Vous me rappelez pourquoi vous pensez que deux champs « nom » et « prénom » sont pertinents ?
Pour plus de détails : People have name (ou pas)
Vous me rappelez pourquoi vous pensez que deux champs « nom » et « prénom » sont pertinents ?
Pour plus de détails : People have name (ou pas)
Je colle ça ici au cas où ça serve à quelqu’un, ou moi plus tard : GlobalSign donne des certificats SSL gratuits pour les projets Open Source (license OSI).
Visiblement ils offrent même des wildcards. Bon, ça ne leur coûte rien, mais ça peut être pratique.
J’ai un S3 qui n’a pas loin de deux ans. Je l’utilise beaucoup, probablement un cycle de batterie complet par jour en moyenne avant mes aventures. Bien évidemment la batterie s’épuise.
Aujourd’hui la charge tient en gros une demie-journée. Quand je le mets sur secteur la charge si faible que le téléphone se décharge au lieu de se charger si l’utilise en même temps. Pire, des fois il se décharge jusqu’à épuisement au lieu de se charger alors qu’il est branché.
Je ne saurai dire si c’est venu progressivement ou si quelque chose s’est déclenché à un moment donné. Je situe tout de même un palier qui remonte à entre 1 et 3 mois.
Câble, bloc secteur : Exclu, ça m’arrive avec différents sources.
Faux contact : J’ai effectivement un faux contact occasionnel au niveau de la prise micro-usb du téléphone, qui arrive d’ailleurs plus fréquemment qu’avant. J’exclus toutefois le faux contact simple car le téléphone indique clairement quand il est sur secteur ou quand le câble n’est pas bien connecté. Il vibre quand il se connecte/déconnecte. Bref, parfois il se décharge alors qu’il est effectivement bien connecté au secteur.
Application super consommatrice : Le graphique des consommations me semble habituel. L’essentiel est pris par l’écran et le système, dans ce ordre. L’application la plus consommatrice arrive significativement derrière et les consommations me semblent révélatrices de mon usage.
Système consommateur : J’ai une mise à jour système qui a eu lieu il y a 1 à 3 mois, donc je le note, mais sans avoir d’autres éléments (c’est l’OS d’origine, à jour).
Batterie en fin de vie : C’est une piste probable, mais j’avoue que j’ai moyennement envie de payer une nouvelle batterie pour rien sur un ancien téléphone si la cause racine n’est pas celle là.
Problème au niveau matériel, hors batterie : Éventualité que mpn faux contact soit le symptôme d’un problème plus gênant, qu’effectivement le téléphone ne prenne pas la charge même s’il détecte la connexion au secteur, voire qu’il fasse une décharge de la batterie continue mais significative quoi qu’il se passe. Et là… à part changer le téléphone…
Je sais que personne ne peut prétendre à un diagnostic certain à partir de ça mais j’aimerai éviter de procéder à un achat de batterie si la probabilité que ça vienne de là soit réduite. Et j’aimerai encore plus éviter de racheter un nouveau téléphone inutilement.
Des idées ?
Je n’étais pas le premier à tenter l’expérience. Github me semblait adapté pour un livre technique : git pour le contrôle de version et les fusions, site connu avec édition en ligne pour faire simple quand on le souhaite, petits fichiers textes en markdown.
D’autres sont allés plus loin, et ils ont eu raison. Voici gitbook. Si vous voulez écrire collaborativement, c’est probablement une des premières options à considérer.
Il sont allés jusqu’à faire un éditeur.
Continuing the analogy, the meme in the early 90s was, “on the Internet, nobody knows you’re a dog.” But that changed quickly once e-commerce and advertising began to provide an incentive for pervasive tracking and data mining. Bitcoin anonymity today is where Internet and web anonymity was in the 90s — a variety of research papers have shown how users’ pseudonymous Bitcoin addresses can be linked to each other and potentially to their real-world identities, but it remains to be seen if linking/tracking services will develop and flourish. It would be entirely unsurprising if they did.
— The importance of anonymous cryptocurrencies
Ne pas oublier que l’historique des transactions Bitcoin est public, à vie. Est-ce qu’un jour une société aura suffisamment d’informations pour tenter de tracer en partie l’usage et l’état des finances de tiers ? Franchement loin d’être impossible.
Bitcoin est d’un côté bien plus anonyme qu’un paiement par carte bancaire, mais d’un autre côté potentiellement aussi plus dangereux sur le long terme.
Car voilà la triste vérité. Bien souvent, même inconsciemment, vouloir à tout prix connaitre l’identité civile d’une personne n’a qu’un but : pouvoir le juger sur le nom, le passé, le milieu social, les études, l’emploi ou pire.
[…]
Nul besoin de savoir s’il a fait des études dans cette spécialité, s’il est brillant ou s’il est typé asiatique. A l’extrême limite, on peut vouloir connaitre les activités professionnelles de la personne, mais guère plus.
[source: anonyme et pseudonyme sont sur un bateau]
Le pire c’est quand le milieu artistique lutte contre ces internautes anonymes qui se cachent derrière des pseudonymes. Outre la malheureuse confusion entre pseudonyme et anonyme, il faut apprécier l’ironie de ceux qui utilisent des noms de scène ou nom de plume et qui ne répondent que par ce nom.
Mais surtout il y a un glissement de culture sur l’identité des gens. Ma filiation, mon nom de famille, ma scolarité font partie de qui je suis, mais finalement l’identité que je construis ici est d’abord liée à ce que je dis, comment je réagis, pourquoi. Au mieux mon identité civile peut expliquer mon identité actuelle pour un historien, mais c’est assez peu pertinent pour l’essentiel des interventions.
J’utilisais autrefois un pseudonyme. J’ai arrêté de le faire par la pression sociale, parce que c’était trop peu crédible pour trop de monde et que j’intervenais de toutes façons publiquement trop souvent avec mon identité civile. Puis je reprends un peu la main progressivement, en tronquant mon nom de famille, voire en reprenant un pseudonyme qui n’est qu’une contraction de mon nom civil, donc « plus crédible » et « moins anonyme » pour beaucoup tout en gardant une certaine opacité.
Ces questions ne sont pas réglées, mais j’attends le jour où ce qu’on dit sera plus important que notre identité civile.
— Him : Okay, « have you ever been convicted of fiscal fraud? » « are you tempted by it? »
— Me : No, never
— Him : How much bitcoins do you have? (he actually asked directly that question), and when he said that I started to understand
why I was there
— Me : I don’t know what you’re talking about
— Him : Don’t pretend, I heard you were saying « Bitcoin »
[..]
— Him : bitcoins are used to buy drugs, if you own bitcoins you use them to buy drugs, this is illegal, we will have to proceed to a search of your luggage
— Me : I don’t own any drugs!
— Him : have you declared your bitcoins to the fiscal administration?
— Me : Not yet I got them this year
— Him : where are your bitcoins stored?
— Me : on my personal computer
— Him : where is your personal computer? You are not allowed to travel with bitcoins (yeah riiiiiight)
Outre l’idiotie de la chose, et l’amalgame de tout ce qui est un peu techno avec tout ce qu’on peut imaginer de pire, commencer par mentir au douanier pour ensuite se contredire, ça me parait une assez mauvaise idée.
Vieux sujet traîné en commun avec Karl et David (mais pas que) : Faire en sorte de décentraliser les blogs et les discussions qui s’en suivent.
Par le passé nous avions Trackback. On envoyait une notification aux contenus liés, avec le lien vers notre contenu, le nom du blog, un extrait et un titre. Le codage caractère était globalement mal géré, les titres et extraits se sont révélés globalement inutiles voire contre-productifs, mais c’était implémenté un peu partout et ça, techniquement, ça fonctionnait assez bien.
Pour faire court, les gens continuaient à commenter dans le billet d’origine plutôt que de commenter dans un nouveau billet chez eux. Par contre les trackbacks étaient très utilisés pour le spam, avec au final un ratio signal/bruit vraiment mauvais et donc l’abandon du système.
Il y a aussi eu Pingback. Système similaire mais avec une autodécouverte plus sympa et l’arrêt de transmission des titres et extraits. Vu que ces derniers n’étaient jamais personnalisés spécifiquement pour la notification, autant les récupérer directement à partir du lien si jamais on en a besoin.
Différence, Pingback proposait de vérifier la présence d’un lien sortant dans le contenu tiers avant de valider une liaison entrante. Cette différence fut peu impactante au finale. L’idée a aussi été implémentée dans les trackback mais les spameurs ont vite appris à faire des liens sortants pour poster leur spam, quitte à faire des liens invisibles pour le lecteur ou des liens temporaires supprimés après l’opération.
Je trouve aussi l’idée discutable dans le sens où la valeur ajoutée du lien n’est pas la même dans les deux sens. Si je réalise analyse sur une dépêche AFP, il peut être utile d’avoir une notification chez plusieurs personnes qui reprennent verbatim cette dépêche, mais cela n’aurait aucun sens d’en lier plus d’un à partir de mon analyse (ce que la vérification de pingback impose).
Wikipedia cite aussi Refback. Je ne l’avais jamais vu formalisé sous ce nom mais la pratique est connue : Explorer les entêtes HTTP Referrer pour repérer de nouveaux liens entrants automatiquement. Les spammeurs jouaient à fausser ces entêtes depuis longtemps donc là aussi ça n’a pas changé grand chose.
Tous ces systèmes ne spécifient que la notification. Il s’agit de parler un langage commun au niveau de cette notification pour que ce soit plus simple pour tout le monde. Il reste à l’éditeur du site lié de choisir ce qu’il fait de la notification : L’afficher automatiquement avec une modération a posteriori, gérer une liste blanche, mettre un système anti-spam automatisé, ou même faire une validation manuelle a priori.
Il y a aussi Salmon, très orienté commentaire, mais extrêmement complexe et quasiment pas implémenté (les deux sont certainement liés). J’ai du mal à voir ce protocole réellement implémenté partout.
Aujourd’hui on parle de Webmention. Même sémantique que Pingback, même mécanismes d’autodécouvertes (seule la valeur de « rel » change), même requête initiale et mêmes paramètres (seuls les noms des paramètres changent légèrement pour retirer les trois derniers caractères).
Les différences tiennent exclusivement dans la précision de la méthode HTTP à utiliser (POST) et dans les codes de retours (Webmention utilise les codes HTTP standards et un lien vers la mention créée, là où Pingback renvoie une code de retour dans le corps de la réponse).
C’est techniquement plus satisfaisant pour les afficionados de HTTP mais la valeur ajoutée fonctionnelle est nulle. On ne fait rien de plus, rien de moins, et pas vraiment différemment. J’échoue d’ailleurs à
Sachant que pingback a une implémentation disponible sur à peu près tous les gros moteurs de blogs, je ne trouve pas que cela justifie de lancer un nouveau protocole. En l’état c’est d’une utilité encore plus faible que ce que j’imaginais initialement. Pas de quoi m’embêter à l’implémenter.
En fait à choisir entre pingback et webmention, une fonctionnalité forte de pingback est l’attribut pingback, qui permettrait de faire une notification automatique suivant ce dernier protocole, et donc de remplacer (en opt-in) l’entête HTTP Referrer là où elle est bloquée par HTTPS. Cette possibilité me semble bien plus utile que le respect théorique de HTTP (je sens que je vais attirer pas mal de commentaires avec cette phrase mais j’assume).
Et puis j’ai l’impression qu’on regresse un peu par rapport au trackback initial. Pingback et Webmention notifient d’un lien entrant, pas d’un suivi de discussion.
Je peux avoir un lien entrant sans aucun ajout à la discussion, juste un relai. Inversement je peux avoir un nouveau contenu qui apporte à la discussion et qui mériterait de notifier plusieurs contenus déjà existant sans forcément s’imposer de faire des liens.
Autre commentaire de Karl : Certains aimeront avoir plus qu’un lien, avec un petit texte sur le pourquoi de la notification, de ce qu’ajoute ce nouveau contenu au sujet déjà en cours – par exemple pour orienter la modération et le choix de (non-)publication. Pas forcément pertinent de le rendre obligatoire (ça empêcherait pas mal d’automatismes) mais le rendre possible serait utile.
Et si je n’impose pas de lien dans le contenu notifié, il faudra que je puisse en authentifier l’origine. Un système de signature simpliste devrait suffire mais sera nécessaire.
Faire une spécification qui implémente ça demande deux heures tout au plus. Rien n’empêche même qu’elle soit compatible avec Webmention et qu’on puisse avoir un point d’entrée unique. Simplement ça n’a de sens que si je ne suis pas le seul à jouer.
David, Karl, les autres ? vous en pensez quoi ?
On nous prépare un nouveau connecteur USB, de la taille du micro-USB de nos téléphones, mais réversible : Le type C.
Génial mais… Disons qu’on avait déjà deux types (A et B) à croiser dans trois tailles (standard, mini et micro). Ça faisait déjà pas mal.
| Type A | blanc | gros | plat | PC |
| Type B | blanc | gros | carré | Imprimante, caméra |
| Mini Type A | blanc | petit | plat | Obsolète |
| Mini Type B | noir | petit | plat | GPS, PDA, APN |
| Micro Type A | gris / blanc | petit | plat | Obsolète |
| Micro Type B | noir | petit | plat | Smartphone, APN, GPS |
Comme on aime bien s’amuser, on a même ajouté de l’USB 3. Ils sont tous rétro-compatibles USB 2 mais ont plus de pins et même un double connecteur pour les petits.
| 3.0 Type A | bleu | gros | plat | PC |
| 3.0 Type B | bleu | gros | double carré | ? |
| 3.0 Micro B | noir | petit | double plat | Tablette |
Rassurez-vous on avait aussi pas mal de dérives propriétaire. Une brève recherche remonte ces 7 là mais ils ne sont clairement qu’un petit échantillon. D’ailleurs dans les 4 pins on en trouve pas mal de versions (incompatibles, voire qui peuvent détériorer les appareils si on prend l’une pour l’autre). Je vous fais grâce des connecteurs mais qui font passer une intensité de 2A au lieu des 500mA (ou 900mA pour l’USB 3) qu’on trouve sur les tablettes. Heureusement ils ont un connecteur non standard du côté de la tablette.
| Mini 4P (4 pins) | noir | petit | carré | |
| Mini type A (4 pins) |
blanc | petit | plat | |
| Mini Type B (4 pins) |
noir | petit | carré | APN Kodac |
| HTC ExtMicro | – | petit | plat | Smartphone HTC |
| Mini 8M (8 pins) | noir | petit | carré | |
| Mini 8P (8pins) | noir | petit | rond | |
| Mini TDK | noir | petit | carré | |
| UC-E6 | noir | petit | plat | Nikon |
Avec cet historique, ajouter un type C (qui pour l’instant n’existera qu’en taille micro), ça prend un sens tout différent.
Sérieusement, je ne pourrai pas me passer de bloqueur de pub, mais je ne peux pas cautionner ces pratiques. Oui, vous pouvez désactiver la liste blanche, mais ce n’est pas une question de voir ou non les publicités de la liste blanche. C’est que je me refuse à donner du poids à cette extension pour qu’ensuite l’auteur le monétise de cette façon. Sur Firefox vous pouvez regarder du côté de adblock edge qui fait la même chose mais sans cette politique de rançon.