Extrait de The Manager’s Path
When you feel like you want to micromanage, ask the team how they’re measuring their success and ask them to make that visible to you on an ongoing basis.
Et autant je ne me sens aucune envie d’aller dans le micro-management, à la relecture de ce sous-chapitre je mets le doigt sur un de mes problèmes en cours :
Je n’ai pas de tableau de bord évident mis à jour régulièrement qui me permette de savoir si on est sur la bonne voie. Je me base sur les 1–1 avec les managers, les alertes qu’on me remonte, et ça ajoute une grosse charge cognitive à la fois chez moi et chez mes leads.
Action à corriger dans la semaine.
However, that requires goals with a plan for people to be making progress against, and a product manager who can give you another perspective.
J’ai longtemps été contre parce que j’étais dans des cultures toxiques et que ça servait de reproche. Si vous avez les bons managers ou si vous vous sentez capables d’instaurer une bonne culture dans vos équipes sans qu’un chef ne vienne détourner ce que vous aurez mis en place : Assurez-vous que chacun a ses objectifs, à la fois court et long terme.
Et si vous êtes dans la case « j’ai effectivement le risque qu’un chef ne vienne détourner ce que j’aurai mis en place », parlez-en avec votre direction. Le cas échéant changez de boite. Vous ne pourriez faire autrement que participer au système toxique en place et faire le tampon quelques années aussi bien que mal au prix de votre santé. Je suis passé par là et je le regrette encore fortement.
I’m one of those deeply technical managers, and I have opinions about the way systems should be built and operated. Letting go has been hard for me
Et c’est toujours le cas. Je modère un peu en me disant que je suis de ceux qui ont le plus d’expérience, et donc qu’il est utile que je donne mes opinions. Se limiter à ça n’est pas toujours facile mais c’est important, faute de quoi on retourne dans le manque d’autonomie lié au micromanagement, vu dans le billet d’hier.
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