne)

  • The most impor­tant econo­mic chart of our era

    Pour rejoindre le graphique précé­dent, voici celui de Busi­ness Insi­der.

    house-of-debt-chart

     

    Même s’il concerne les États Unis, le problème est celui de tout le système occi­den­tal (pas que j’ex­clue les autres régions, mais je n’en connais pas les chiffres pour juger, ce pour­rait bien être simi­laire).

    Deux raisons pour Busi­ness Insi­der, qu’on retrouve effec­ti­ve­ment en France :

    1. Les déten­teurs du capi­tal prennent une part de plus en plus grande des profits.
    2. Les quelques plus hauts salaires prennent une part de plus en plus impor­tantes de la masse sala­riale globale.

    Ça s’agran­dit depuis la « crise » – n’al­lez plus croire que les déten­teurs du capi­tal assument les risques, ce sont les travailleurs qui le font – mais c’est un décro­chage qu’on a depuis les années 1980.

    Conti­nuez à taper sur les charges sociales et les charges patro­nales et oubliez vite qu’il y en a qui, eux, augmentent leur niveau de vie avec la crise, malgré le fait que ce sont eux qui sont sensés payer toutes ces charges patro­nales.