Je prends rarement des photos pendant les pauses. Il s’agit de poser l’appareil pour relâcher la tension qui vient forcément quand on est observé. Les quelques photos que j’ai de ces instants font toujours ressentir le calme, comme ce kimono lors d’une pause thé.
Auteur/autrice : Éric
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Encore un projet perso
Oui, comme si je n’en avais pas assez…
Il reste que j’ai envie de présenter ce que je fais en photo autrement que par Flickr. La cible n’est pas précise. Comme les photos elles-mêmes, je le fais d’abord pour moi. Peut-être est-ce simplement donner corps à quelque chose qui commence à prendre de l’importance.
Bref, je pose là pour moi-même – et un peu pour les curieux – ce que j’ai en tête.
Un menu principal à trois entrées : des textes, des photos et des albums. J’ai commencé à écrire un peu autour des photos quand je les publie ici, et c’est finalement intéressant de m’obliger à cette introspection. Les deux autres permettent de séparer le flux de photo chronologique en vrac de la séparation par albums bien pensée.
J’ai tenté un premier jet de la page d’accueil. On y met deux textes et deux albums en avant, à chaque fois un récent et un plus coup de cœur. Plus bas vient un mur d’images, avec les plus récentes et celles que j’aime le mieux (comme je suis un geek fini, j’ai déjà en tête une simili formule pour savoir ce que j’affiche en fonction de la date de publication et de mes favoris).
Travail en cours, le code CSS est certainement bien moche.
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[Photo] La sécurité des portraits
Ça fait longtemps que je ne vous avais pas parlé photo, non ? Il me reste pourtant quelques photos de la dernière séance publiée.
Je commence toujours par des portraits. Initialement c’était un peu m’assurer que j’aurais toujours quelques clichés à montrer, même si j’échoue à toute la suite. Les portraits peuvent être communs, mais il y en a toujours au moins un qui n’est pas totalement à jeter.
Je me suis habitué et j’y passe de plus en plus de temps. C’est là qu’on s’habitue à l’appareil photo, qu’on tisse quelque chose. Il y a une discussion, beaucoup de questions. Quelque part c’est ce qui commence à ce moment qui m’apporte beaucoup : On perce un peu de personnalité. On se rencontre. C’est probablement ce qui fait que, pour moi, les photos que je fais ensuite n’ont pas toujours le même style ou la même approche.
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Remplacer du texte par une image en CSS
Dans les années 2007 à 2009 on avait une collection d’horribles bidouilles CSS pour insérer des images à la place de certains textes via CSS. L’idée c’est que certaines images ne sont pas du contenu mais bien de la présentation, potentiellement dépendantes du contexte.
Le besoin était tel que c’était un des sujets les plus en vue en CSS pendant des années avec « comment centrer un contenu verticalement ».
h3.nir { height: 75px; width: 300px; overflow: hidden; margin: 0; padding: 0; } h3.nir:before { content: url(http://…/test.png); display: inline-block; font-size: 0; line-height: 0; }
Franchement c’était de la bidouille de haut vol, avec plein de défauts. On rêvait d’un truc plus simple, qui fonctionne correctement quand l’image ne se charge pas et sur les lecteurs d’écran, sans flash de contenu non stylé. Je me demande même ce qui suit n’a fonctionné sur certains navigateurs, mais on n’y est visiblement pas encore :
h3 { content: url(http://…/test.png); }
CSS a beaucoup évolué, les navigateurs aussi. J’espérais qu’on avait enfin résolu ce problème ultra bateau. Visiblement non. La seule solution passe par des polices de caractères d’icônes et des reconnaissances de ligature. Le reste n’a que peu changé en 10 ans, on a juste enlevé les besoins de compatibilité sur les vieux navigateurs.
J’avoue que je ne comprends pas. On ajoute des fonctionnalités de folie et on ne gère toujours pas la base qui a généré des milliers de pages en bidouilles de contournement. Qu’on m’explique…
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Délation ou dénonciation
Dénonciation :
2. Droit pénal. Action de dénoncer à la justice une infraction dont on n’est pas léséNotre culture est bien moche à ce niveau.
Nous apprenons à taire les faits ou l’identité du coupable, comme dans une culture mafieuse. Celui qui parle est un traitre à son groupe. Quand c’est vis-a-vis d’un tiers on parle de délation, avec une comparaison immédiate à la collaboration sous l’occupation nazie.
Dès la petite enfance on apprend à ne pas rapporter. Même ceux qui sont censés faire respecter les règles, parents et instituteurs, sont parfois les premiers à qualifier de rapporteur ceux qui brisent le silence sans qu’on ne leur demande. C’est dire à quel point nous sommes schizophrènes.
Il y fraternité sur notre devise, mais il semble qu’elle doive s’exercer avec celui qui brise les règles de la collectivité, pas avec les victimes ou avec la collectivité elle-même. Toute autre comportement serait vite jugé immoral ou intégriste. Allez comprendre…
Pas très étonnant que bien peu réagissent face à une agression dont ils sont témoin. Le « pas mon problème » est tellement bien ancré que quand s’y ajoute la peur de se mettre à risque soi-même, bouger devient mission impossible.
Je ne comprends définitivement pas. La position morale, de fraternité et d’altruisme, serait pourtant de soutenir les victimes et la collectivité dans son ensemble.
Confondre dénonciation et délation, c’est un peu perdre notre fraternité quelque part.
Délation :
Dénonciation, généralement secrète, dictée par des motifs vils et méprisablesJe ne demande pas à chacun d’aller dénoncer son voisin, mais au moins de ne pas parler de délation pour ceux qui sortent de l’égoïsme facile et son « je ne suis pas concerné ».
Le seul critère est l’intention. Celui qui alerte et dénonce, cherche-t-il à faire le bien ou à faire le mal ? Nous devrions soutenir et protéger les premiers, à défaut d’en faire partie nous-même.
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La checklist du nouveau développeur
Il se passe quoi quand le nouveau arrive ? Son poste sera-t-il là à temps ? Il va faire quoi ? Il s’assoie où d’ailleurs ? euh, et il arrive à quelle date exactement déjà ?
Je suis certain qu’on a tous vécu ça au moins une fois. Seule solution à ma connaissance : la liste de tâches à cocher au fur et à mesure et partager avec tous les acteurs concernés.
Parti de zéro, ici j’ai fait une bête grille dans un tableur pour lister les actions à mener. La première colonne est un bête marqueur todo/wip/done coloré. Le reste indique ce qu’il y a à faire et qui en est responsable. Allez voir, je vous partage la grille quasiment telle quelle.
J’arrive avec une quarantaine de lignes génériques à n’importe quel employé, et une vingtaine spécifiques aux profils de développeurs. Ça va de « s’assurer qu’il ait une chaise devant son bureau » à « créer son compte email ». Les dernières lignes sont à cocher par le nouveau venu lui-même. C’est par exemple aller faire sa première pull-request.
Il n’y a pas que de l’administratif : Le but c’est d’embarquer le nouveau dans la vie des équipes. Dans les lignes il y a aussi « aller sur le terrain voir comment ça s’y passe » ou « participer à l’élaboration d’un repas le midi ».
L’idée c’est de ne pas forcément mettre un process mais de s’assurer qu’on n’oublie rien d’utile, et qu’on ne refasse pas deux fois les mêmes erreurs. À ce titre j’aime beaucoup la ligne « ajouter un item qui manque à la liste pour les prochains ».
La grille sur un tableau c’est l’outil du pauvre. Maintenant qu’on a un gestionnaire de ticket correct qui sait faire une copie d’un ticket générique avec ses dépendances, il est probable que je recréé tout ça là bas un jour.
Et vous, vous avez quoi ? Vous partagez ?
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De ces entailles publiques à nos textes fondateurs
Avec le ministre de l’Intérieur, nous avons voulu relancer la construction d’un Islam de France, apaisé, indépendant des influences étrangères. Bernard Cazeneuve fera des propositions ce lundi.
L’Etat est là pour réaffirmer ce qui fait, depuis plus d’un siècle, la condition de notre vie en société : la laïcité
— Manuel VallsDepuis le début, le concept de laïcité à la française est une vaste blague. Deux visions pas franchement conciliables s’opposent et chacun parle de choses différentes.
D’une part la vision modérée, qui s’impose à l’État. L’État est neutre, ne peut promouvoir ni financer aucun culte. À l’inverse, le citoyen est libre de conscience mais aussi de exercer et manifester sa religion, y compris dans l’espace public. Mieux : C’est le rôle de l’État que d’assurer ces libertés.
D’autre part la vision radicale. Elle ne s’impose plus à l’État mais au citoyen. Là il s’agit de retirer la religion de l’espace public pour la renvoyer à l’intime et au privé. Les manifestations publiques des religions ne sont que des aménagements historiques propres à disparaitre ou être limités à l’insignifiant tel une croix sous une chemise.
Malgré ce qu’on pourrait penser en écoutant nos élus aujourd’hui, c’est la vision modérée d’Aristide Brian qui est portée par notre droit, via la loi de 1905.
Il faut dire que la vision radicale serait contraire aux conventions internationales des droits de l’Homme. Oui, rien que ça.
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Seul ce qui porte atteinte à la sécurité, à la santé, à l’ordre public ou aux droits des autres peut être interdit. Même là, l’importance pour l’État d’assurer la liberté de culte a amené à faire des compromis, par exemple sur l’abattage rituel des animaux à des fins religieuses. Ces principes ont été rappelés récemment par le Conseil d’État. Oui, rien que ça.
Qu’un premier ministre ose dire quel habillement est ou n’est pas légitime dans une religion, qu’il prétendre construire et orienter les choix d’une religion, est en violation directe avec la vision de notre droit.
#Sarkozy : « Nous ne voulons pas de signe extérieur de religion dans notre pays » #Touquet
— mael thierry (@maelthierry) 27 août 2016
Il n’est pas le seul, c’est quasiment toute notre classe politique qui est plus ou moins directement en dehors des clous, au point qu’il serait plus simple de lister ceux qui défendent nos lois et notre constitution.
Avec un peu de recul, entre une vision qui restreint l’État à une situation neutre en donnant la liberté au citoyen et une vision qui restreint le citoyen en permettant à l’État d’en assurer le contrôle… est-ce vraiment étonnant que nos élus cherche à avancer sur la seconde ?
Ce qui est étonnant c’est qu’on les laisse faire. Ça me dépasse encore. Dans d’autres pays il y aurait eu démission et opprobre publique pour bien moins que ça.
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La laïcité n’est qu’un exemple. N’allez pas argumenter sur le Burkini dans les commentaires. Il en va de même quand on parle de respecter la constitution dans le processus législatif.
Là aussi, ce qui m’inquiète c’est qu’on laisse faire. Chaque renoncement, chaque acceptation de ces entailles publiques à nos textes fondateurs nous rapproche chaque jour de la fin de ces derniers.
La plus grande menace est intérieure. Elle ne vient pas de l’Islam. Elle vient de notre laissé faire, de la caste des gouvernants qui s’affranchit du cadre donné par la constitution et par les citoyens. C’est pourtant ce qui distingue un État de droit d’une dictature.
La France a décidément bien du mal à abandonner sa monarchie. L’élire tous les quatre à cinq ans ne la fait pas disparaitre.
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Non le chômage n’est pas le problème à résoudre
Le prochain qui me dit que le chômage est le problème principal en France, je lui sers son contrat de travail pour dîner.
Les gens n’ont le plus souvent pas besoin d’un emploi. Ils trouveront très bien à s’occuper tout seul, y compris en travaillant. S’ils ne le font pas c’est justement qu’ils ont un besoin bien plus important : Trouver comment vivre plus décemment.
Quand on évite de confondre le moyen et l’objectif on peut s’autoriser prendre un peu de recul. La France, pays riche, a surtout un problème de répartition des richesses.
Oui le revenu d’existence ne répondra pas à tout. Par contre il transformera le foutu « j’ai besoin d’un emploi » en « j’ai envie d’un emploi ». Je ne sais pas pour vous, mais pour moi on ne parlera plus du tout de la même chose.
Là on pourra réfléchir à comment créer de la valeur pour tous (le sacro-saint PIB). Quand tout le monde vivra correctement, ça deviendra une pétouille à résoudre, ensemble.
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L’amour du risque
J’ai bien conscience que cette nouvelle orientation professionnelle pourrait se concilier avec une position de disponibilité, qui m’assurerait, au moins pendant huit ans, de pouvoir retrouver mes fonctions à la Cour des comptes à tout moment.
Mais j’aborde mes activités à venir dans un état d’esprit marqué par un engagement total, comme cela a d’ailleurs toujours été le cas dans les précédentes étapes de ma carrière administrative et politique, et la force de cet engagement me semble incompatible avec le choix du confort, de la précaution et de la minimisation du risque dont un maintien en disponibilité serait, à mes yeux, synonyme.
C’est son choix, et parce qu’il ne m’impacte en rien – retenez-le bien, c’est le point principal du billet – je n’ai rien à y redire.
Ce d’autant moins qu’après avoir été ministre, plutôt bien appréciée par le milieu entrepreneurial, elle n’a pas besoin de la sécurité de la mise en disponibilité pour pantoufler si d’aventure elle le souhaitait, que ce soit dans du semi-public ou dans du privé.
La prise de risque est toute relative. Si elle voulait un avenir politique, elle a même peut-être pris le chemin le moins risqué.
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Ce choix est le sien. Je n’ai rien à lui reprocher.
Non, ce qui me gêne ce sont ceux qui s’en félicitent, que ce soit à cause de la fable entrepreneuriale de la prise de risque ou à cause du climat de défiance vis à vis des politiques et de la haute fonction publique.
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La fable entrepreneuriale c’est celle qui valorise la prise de risque et l’inconfort extrême de l’entrepreneur, comme un chevalier qui va combattre un dragon pour l’honneur et la gloire.
On raconte de belles histoires en y recréant une noblesse, celle qui a pris des risques et vécu l’inconfort pour créer la valeur de demain, les emplois, la prochaine révolution. Il y a eux et les autres, dans ces derniers les pires étant les salariés, les syndicalistes et les fonctionnaires.
La belle romance permet de valoriser soi et ceux de son rang, puis de barrer la route à toute critique sur les travers négatifs des activités.
La fable s’entretient et certains finissent par y croire, par voir de la valeur dans la prise de risque et l’inconfort, comme une médaille et un aboutissement.
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Foutaises que tout cela. Savoir prendre des risques est important. Les prendre effectivement est souvent nécessaire. Savoir les éviter est la plus grande qualité.
Si on peut obtenir les mêmes effets positifs sans passer par la prise de risque, le faire quand même est juste du masochisme. À la limite chacun ses plaisirs, mais c’est aussi jouer à la roulette avec les finances des investisseurs, avec les vies de famille des collaborateurs, avec l’équilibre des sociétés prestataires et partenaires.
Ces risques, cet inconfort, ne sont que des outils, des leviers, et plutôt de ceux à manier avec précaution. Quand certains les voient comme l’objet même de l’activité entrepreneuriale, je ne peux me retenir de repenser à la maxime « quand le sage pointe la lune, l’imbécile regarde le doigt ».
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Si un jour l’aventure de Fleur Pellerin la pose dans une situation réellement difficile pour son avenir, qu’il lui faut faire des choix, quelle est donc la situation qui lui permettra de continuer à s’investir à fond plutôt que de commencer à réfléchir à la voie de secours ? Est-ce de savoir qu’elle a un filet de sécurité quoi qu’il se passe ? ou est-ce de savoir que si elle ne fait rien et que ça se passe mal elle va vraiment avoir de graves problèmes ?
Un jour les gens comprendront que le confort et la sécurité permettent de travailler avec les gens à leur plein potentiel. Le stress et le risque ne sont là qu’à défaut de savoir ou de pouvoir le faire. Ça revient à travailler contre les gens qu’on met dans une telle situation. Quand c’est de soi-même dont on parle et que c’est volontaire, il faut consulter.
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Ce sont ceux qui se réjouissent par défiance qui me gênent le plus. Ils fêtent ça comme une victoire, comme une justice reprise sur les élus et les fonctionnaires, comme un besoin pour remettre élus et hauts fonctionnaires dans la réalité, voire comme ça de moins à payer en tant que contribuable.
C’est très simple. Que son aventure réussisse ou non, soit Fleur Pellerin reste dans le privé, soit elle revient à son poste dans le public. La dernière alternative n’est possible qu’avec la mise en disponibilité à laquelle elle vient de renoncer.
Si elle reste dans le privé, à part le plaisir sadique de la savoir dans la panade si elle se plante, il n’y a strictement rien à gagner à cette démission. Rien. Pas un kopeck. Et je ne prends personnellement jamais de plaisir à contempler le malheur des autres.
Si elle revenait dans le public on aurait par contre une haute fonctionnaire avec une expérience significative récente dans le privé, à l’heure où on fustige la déconnexion des élites publiques avec ce qui s’y passe.
Est-ce donc cette dernière éventualité qui serait si grave ? Il faudrait un peu de cohérence dans le discours. D’autant qu’à défaut c’est quelqu’un sans cette expérience dans le privé qui officiera à sa place.
Même financièrement, une reprise de disponibilité se fait à l’ancienne rémunération, sans augmentation due à l’expérience et l’ancienneté passées dans le privé. Bref, tout à y gagner.
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On peut discourir autant qu’on veut sur l’injustice de la mise à disponibilité des fonctionnaires, mais il n’y a rien à se réjouir du cas individuel.
Même collectivement, ce système est clairement à l’avantage des contribuables. Il permet d’encourager les fonctionnaires à explorer et se faire d’autres expériences. Il permet ensuite potentiellement à la fonction publique d’en profiter, sans rien débourser.
Le pire c’est de voir que ceux qui discréditent ce système sont les mêmes qui critiquent la déconnexion entre privé et public. Il va falloir choisir…
Non, ce qui serait intelligent serait d’au contraire encourager tous les grands groupes à mettre en place un système similaire. C’est impossible à tenir pour des petites structures mais, dès qu’on parle de milliers ou dizaines de milliers d’employés, la société a la masse pour assumer ces départs et retours sans mettre en péril l’activité.
Il y a certes les congés sabbatiques mais il faut annoncer une durée fixe à l’avance, et cette durée est forcément inférieure à l’année. C’est vraiment adapté à des congés. Difficile d’aller se lancer dans une réelle aventure professionnelle avec ce cadre.
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Changer de téléphone
L’écran de mon smartphone est fendu, la dalle tactile ne fonctionne plus sur un bon quart de l’écran. Autant dire que ça pose un problème.
Je suis content du téléphone donc n’ai pas forcément envie de le changer mais la réparation me coûte dans les 200 €. Pour un téléphone qui a presque deux ans, je ne sais pas si c’est très pertinent par rapport à un neuf
J’ai un Sony Z3 compact. Donc voilà, si vous trouvez quelque chose dans des prix raisonnables pour mes besoins, ça m’intéresse. Mes caractéristiques idéales :
- Très large autonomie (ça sera mon critère premier)
- Au moins 32 Go de SD, ou la possibilité d’y mettre une carte SD externe
- Prix modéré, idéalement dans les 350 €, probablement pas plus de 450 €
- Écran dans les 5″, éventuellement 4.8″ ou 5.2″ (je peux aller à 5.5″ mais il faut vraiment que je sois emballé par le reste)
- Un bon écran suffisamment contrasté pour être lisible en plein soleil mais pas de luminosité ou définition excessive qui consommera la batterie inutilement (donc à priori : écran AMOLED ou similaire)
- Supporte les bandes 4G françaises (au moins la B20 800Mhz, idéalement la future B28 700Mhz)
Dans le reste :
- Pas de latence ou mauvaises performances (mais je ne fais pas de jeux, essentiellement du web ou de l’écrit, parfois de la lecture vidéo pour des films/séries)
- Ne chauffe pas exagérément
- DAS pas excessivement élevé (on va dire pas idéalement sous les 0.5, loin des 1.0)
- Le moins possible de surcouche, app inutiles, etc.
Dans le superflu mais qui peut faire pencher mon choix :
- Port de charge magnétique ou sans contact (genre Qi, ou celui du Z3)
- Étanche / résistant à l’eau
- À jour au niveau de l’OS (idéalement sur la ROM du constructeur)