Catégorie : Vie personnelle

  • Je cherche mon sac à dos

    Je cherche mon futur sac à dos, celui que je vais trim­ba­ler tous les jours avec mon macbook 13″. Ça parait simple mais je n’ai pas encore trouvé mon bonheur alors je fais appel à vous.

    Je le veux fin, léger, allure sobre, résis­tant à la pluie et de bonne qualité.

    Idéa­le­ment je cherche un truc noir sans poche ni dessin sur le dessus, épais d’une dizaine de centi­mètres (grosso modo de quoi mettre le macbook pro + une bouteille de 50cl de soda, quitte à ce que ça bombe légè­re­ment au niveau de la bouteille).

    Dans mes rêves il y a quand même des lanières ou accroches ou y accro­cher un pull ou quelque chose à l’ex­té­rieur (mais qui ne déforme pas de façon moche quand on l’uti­lise).


    Après une première étude, j’ajoute quelques infos :

    • Si la poche a laptop n’a pas un vrai amorti (exemple avec ce que fait Bren­tha­ven), elle doit pouvoir accueillir mon macbook 13 avec sa housse, qui elle en a un. Effet secon­daire, ça veut dire que la poche doit s’ou­vrir vers le haut quand le laptop est en verti­cal (pour ne pas avoir à sortir toute la housse quand je veux juste le laptop).
    • Je ne veux pas de simple­ment une grande poche fourre-tout. Il me faut de quoi ranger quelques papiers sans les frois­ser et orga­ni­ser un peu tout mon bordel (exemple avec ce que fait Riut)

    • Je veux pouvoir prendre le laptop faci­le­ment et rapi­de­ment, donc sans avoir à ouvrir un grand rabat avant (le Bren­tha­ven serait par exemple hors course s’il n’avait pas l’ac­cès rapide sur le côté).

    • Je tiens vrai­ment à la finesse. Visi­ble­ment je vise moins de 10 cm. J’irai jusqu’à 12 cm si j’ai vrai­ment le bon sac, mais pas plus.

    • Le filet ou la poche externe pour y mettre la canette ou la bouteille de 50cl de soda est un vrai bon point, surtout si ça me permet de gagner en finesse sur le reste.

    • Je cherche un style très épuré. Idéa­le­ment on ne voit même pas de ferme­ture éclair. J’ai du mal à décrire, mais je veux quelque chose de sobre et sérieux, qui pour­rait limite passer avec un costard.

    • Je suis prêt à y mettre le prix, mais il faudra que la qualité suive. Si c’est pour avoir une attache plas­tique de bretelle ou une ferme­ture éclair qui casse dans l’an­née, je passe mon tour.


    Quitte à rêver, j’ima­gine même un sac fin par défaut mais qui peut s’étendre quand j’ai besoin d’y mettre plus. Ce peut être un souf­flet inté­gré (si c’est très bien fait), un sur-sac qui s’ac­croche par dessus le premier, un sous-sac qui s’ac­croche sous le premier comme un duvet sous un sac de rando, etc.

    Pendant qu’on y est : points bonus si l’ex­ten­sion de sac permet de ranger un reflex ou si les bretelles du sac à dos peuvent se ranger/déta­cher pour lais­ser place à une bandou­lière.

    Ces deux derniers para­graphes sont du domaine du nice to have, voire du gadget dont je peux me passer. L’im­por­tant c’est déjà d’avoir l’usage prin­ci­pal vrai­ment au top : sac à dos fin, léger, résis­tant, sobre.


    J’ai trouvé quelques sacs qui corres­pondent, vous m’en avez donné d’autres. Tout est sur deux onglets dans une liste.

    Diffi­cile toute­fois de se faire une idée de ce qui tient ou pas, ou de la tenue du sac. Si vous avez un des sacs de la liste « OK », n’hé­si­tez pas à donner du feed­back. Encore mieux si vous pouvez me le montrer sur Lyon ou Paris.

    Si vous avez des sugges­tions non notées, n’hé­si­tez pas non plus.

  • Que se passe-t-il le jour où je ne suis plus là ?

    Je peux passer sous un bus et me retrou­ver soit sur un lit d’hô­pi­tal soit dans une boite en chêne. Que se passe-t-il le jour où je ne suis plus là ?

    Les données infor­ma­tiques ne sont pas forcé­ment les premières choses auxquelles mes proches pense­ront mais j’ai la désa­gréable habi­tude de chif­frer les disques et avoir de vrais mots de passe. Pire : je suis l’in­for­ma­ti­cien de la maison et donc le seul à déte­nir certaines clefs.

    Photos, docu­ments, tout ceci risque d’être perdu si le NAS arrête de fonc­tion­ner. Les fichiers qui peuvent trai­ner sur un Google Drive ou un Drop­box ont eux un compte à rebours. Il y a des vraies données qu’il faut faire vivre plus long­temps que moi.

    Livres, textes, codes sources, qu’est-ce que ceux qui restent vont faire de ça ? Sauront-ils même les iden­ti­fier et quelles sont les possi­bi­li­tés ?

    Pour le reste – blog, réseaux sociaux, noms de domaine – je ne sais pas bien quel sens ça a mais je n’ai pas envie de lais­ser un parcours du combat­tant pour que mes survi­vants les éteignent ou les archivent s’ils le souhaitent.

    * * *

    J’ai beau­coup de ques­tions, peu de réponses. Je peux faire un docu­ment qui explique des choses. Le plus compliqué va être qu’il survive et puisse être trouvé faci­le­ment. Le papier peut brûler s’il y a vrai­ment un acci­dent grave, plus proba­ble­ment il sera perdu avant 20 ans. L’in­for­ma­tique n’est guère mieux : j’ai des sauve­gardes mais qui saura y avoir accès sans moi ? qui saura les exploi­ter et retrou­ver l’in­for­ma­tion ?

    Même avec ce docu­ment, est-ce suffi­sant pour qu’un non-infor­ma­ti­cien se débrouille ? Je n’ai de toutes façons pas envie que ma famille fasse de l’ar­chéo­lo­gie infor­ma­tique.

    Aujourd’­hui je demande à deux proches en qui j’ai toute confiance s’ils peuvent prendre cette lourde charge : trans­mettre et porter assis­tance sur ces ques­tions le jour où je ne le pour­rai pas. Je ne sais pas comment ça tien­dra 50 ans, quelle forme ça pourra prendre.

    * * *

    Il restera de toutes façons le point central : les clefs, les mots de passe, les iden­ti­fiants. Je ne peux pas lais­ser un docu­ment avec tout ça, ni sous forme de papier ni sous forme infor­ma­tique, ni chez moi ni chez d’autres.

    Il y a la ques­tion de sécu­rité et de confi­den­tia­lité tant que je suis encore là, mais aussi que les mots de passe vivent. Comment mettrai-je à jour systé­ma­tique­ment ce docu­ment tout en gardant sa confi­den­tia­lité et sans peser sur les deux proches qui accep­te­ront d’être mes relais ?

    On me propose des fichiers chif­frés à poser d’un côté et la clef ou le mot de passe à poser de l’autre. Je ne sais pas quelle péren­nité j’ai côté humain. Je crains aussi la tech­nique : Quel est le risque que le chif­fre­ment soit cassé de mon vivant et que les données fuitent ? Quel est le risque que le chif­fre­ment ne soit pas cassé mais que les tech­no­lo­gies changent et deviennent diffi­cile à exploi­ter à ce moment là ?

    * * *

    Plein de ques­tions, et diable­ment l’en­vie de monter yet another side project pour créer ce qui n’existe pas : une plate­forme et des outils pour s’oc­cu­per de tout cela, simpli­fier ce qui est déjà diffi­cile humai­ne­ment et qui ne doit pas être aussi diffi­cile tech­nique­ment.

  • Que faire lorsque vous rece­vez un appel vous invi­tant à compo­ser un numéro surtaxé ?

    Dès la récep­tion d’un spam vocal vous pouvez le signa­ler par sms en quelques secondes auprès du 33700.

    L’en­voi d’un SMS au 33700 est gratuit pour les clients Bouygues Tele­com, Euro-Infor­ma­tion Tele­com*, Orange et SFR. Pour les autres opéra­teurs propo­sant ce service, l’en­voi d’un SMS au 33700 peut s’ef­fec­tuer au prix d’un SMS normal.

    — Plate­forme de lutte contre les spams vocaux et SMS

    Même si ce n’est pas expli­cité, je suis confiant sur le fait que ça vaille aussi pour les robots qui t’ap­pellent pour que tu les rappelles au même numéro.

    Les appels étant tous traçables, j’ima­gine que contrai­re­ment aux emails, on doit pouvoir contri­buer à une lutte vrai­ment active.

    Atten­tion, le SMS n’est pas un texte libre, il y a une procé­dure à suivre.

  • Merci (et bonne année 2016)

    Merci (et bonne année 2016)

    J’aime bien ce qui devient un récurent : 2015 n’a pas toujours été facile, 2016 ne s’an­nonce pas comme l’an­née dorée au niveau humain. Plutôt qu’un « bonne année » vide de sens, je préfère dire merci à ceux qui permettent d’avan­cer dans la bonne direc­tion.

    Merci Corinne et Delphine, toujours là. Merci aussi à Natha­lie et Morgane pour vos soutiens. Peut-être aussi Laurence, rien que pour ta bonne humeur la fois où on se voit dans l’an­née et dans ce que tu fais passer en ligne.

    Merci Julien. Merci Anne-So, Pascal, Lucile, Agnès et les autres. Une page se tourne mais je n’ou­blie pas votre valeur humaine.

    Merci à Thanh pour plein de choses et à Florence pour avoir su mettre à l’aise. Merci Sara, Élody, Émilie et Marie de m’avoir aidé à avan­cer.

    Merci, énorme merci à l’équipe de La Quadra­ture du Net – et oui, à toi aussi Adrienne parce que même si tu n’es pas seule, tu en fais bien partie. Le combat n’est pas fini et ce que vous faites est essen­tiel.

    Merci, gros merci de la même façon à l’équipe de Paris-Web. Vous êtes plusieurs à avoir fait un gros boulot. J’ai les larmes aux yeux de voir ce qu’est devenu l’évé­ne­ment, que les valeurs d’ori­gine non seule­ment ne l’ont pas quitté mais restent au cœur des béné­voles. Ce que vous en faites me touche beau­coup.

    Merci, et tout de même bonne année.

  • C’est un peu ma rentrée des classes à moi

    Je suis arrivé avec un peu de stress à cause du nouvel envi­ron­ne­ment mais heureux de me remettre au travail. J’ai ouvert mon cahier à spirales, préparé un stylo bleu et un stylo noir – le genre rétrac­table, je déteste les bouchons qui se perdent – avant de régler ma chaise. J’ai aussi rencon­tré plein de nouveaux cama­rades de jeux. Je n’ai pas encore mangé à la cantine sur la grande table en bois massif avec les autres, mais ça ne saurait tarder.

    Bref, j’ai commencé de nouvelles aven­tures cette semaine à La Ruche Qui Dit Oui. Je vais y aider les équipes tech­niques et produit dans leur mission : élabo­rer les outils pour rassem­bler produc­teurs et commu­nau­tés de consom­ma­teurs, via des circuits courts.

    La Ruche Qui Dit Oui

    Chaque nouvelle aven­ture amène son lot de compro­mis mais ici j’ai la chance de me dire que je ne travaille pas dans la finance, sur la base de reve­nus publi­ci­taire ou en exploi­tant les données person­nelles des gens – et c’est impor­tant. À ma petite échelle, je fais même avan­cer le monde dans un sens qui me plait, en favo­ri­sant les circuits courts locaux et les inter­ac­tions entre les gens – et ça aussi c’est impor­tant.

    Bien entendu, La Ruche recrute. Côté tech il n’y a aucune recherche active en cours, mais ça n’em­pêche pas de discu­ter si vous êtes la personne qui nous corres­pond.

    Et si vous veniez faire un tour, vous inscrire à une ruche locale, favo­ri­ser les circuits courts et directs avec les produc­teurs ?

     

  • Prévi­sion des aurores boréales

    J’ai exploré un peu les aurores boréales après une carte postale de Lia, un peu jaloux. Je découvre que quelques rares ont été visibles dans le sud de l’Eu­rope et qu’il existe plusieurs appli­ca­tions mobiles qui en font les prévi­sions avec taille, loca­li­sa­tion, et même l’état du ciel à ce moment là.

    Idée magique, si ça inté­resse quelqu’un d’au­tre…

    Ne rete­nez quand même pas votre respi­ra­tion pour en voir une en France.

  • Vends ou donne, sur Lyon, sport – chat – bébé

    Je vends ou donne (suivant), à empor­ter sur Lyon, élec­tro­mé­na­ger, affaires de sport, de chat et de bébé. Tout est en bon ou très bon état si ce n’est pas précisé. À vous de faire une offre (les photos sont à la fin du billet) :

    Sport

    • Une paire de roller poin­ture 43, noir gris et rouge, ache­tée entre 100 et 150 € à Décath­lon, modèle Roller­blade Astro 500. Très peu servie (une dizaine de sorties maxi)
    • Une paire de roller poin­ture 38, grise avec pointes de orange, ache­tée dans les 150 €, modèle Powers­lide Cell II (orienté frees­kate). Quasi­ment pas servie (deux ou trois sorties).
    • Deux sets de protec­tions noires Decath­lon pour poignets, coudes et genoux, un taille XL (peu servi) et un taille M (quasi­ment pas servis)
    • Deux casques roller légers, gris mat, Decath­lon Fitness 300, un taille 54–58 et un taille 56–58, états neufs (aucun choc, aucune rayure)

    Chat

    • Un arbre à chat (grand, deux niveau, génial d’après mon ancien chat :)
    • Une litière fermée à porte battante, spacieuse, avec pelle dans un range­ment inté­gré pour ne pas la perdre (magique), état usagé
    • Une caisse de trans­port (pas sexy mais homo­lo­guée trans­ports, du moins nous l’avions prise pour ça).
    • Un hamac à chat en four­rure/moquette marron : ça se fixe sur le radia­teur et ça offre un espace hori­zon­tal collé au radia­teur sur lequel le matou peut se poser au chaud. Ça ne prend pas de place (ça peut même se plier au range­ment) et c’est l’en­droit préféré de la bête ensuite.

    Bébé

    • Une table à langer pliable en plas­tique bleu, robuste, hauteur réglable, avec espace de range­ment en bas. Une mousse/cous­sin stan­dard doit être mise dessus (le notre n’est plus en état d’être donné, donc il ne reste que le plas­tique de la table à langer).
    • Quelques jouets divers, en vrac, âge 1 à 3 ans.

    Élec­tro­mé­na­ger

    • Une cuisi­nière gaz Inde­sit 4 feux (dont une plaque élec­trique) avec four (élec­trique) et range­ments en bas.
    • Un réfri­gé­ra­teur Inde­sit avec porte inver­sable, grand espace frigo (4 niveau + bac à légume, autant dans la porte), espace congé­la­teur dédié en haut (deux niveaux), joints nickel

  • Descendre la Loire à vélo

    Merci à Sarah de me l’avoir rappelé : Si vous cher­chez encore quoi faire cet été, un des passages inou­bliables pour moi c’était la descente de la Loire à vélo, tente et popote sur le porte-bagages.

    30 km par jour en gros, géné­ra­le­ment de la piste cyclable, des détours pour visi­ter les châteaux et les parcs qui ponc­tuent le trajet, camping tente et réchaud à gaz le soir, parfois un restau­rant (s’il existe toujours, Le petit patri­moine à Tours est à ne pas manquer).

    Plein de choses à voir, rien à prévoir (il y a des camping partout, il suffit de s’ar­rê­ter quand on en a marre) si ce n’est de choi­sir si on s’ar­rête au château pas loin pour visi­ter. Juste un peu de logis­tique pour penser à s’ar­rê­ter prendre assez de nour­ri­ture dans les sacoche quand le lende­main est férié (et au pire, un sachet de coquillette ça tient assez bien).

    Côté pratique n’im­porte quel vélo ira bien, dont le VTC à 150 € de Decath­lon. Il faudra juste y adjoindre des sacoches (surtout pas de sac à dos !). Nous avions choisi de plutôt mettre l’argent dans une bonne tente ultra-légère, idem pour les tapis de sol auto-gonflants et les duvets. Aucun regret de ce côté là : volume et poids de char­ge­ment sont les deux seuls enne­mis (bien plus que le poids du vélo).

    Pas besoin d’être spor­tif : À peu près tout le monde est capable de faire 30 km de vélo tranquille sur piste cyclable. Partis d’Or­léans (le parc de la source est à visi­ter) nous avons suivi la Loire. Comme tous les cours d’eau ne font que descen­dre… nos propres montées n’ont pas été fréquentes, jamais longues ; pas même de faux plats.

    Nous avons encore 2 kg de docu­men­ta­tion papier pour ceux que ça inté­resse de fouiller la chose, mais il y a plein de sites qui donnent désor­mais des myriades de rensei­gne­ments.

  • Archi­vage sans papier

    J’ai trois gros dossiers en cours, le genre qui se mettent dans des chemises en carton à 3cm ou 5cm d’épais­seur. Chaque nouveau docu­ment est d’abord numé­risé et classé.

    J’ai donc la copie de tout ce qui tran­site. C’est autant pour éviter la perte des origi­naux que par faci­lité de gestion, capa­cité de me réfé­rer faci­le­ment aux conte­nus.

    Et là depuis deux semaines revient ma vieille marotte de passer au tout numé­risé. Pas vrai­ment de me sépa­rer du papier – vu que l’ad­mi­nis­tra­tion demande encore des origi­naux – mais de modi­fier mon proces­sus, mon archi­va­ge… de consi­dé­rer d’abord le numé­risé et de n’al­ler cher­cher la copie papier au fond d’un carton ou d’un coffre qu’en cas de besoin impé­rieux.

    Je cherche des expé­rience et j’en trouve peu. On me parle d’Ever­note mais c’est une réponse tech­nique. J’en cherche une orga­ni­sa­tion­nelle. Seul lien un peu tangible : un feed­back de 2012.

    Au niveau du scan­ner les petits scan­ner à défi­le­ment ont l’air assez top main­te­nant. Bonne qualité, très compact, recto-verso en une passe. Certains ont même un char­geur avec la possi­bi­lité de conca­té­ner d’of­fice dans un seul fichier PDF sans que ce soit fait en manuel, voire un stockage local et une synchro­ni­sa­tion WIFI. Reste qu’à 350 € le haut de gamme, ça vaut le coup d’ex­plo­rer un peu.

    Et le papier, on en fait quoi ? On conti­nue de clas­ser en détail ? On sépare en grosse caté­go­ries et on laisse en vrac à l’in­té­rieur ? On classe unique­ment par date de numé­ri­sa­tion pour retrou­ver plus tard ? ou par date de cour­rier ? ou par date de fin de conser­va­tion ? Faut-il les numé­ro­ter pour bien garder une liai­son entre le numé­rique et le papier ? Gardé à la cave ou à distance ? etc.

    Et le numé­rique ? Quid des clas­se­ments semi-auto­ma­tiques ? L’OCR est-il vrai­ment utile pour la recherche ou est-ce que le faible contenu textuel de la plupart des cour­riers rend ça sans effet ? Je passe du temps à clas­ser en détail ou par grosse caté­go­rie ? Comment est-ce que j’as­sure la péren­nité de mon clas­se­ment et de mon cata­logue (voire de mon indexa­tion) si ça passe par un logi­ciel et pas simple­ment par une hiérar­chie de dossiers ?

    Et en pratique, sur quoi le faites-vous ? où est-ce utile et où est-ce super­flu ? allez-vous souvent cher­cher les origi­naux papier ? Que numé­ri­ser et que ne pas numé­ri­ser ? Télé­char­gez-vous aussi les docu­ments qui sont déjà numé­riques et en ligne pour complé­ter et assu­rer l’ar­chi­vage ? si oui, comment ne pas y passer trop de temps et ne pas oublier ?

    Bref, nommer des logi­ciels est bien la dernière de mes inter­ro­ga­tions, mais j’ai bien envie de passer le pas si j’ar­rive à trou­ver quelques personnes qui me partagent leur expé­rience.

  • Chaîne pas qu’on se moque de ma quin­caille­rie – Merci Laurence

    Le truc, Laurence, c’est que les secrets, par prin­cipe, c’est secret – et que mon espace ici est plutôt public. En plus, fran­che­ment, les chaî­nes… très peu pour moi.

    (suite…)