Auteur/autrice : Éric

  • Renfor­cer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi

    Renfor­cer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi

    Je demande à @pole_emploi de renfor­cer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi
    François Rebsa­men

    Nouveau gouver­ne­ment. Chômage impor­tant. Première action et commu­ni­ca­tion.

    Parce qu’é­vi­dem­ment la cause majeure du chômage ce sont bien les chômeurs qui ne cherchent pas du travail (ou pas). Sinon tout serait résolu (ou pas). Il est urgent d’y répondre, il n’y avait rien de plus impor­tant à faire comme action pour le ministre du chômage.

    Le pire c’est que non seule­ment le Pôle Emploi ne fait déjà plus que ça (pape­ras­se­rie admi­nis­tra­tive, enre­gis­tre­ment et contrôles ; se rappe­ler du temps qu’ils ont pour chaque chômeur) mais en plus on renforce ici l’idée que ceux qui sont chômeurs ne sont que de vils profi­teurs.

    La stig­ma­ti­sa­tion c’est aussi ce qui rend plus diffi­cile de retrou­ver un emploi. L’idée (fausse) que la France est un pays d’as­sis­tés c’est ce qui dimi­nue la proba­bi­lité d’in­ves­tis­se­ment.

    Bref, c’était clai­re­ment le plus impor­tant à faire pour la relance du gouver­ne­ment et la confiance de la base socia­liste en ceux qu’elle a élu.

    Elle se voit suffi­sam­ment l’iro­nie là ?

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Kevin Sr.

  • Des congés d’ins­tit

    Des congés d’ins­tit

    Je m’étais promis de faire ce billet un jour mais avec la rentrée je vois à chaque fois ma femme se faire bouillir quand elle entend « oh, les instits ils font la rentrée mais ils ne travaillent pas beau­coup quand même » (ou autres variantes simi­laires).

    Alors je sais que chacun est diffé­rent mais je vais prendre un exemple que je connais bien :

    L’an­née dernière elle était la plupart des jours à l’école avant 7h. Là, même si elle n’em­bauche qu’à 8h45, elle prépare ses cours du jour, fait des correc­tions, gère l’em­mer­de­ment quoti­dien admi­nis­tra­tif ou tech­nique, arrange les plan­nings, etc.

    Le soir elle partait un peu avant 18h. Entre la fin des cours et le départ ce n’est pas de la garde­rie mais des correc­tions, le range­ment de la salle, et… la discus­sion avec les parents ou sa collègue (elle fait deux mi-temps, donc il y a une collègue avec qui se synchro­ni­ser pour les deux classes).

    Le midi… vous avez compris : En gros ça bosse aussi une majeure partie du temps, au moins pour faire la police et gérer les bobos des élèves (parce que même si on n’est pas de garde, on ne laisse pas les enfants pleu­rer dans un coin en disant « je suis perché »).

    Le week-end ou le soir à la maison, devi­nez quoi : Le travail est loin d’être rare, pour prépa­rer les acti­vi­tés ou adap­ter un cours. Il faut dire que l’ex­cep­tion­nel est régu­lier. Ça tourne entre les réunions parent-instit trimes­trielles (non seule­ment ça prend du temps, mais en plus ça se prépare en amont), les livrets en fin de trimestre, et les diverses fêtes d’école, sorties et anima­tion. Parfois elle avait moins de temps libre que moi qui suis cadre de direc­tion sans horaires.

    Vous allez me dire qu’il reste les vacances ? et bien non. Parce qu’un cours ça se prépare, ça se créé. On ne se contente pas de prendre le livre et de le suivre. Quand il s’agit de nouveaux niveaux et qu’on fait les choses biens, on peut passer faci­le­ment 1h de concep­tion pour pour 2h de cours. Là elle avait deux mi-temps, dont un avec un double niveau. Bref, trois niveaux à prépa­rer. Cet été elle n’a pas eu plus de congés « ne rien faire » que moi.

    Bien entendu tout ça n’est pas décompté en heures supplé­men­taires, c’est « inclus dans le forfait ».

    Oui, tout dépend de chacun, et un vieil instit qui a ses cours faits depuis des années épargne proba­ble­ment du temps, un instit qui salope son travail et se moque des élèves aussi (heureu­se­ment ils sont proba­ble­ment plus rares qu’on ne veut bien le dire), mais la plupart des gens qui crachent sur les vacances des instit font proba­ble­ment bien moins d’heures de travail à l’an­née. Pensez-y la prochaine fois.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Jeyheich

  • Vous lisez ceci ? aidez moi, signa­lez-vous

    Vous lisez ceci ? aidez moi, signa­lez-vous

    (et bien entendu il y a un loupé, donc si vous avez vu ce lien à partir de twit­ter, ne faites rien et passez votre tour svp)

    Si vous lisez ce billet, je vous remer­cie gran­de­ment de [vous signa­ler] . Vous pouvez aussi me signa­ler cette lecture via messa­ge­rie instan­ta­née, email, ou même par un commen­taire anonyme sur le billet. Peu importe, je cherche juste un comp­tage empi­rique du nombre de gens qui l’ont lu malgré l’ab­sence d’ap­pa­ri­tion sur twit­ter.

    Au fur et à mesure une grande partie des échanges sont passés sur Face­book ou Twit­ter. De moins en moins de gens utilisent les flux RSS ou visitent les sites manuel­le­ment.

    Je cherche à voir comment annon­cer quelques conte­nus que je ne veux pas voir sur twit­ter, pour diverses raisons. Je cherche du coup à évaluer si c’est une option viable ou si ça revient à publier dans un trou noir. Ce billet n’est excep­tion­nel­le­ment pas annoncé via twit­ter. Les quelques minutes que vous passe­rez à vous signa­ler m’ai­de­ront à savoir ce qu’il en est..

    Vous n’êtes proba­ble­ment pas beau­coup de concer­nés donc je compte sur vous pour m’ai­der sans passer votre tour.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-SA par Brian Dono­van

  • Reti­rer les contre­façons du web

    Reti­rer les contre­façons du web

    J’en­tends souvent que « il faut faire quelque chose ».

    Oui, je partage (souvent) l’opi­nion qu’a­gir est néces­saire, parfois rapi­de­ment. Non cela n’au­to­rise pas à prendre des déci­sions qui auraient des effets secon­daires graves.

    Non, je n’ai (souvent) pas mieux à propo­ser. Non cela ne veut pas dire que la déci­sion contes­tée est forcé­ment bonne à prendre.

    Vous voulez élimi­ner la contre­façon ?

    Le blocage admi­nis­tra­tif de sites web a déjà montré plusieurs fois son échec.

    On y retrouve beau­coup de sites qui n’au­raient jamais du s’y retrou­ver. Parmi eux en Austra­lie on a retrouvé une liste impres­sion­nante de sites qui simple­ment mili­taient contre l’in­ter­dic­tion, pour d’autres solu­tions, ou contre le gouver­ne­ment. Ailleurs on a retrouvé des liens que le pres­ta­taire qui gère la liste de blocage a trouvé gênant pour ses inté­rêts écono­mique. On y a même retrouvé des sites qui gênent X ou Y, ou leur morale person­nelle. D’autres fois on a même supprimé tout un héber­geur avec des centaines de milliers de sites person­nels et d’opi­nion.

    À chaque fois le gouver­ne­ment était démo­cra­tique­ment élu, de bonne foi. Les risques de déra­page si quelqu’un souhaite détour­ner volon­tai­re­ment l’ou­til de son objec­tif sont juste inima­gi­nables. Malheu­reu­se­ment souvent (c’est à dire toujours sauf quand ça touche d’un coup des millions de gens), on ne l’a su que grâce à des lanceurs d’alerte, long­temps après.

    En paral­lèle les utili­sa­teurs ont très vite appris à utili­ser des VPN et autres solu­tions de contour­ne­ment, quand ce ne sont pas les sites qui ont simple­ment changé d’adresse. Il y a surement eu plus de visites bloqués sur des sites qui n’au­raient jamais du l’être que sur des sites légi­ti­me­ment inter­dits.

    Pour­tant dans une majo­rité des cas on a souhaité utili­ser le blocage admi­nis­tra­tif dans un cadre restreint très facile à iden­ti­fier : la pédo­phi­lie. La contre­façon est à la fois plus large et Quand on commence à parler droit d’au­teur c’est quand même non seule­ment plus large et le côté mani­feste est parfois loin d’être évident.

    Bref : c’est inac­cep­table et non, le gain pour votre propre domaine d’ac­ti­vité ne pourra jamais justi­fier d’uti­li­ser massi­ve­ment cet outil.

    Le blocage auto­ma­tique est encore pire

    Le blocage auto­ma­tique c’est par exemple ce qu’u­ti­lise Youtube. L’idée est atti­rante : On prend l’em­preinte de vrais contenu et on supprime auto­ma­tique­ment tous les nouveaux conte­nus qui corres­pondent. Le reste est signalé puis supprimé de façon auto­ma­tique par les ayants droits.

    Le système d’em­preinte est connu pour faire un peu n’im­porte quoi, des suppres­sions de conte­nus conte­nant des chants d’oi­seau à des arrêts brutaux et défi­ni­tifs de flux live offi­ciels lors multiples d’évé­ne­ments cultu­rels ou poli­tiques. Les usages de type remix, paro­die sont direc­te­ment mis à la poubelle quand bien même ils seraient légaux. Le fair use est tota­le­ment oublié dans les pays où il existe et une musique de fond à peine audible suffit à faire suppri­mer la vidéo d’an­ni­ver­saire de votre Chéru­bin.

    Quand l’em­preinte n’a pas été recon­nue, c’est Warner qui fait du copy­fraud sur Happy Birth­day. Univer­sal quant à lui a offi­ciel­le­ment et consciem­ment fait retiré des vidéos tout à fait légales mais qui étaient contre ses inté­rêts poli­tiques. Comme c’est dans le cadre d’un accord privé avec Youtube, personne ne peut rien leur repro­cher léga­le­ment. Les effa­ce­ments arbi­traires sont légions, et les utili­sa­teurs tota­le­ment impuis­sants.

    Reste les noti­fi­ca­tions de retrait

    On peut toujours deman­der à Google la désin­dexa­tion de liens via la procé­dure de la LCEN en France ou le DMCA aux États Unis. C’est encore la moins mauvaise solu­tion parce qu’on cible une adresse très précise, norma­le­ment véri­fiée en amont manuel­le­ment.

    Ajou­tez à cela les copy­fraud qui deviennent de plus en plus fréquent et qui permettent une censure immé­diate sans passer par la case judi­ciaire et on a une sauce explo­sive. Il y a bien des mesures qui condamnent les fausses noti­fi­ca­tions mais à connais­sance elles ne sont pas appliquées.

    En pratique certains ayant-droits commencent à faire des robots qui font des requêtes légales de désin­dexa­tion auto­ma­tiques. Disons que c’est l’ou­til le moins dange­reux pour l’ins­tant, mais il en faudra peu pour qu’il s’in­dus­tria­lise encore plus et devienne un des pire : car avec un cadre légal rendant respon­sable tout inter­mé­diaire qui n’agi­rait pas comme demandé.

    Alors quoi ?

    Alors je ne sais pas. Je n’ai pas la solu­tion. Je sais juste que celles propo­sées me semblent trop dange­reuses.

    Je reste juste très dubi­ta­tif face à tous ces gens qui consi­dèrent l’ab­sence de procé­dure judi­ciaire comme un point posi­tif et indis­pen­sable. On a pour­tant bien des procé­dures qui se font en 24 ou 48h, avec un juge qui pour­rait jouer l’ar­bitre et stop­per les dérives les plus évidentes.

    Quand on veut on peut. Mais non, on préfère deman­der des procé­dures d’ex­cep­tion au lieu de deman­der une justice rapide. Pourquoi ? À qui profite le crime ? je vous laisse répondre avec les éléments ci-avant.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Spyros Papas­py­ro­pou­los

  • La ligne jaune

    La ligne jaune

    Nous avons à la fois des lois sur le droit d’au­teur très dures, un espace de biens communs qui se réduit d’an­nées en années, une contre­façon de biens imma­té­riels massive, et un nombre d’au­teurs qui vivent ou survivent avec trop peu.

    On ne peut pas dire que la situa­tion soit parfaite, et je n’ai pas plus qu’un autre les réponses magiques qui vont tout résoudre sans lais­ser un seul point déli­cat.

    Discu­ter, réflé­chir

    Par contre je crois que non seule­ment une démo­cra­tie saine doit permettre d’échan­ger toutes les opinions et réflexions, mais qu’en plus ici nous en avons cruel­le­ment besoin.

    Donc oui, je trouve normal de parler des initia­tives en marge des habi­tudes, de voir s’ex­pri­mer des gens sur une réforme profonde du droit d’au­teur, sur des équi­libres nouveaux, sur un modèle social tota­le­ment diffé­rent, même si ces gens ne sont pas pour un durcis­se­ment des exclu­si­vi­tés et privi­lèges des ayants droits.

    Et oui, cela inclut les fameux pirates, autant ceux qui utilisent que ceux qui orga­nisent, et pas unique­ment pour en dire du mal. Même si ce n’était que pour ça, ça permet de mieux comprendre le besoin, le problème, et d’ima­gi­ner des solu­tions autres qu’une énorme censure auto­ma­tique à base de lois liber­ti­cides.

    La ligne jaune

    Mais ma ligne jaune se situe ici, car jusque là tout reste dans le cadre de la loi et des équi­libres choi­sis par la collec­ti­vité, même quand on les combat.

    Quand j’en vois mettre consciem­ment des liens vers les sites de contre­façon ou même direc­te­ment vers les données parta­gées, je me pose plus de ques­tions. Là ce n’est plus de l’exer­cice démo­cra­tique pour faire chan­ger ce qui ne convient pas, mais simple­ment de la promo­tion.

    Quand c’est un site spécia­lisé qui par deux fois consé­cu­tives donne la procé­dure pour récu­pé­rer les contre­façons, j’ai un gros problème. On passe limite dans l’or­ga­ni­sa­tion et la promo­tion de pratiques illé­gales.

    Le pire dans tout ça c’est que je souhaite ardem­ment une profonde réforme du droit d’au­teur, avec un autre équi­libre et une vraie défense des biens communs, mais que ce genre d’évé­ne­ment ne peut amener au contraire qu’un durcis­se­ment des posi­tions, par réac­tion.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Steve Loya

  • Sujets tabous

    Sujets tabous

    Sur certains sujets, impos­sible de sortir du soutien ou du rejet pur et simple, d’un émotif binaire.

    Un sujet annexe ? une ques­tion liée ? un point de détail ? peu importe. Si on n’an­nonce pas un rejet avec un nombre de super­la­tifs faisant pleu­rer d’en­vie un poli­tique, les gens n’y liront qu’un soutien incon­di­tion­nel, et inver­se­ment. Tout le reste est anni­hilé, ignoré, détourné, incom­pris, ramené à une posi­tion binaire de soutien ou rejet global, qui de plus doit être abso­lu­ment radi­cale..

    Alors pour faire court, vos posi­tions sur le FN, l’IVG ou sur Dieu­donné [liste abso­lu­ment non limi­ta­tive], je les partage très proba­ble­ment (ou pas, mais ce n’est juste­ment pas la ques­tion).

    Pour autant je me réserve le droit de mention­ner ces mots en sortant de l’émo­tif binaire attendu. Je me réserve le droit d’abor­der un sujet lié, de faire une compa­rai­son ou de discu­ter de façon géné­rique sans que tout ne se résume en un juge­ment global.

    Pire, je me réserve même le droit de discu­ter un point précis pris isolé­ment, et d’avoir des juge­ments diffé­rents su le point précis et sur l’en­semble autour.

    Je peux me trom­per, dire des bêtises. Je vous demande juste d’ac­cep­ter que tout ne se résume pas à un soutien ou un rejet, et que vos réponses sont non seule­ment hors sujets mais aussi très épui­santes s’il ne s’agit que de reve­nir à ça.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-SA par Enrique Pardo

  • Le DRM qui protège

    Le DRM qui protège

    Oh combien je déteste cette novlangue du DRM qui « protège » le contenu ou le fichier.

    Le contenu et le fichier vont très bien, merci pour eux. Ils ne risquent rien. Le DRM en lui-même n’em­pêche d’ailleurs géné­ra­le­ment pas la copie, juste ce qu’on peut faire avec.

    Le DRM protège les inté­rêts de certaines personnes, dont les ayant droits. Parfois pas très intel­li­gem­ment et avec un effet posi­tif à démon­trer, mais OK.

    Le fichier, lui, n’est pas protégé. Il est verrouillé. Et c’est bien diffé­rent.

    En commençant avec les bonnes formu­la­tions, on va déjà éviter de se leur­rer et de trom­per nos inter­lo­cu­teurs.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Lok Leung

  • Marke­ting écono­mique

    Marke­ting écono­mique

    À mettre en regard du précé­dent billet. Lu sur Le Monde :

    M. Gattaz avait déjà profon­dé­ment irrité François Hollande en décla­rant en juillet que la situa­tion écono­mique du pays était « catas­tro­phique ». « Il y a un problème de langage, ce langage-là doit chan­ger. A un moment, il faut que le patro­nat pense à ses propres inté­rêts et qu’il y ait la confiance [dans l’éco­no­mie] », lui avait rétorqué le chef de l’Etat.

    Des infor­ma­tions, une vision du pays ? non, si vous aviez encore des illu­sions, voilà l’im­por­tant dans la poli­tique : La commu­ni­ca­tion, envoyer des messages posi­tifs.  Une vraie croyance dans le fait qu’à force de dire que tout va bien les gens vont y croire et l’éco­no­mie va reprendre. Une sorte de méthode coué.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Rajesh Pamnani

  • Le problème ce sont les charges sur les bas salaires

    Le problème ce sont les charges sur les bas salaires

    Ou pas.

    +30,3%. C’est l’aug­men­ta­tion des divi­dendes distri­bués par les entre­prises cotées en France au deuxième trimestre 2014, période où près de 40% des verse­ments sont effec­tués, selon une enquête d’Hen­der­son Global Inves­tors publiée lundi 18 août. La France arrive en tête des progres­sions en Europe, devant l’Al­le­magne (+9,7%) et le Royaume-Uni (+3,9%). Les divi­dendes ont aussi augmenté au Japon (+18,5%) et aux États-Unis (+13,8%), mais ont dimi­nué dans les pays émer­gents (-14,6%)

    À priori extrait du jour­nal Le Monde.

    Photo d’en­tête sous licence CC BY-NC-ND par Franck Vervial