Auteur/autrice : Éric

  • Petit réjouis­se­ment du 17 avril 2023

    Je suis allé à la réunion de concer­ta­tion pour la VL12 de Lyon et je suis heureux de l’avoir fait, d’avoir pu faire un petit rien de soutien à ce projet avec ma seule présence.

    Ces voies vélo vont vrai­ment chan­ger mon quoti­dien, ma sécu­rité, ma capa­cité à lais­ser mon fils circu­ler en ville de lui-même, poten­tiel­le­ment ma santé si on arrive en même temps à réduire la circu­la­tion auto­mo­bile.

    C’est un inves­tis­se­ment massif de la part de la métro­pole et ça me donne un vrai sourire qu’ils tiennent le projet sans faillir.


    Sur les réunions de concer­ta­tion, pour être franc c’est tota­le­ment vain. Le format ne permet pas des débats de fond. C’est essen­tiel­le­ment quelques personnes qui remontent des posi­tions tran­chées et le poli­tique en face qui répond ce qu’on savait qu’il répon­drait. Au mieux ça permet aux plus radi­caux d’ex­pri­mer leur mécon­ten­te­ment et au respon­sable poli­tique de dire qu’il a écouté tout le monde.

    J’y étais essen­tiel­le­ment pour faire présence, montrer qu’il n’y a pas que les contes­ta­taires. Autre­ment…

  • La petite bonne nouvelle du 16 avril 2023

    Après une nuit aux urgences vété­ri­naires, le chat va mieux. On a visi­ble­ment pris le problème à temps.

    Je ne sais pas comment ça serait passé sur un week-end en absence, ni comment font ceux qui n’ont pas nos moyens pour payer les urgences vété­ri­naires.

  • Se voir physique­ment quand on travaille à distance

    J’ai, en géné­ral, vu une nette amélio­ra­tion du travail indi­vi­duel et collec­tif corré­lée à la fréquence à laquelle les équipes se retrouvent physique­ment ensemble.

    Je crois qu’au­tant que possible, il est idéal pour le fonc­tion­ne­ment géné­ral des équipes d’être physique­ment ensemble une à deux fois par semaine.

    Avec l’en­tre­prise qui gran­dit, la prise en compte des cas indi­vi­duels, il n’est pas forcé­ment possible ni même souhai­table de s’or­ga­ni­ser ainsi. Là, je crois qu’au­tant que possible, il est utile de se retrou­ver physique­ment toutes les quatre à six semaines.

    Comme on parle d’équi­libres indi­vi­duels et collec­tifs, je crois fonda­men­ta­le­ment que ces deux para­graphes doivent plus s’ins­crire comme des guides dans un cadre de liberté que comme des règles formelles perma­nentes dans l’en­tre­prise. Le corol­laire est toute­fois que ça donne un rôle impor­tant au mana­ger pour inci­ter à chan­ger des compor­te­ments quand c’est néces­saire.

    Qu’on parle d’une petite entre­prise dans le premier cas ou d’une plus grosse dans le second cas, il faut le penser en amont. Ça veut proba­ble­ment dire penser la distance géogra­phique en fonc­tion de la fréquence des rencontres recher­chées, et s’as­su­rer que les candi­dats sont bien prêts à avan­cer dans la même direc­tion que le collec­tif exis­tant.

    Tout ça se pense, et se discute collec­ti­ve­ment. Il n’y a évidem­ment pas qu’une seule façon de faire, ni qu’un seul choix.


    Il est fréquent que je reçoive des réac­tions assez tran­chées quand je parle de télé­tra­vail. Je vais donc termi­ner par quelques préci­sions :

    1/ Je parle en géné­ral, pas au niveau indi­vi­duel de x ou de y. Chacun est forcé­ment diffé­rent. Il y a des personnes pour qui je ne vois pas forcé­ment cette diffé­rence, ou pas autant. Parfois je n’ai simple­ment pas de points de compa­rai­son.

    2/ Je ne parle que de ce que j’ai vu. C’est un partage d’ex­pé­riences avec des équipes de déve­lop­pe­ment logi­ciel dans des entre­prises tech de 10 à 300 personnes, avec ou pas le télé­tra­vail dans leur ADN, avec ou pas des règles fixées, avec ou pas des personnes rompues à l’exer­cice, avant et après COVID.

    3/ Je parle d’amélio­ra­tion du travail. Ça ne remet nulle­ment en cause qu’on ait des indi­vi­dus, des équipes et des entre­prises qui fonc­tionnent correc­te­ment en télé­tra­vail. Je l’ai même vécu.

    4/ Je parle d’une amélio­ra­tion du travail indi­vi­duel et collec­tif. Certains travaillent mieux de chez eux. D’autres non, ou pas sur la durée. Parfois on s’en rend compte, parfois ce sont les tiers qui le voient.

    Le collec­tif ne se résume toute­fois pas à la somme de l’in­di­vi­duel. Déve­lop­per un logi­ciel en équipe c’est souvent d’abord un travail social. Parfois tout le monde travaille parfai­te­ment indi­vi­duel­le­ment mais ce sont les inter­ac­tions, la cohé­sion, le cap commun, la compré­hen­sion de la stra­té­gie et des problèmes des autres, ou simple­ment plein de petits trucs autour du travail indi­vi­duel qui sont grip­pés. Il faut alors trou­ver un équi­libre entre l’in­di­vi­duel et le collec­tif.

    5/ Je parle d’une corré­la­tion à la fréquence mais je ne la crois pas linéaire. J’ai au contraire l’im­pres­sion qu’il y a des paliers, que j’ai donné plus haut. Il faudrait de grandes phases d’ex­pé­ri­men­ta­tions pour le confir­mer et je ne les ai pas faites.

    6/ Je parle de se retrou­ver physique­ment. Les écrits synchrones ou asyn­chrones, les échanges vidéos et les travaux en communs type pair progra­ming ont tous des béné­fices et sont tous perti­nents. Se retrou­ver physique­ment a toute­fois des béné­fices qui y sont propres.

    7/ Enfin, je parle de ensemble parce que je crois que juste­ment ce n’est pas limité à une équipe. Une partie du béné­fice vient de croi­ser plus ceux avec qui on n’in­te­ra­git pas quoti­dien­ne­ment, voire ceux qu’on n’au­rait juste­ment pas croisé autre­ment.


    Le seul scéna­rio que j’ai tendance à décon­seiller c’est une équipe hybride avec un cœur qui travaille en face à face et d’autres personnes à distance. Cela étant, même là, je ne dis pas que ce n’est pas possible. Je dis juste que ça me parait un équi­libre beau­coup plus déli­cat à trou­ver.

  • Les igno­rants sont bénis

    « Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade »

    Amis joyeux, sachez que souvent je pense ça de vous (tout en vous enviant un peu quand même).

    La vérité c’est que ne pas voir à quel point le monde est pourri doit être un vrai bonheur et je n’ai pas forcé­ment envie de vous soule­ver le voile.

    « Les igno­rants sont bénis »

    Andy Wachowski, Matrix
  • Petite satis­fac­tion du 15 avril 2023

    J’ai repensé hier aux 2 blagues que j’avais enten­dues au bureau il y a quelques temps, faites par la même personne.

    Sa première: « Ah mais Bana­nia, j’ai toujours cru que c’était un singe sur l’étiquette ». Il était telle­ment fier de lui…

    […] Pour la deuxième, il revient des WC et nous dit, très fier de lui : « J’ai croisé la femme de ménage aux WC. Heureu­se­ment qu’elle n’était pas dans une des cabines, car je l’au­rais chop­pée et fait une DSK »

    Je me rends compte que ça fait bien long­temps que je n’ai plus à subir ce type de remarques dans mon entou­rage pro et à faire un joli sourire crispé en retour.

    8 ans exac­te­ment. J’ai passé 5 ans asso­cié avec une personne dont je ne partage pas les valeurs, et ça fait du bien d’avoir oublié que ça existe.

    On a beau dire que les valeurs dans les entre­prises ne sont que des tartes à la crème, je suis convaincu qu’au contraire ça fait de grandes diffé­rences.

  • Et si on arrê­tait l’as­sem­blée natio­nale et le sénat ?

    Non, je ne parle pas des parle­men­taires et de la repré­sen­ta­ti­vité (même si ça pour­rait être un bon sujet) mais des deux hémi­cycles et des « débats » publics qui s’y mènent.

    Tout est joué d’avance. Les parle­men­taires savent déjà quoi voter (quand ils votent). Heureu­se­ment d’ailleurs parce que je ne voudrais pas qu’un repré­sen­tant se fasse une idée en quelques secondes et vote immé­dia­te­ment tel ou tel texte parce qu’un orateur a bien tourné son inter­ven­tion sur le moment.

    Les vrais débats semblent être en commis­sion, et même là je suppose qu’en réalité le travail de fond ne se fait pas dans l’ins­tant.

    Qu’est-ce qui empêche de rempla­cer nos séances publiques par des allers-retours écrits et votes asyn­chrones ?

    On mettrait fin à l’obs­truc­tion parle­men­taire. Les repré­sen­tants aurait un espace quasi infini pour s’ex­pri­mer. Les votes se feront enfin avec poten­tiel­le­ment tout le monde (ou tous ceux qui veulent voter). Tout pour­rait être réel­le­ment public et archivé

    Ça n’em­pêche pas l’in­ter­ven­tion publique poli­tique. On peut même avoir des temps pour ça, renfor­cer l’obli­ga­tion de réponse du gouver­ne­ment aux ques­tions des dépu­tés (les délais sont aujourd’­hui large­ment dépas­sés).

    Et bon, nos élus savent déjà diffu­ser des textes et vidéos sur les réseaux, et toucher la presse. Quel béné­fice a-t-on à avoir ce spec­tacle dans l’hé­mi­cycle où chacun joue sa parti­tion comme dans un réci­tal ?


    Chaque fois que j’ai vu le sujet abordé par des assis­tants parle­men­taires je sais que la réponse a été « le fonc­tion­ne­ment actuel est néces­saire et perti­nent » mais je n’ai jamais compris pourquoi. Chaque fois, je comprends un peu moins.

  • Petite décou­verte du 14 avril 2023

    Je me suis remis à faire deux parties d’échecs. Je n’avais quasi­ment plus joué depuis… 20 ou 25 ans.

    J’avais un style de jeu très prudent et très défen­sif à l’époque. J’avançais pas à pas en défen­dant chaque avan­cée plusieurs fois. Ça permet de gagner contre les joueurs moins expé­ri­menté que moi mais les plus expé­ri­men­tés que moi avaient le champ libre et me lais­saient très peu de chances.

    Je me retrouve aujourd’­hui avec un style de jeu très agres­sif, à lais­ser des pièces sans défense et même des pièces en prise pour pouvoir attaquer en face.

    Ce n’est ni mieux, ni moins bien, juste diffé­rent. Très diffé­rent et ça m’in­ter­roge sur moi-même.

    J’ai l’im­pres­sion d’être formaté depuis par ma vie profes­sion­nelle, qui m’a beau­coup appris à aller de l’avant et à tenter de créer des situa­tions plutôt que rester en arrière en espé­rant qu’elles arrivent d’elles-mêmes.

  • Petit plai­sir du 13 avril 2023

    Me rendre compte que je n’ai pas lâché les manchons que j’ai mis à mon vélo de tout l’hi­ver, et vu leur protec­tion contre la pluie il tien­dront proba­ble­ment encore la fin de l’in­ter­sai­son.

    J’ai tenu des tempé­ra­ture néga­tives sans gants et sans avoir froid. Je prends mon vélo sans y penser. M’en rendre compte a éclairé ma soirée.

  • Je ne comprends pas la panique sur le droit d’au­teur et l’in­tel­li­gence arti­fi­cielle

    Vrai­ment. J’ai l’im­pres­sion (*) que notre droit est déjà très géné­rique et que les problé­ma­tiques soule­vées, quand bien même elles vont être exacer­bées, sont toutes sauf nouvelles.

    À qui appar­tient le contenu généré par une IA ?

    Ça dépend (comme toujours) mais la ques­tion n’est pas nouvelle. On a depuis très long­temps des machines et des logi­ciels pour créer du contenu, y compris du contenu graphique.

    Je me rappelle de Pico­gen qui géné­rait des paysages, et dont la dernière version date de 2010. Le fait que le programme exécuté soit désor­mais une IA ne change pas grand chose. Les tribu­naux ont même eu à tran­cher le cas de photos prises par un singe.

    Si le résul­tat peut démon­trer une origi­na­lité par le reflet de la person­na­lité de l’au­teur de l’IA ou de l’au­teur du prompt, c’est proba­ble­ment couvert par le droit d’au­teur de ces personnes.

    S’il n’y a aucune origi­na­lité qui peut être démon­trée, ce n’est proba­ble­ment pas couvert par le droit d’au­teur, peu importe la quan­tité de travail réali­sée dans l’IA.

    Ils utilisent mon contenu pour l’ap­pren­tis­sage de leur IA !

    Outre que cette ques­tion a été abor­dée dans la loi quand on a parlé de data mining, c’est aussi quelque chose de vieux comme le monde.

    La créa­tion intel­lec­tuelle ne se fait pas de zéro. Tous les auteurs créent à partir de ce qu’ils ont étudié, vu, appris. Là dessus l’hu­main ne fonc­tionne par diffé­rem­ment de l’IA.

    Oui mais là on voit parfois la ressem­blance avec mon contenu sous droit d’au­teur !

    Repro­che­rait-on à un auteur de roman d’avoir beau­coup lu les autres auteurs contem­po­rains pour créer son style à partir de ce qu’il aime bien, et de reprendre telle façon de faire de X et telle autre de Y ?

    On a aussi plein d’ar­tistes qui font des œuvres « dans le style de […] », d’autres qui réuti­lisent des mélo­dies, et tout un univers de fan fiction qui s’in­sèrent dans les œuvres exis­tantes.

    Il y a des limites à tout cela, des choses possibles ou pas. Les limites demandent parfois des juges pour être arbi­trées mais que ce soit crée via une IA ou direc­te­ment par un humain n’y change proba­ble­ment rien.


    Mais alors il n’y a pas d’enjeux ?

    Il y en a plein, parce que les limites ne sont pas binaires et que ça va proba­ble­ment géné­rer d’in­ter­mi­nables débats juri­diques, mais ça va plus être à cause du volume que d’une situa­tion vrai­ment nouvelle.

    On a aussi certai­ne­ment les ayants-tous-les-droits qui vont encore récla­mer des droits voisins et une façon de faire payer les autres.

    Si je vois un enjeu il sera beau­coup plus sur l’éthique, sur ce qu’il est accep­table de faire faire par une IA ou non, de s’il faut l’em­pê­cher d’avoir des réponses poten­tiel­le­ment violentes, ou critiques, ou sexuelles, ou poli­tiques, ou affir­ma­tives, et de s’il faut bannir quelques types de réponses. La posi­tion italienne sur la vie privée me parait très inté­res­sante à ce niveau.

    Il y a, enfin, une énorme révo­lu­tion à venir sur qui contrôle les IA, ainsi que sur la répar­ti­tion du travail et des richesses qui en découlent. Si on entre dans le monde cyber­punk avec juste quelques multi­na­tio­nales qui détiennent les moyens de former ou faire tour­ner de grosses IA, que seules ces multi­na­tio­nales en récoltent les fruits, on va avoir de gros problèmes.

    Bref, le droit d’au­teur m’im­porte peu à côté des problé­ma­tiques d’éthique, de contrôle des outils et de partage des richesses.


    (*) : IANAL « I am not a lawyer », je ne suis pas juriste.

  • Une liste pour le voyage à vélo

    J’aime bien faire des listes. Ça me donne l’im­pres­sion d’être orga­nisé même si en pratique ça vient souvent à la place de l’or­ga­ni­sa­tion.

    Ici c’est un peu le prin­cipe. Je rêve d’al­ler à vélo jusqu’en Norvège, en partant de Lyon puis sur l’Eu­roVelo 3. C’est de l’ordre d’au moins 3 500 à 4 500 km suivant jusqu’où je vais en Norvège, soit envi­ron 3 à 4 mois.

    Faire la liste de maté­riel dans le détail c’est déjà une partie du voyage, et partir un peu dans la tête. On verra si ça se réalise ensuite.

    Et comme j’ai juste­ment envie que ça se réalise un jour, je fais aussi un inter­mé­diaire en établis­sant aussi une liste pour un trajet de l’ordre de 2 semaines en France, qui est assuré de se faire à courte échéance.


    Je partage la liste pour échan­ger avec vous.

    La liste est censée être exhaus­tive. Si vous voyez un truc qui manque, y compris des choses ridi­cules et évidentes comme une brosse à dent, faites-moi signe.

    Ensuite il faudra voir ce que j’em­mène vrai­ment. Il y a des choses qui n’au­ront fina­le­ment pas de sens même pour un long trajet jusqu’en Norvège. Il y en a certai­ne­ment une majo­rité qui n’a aucune utilité pour deux semaines sur une vélo­route avec des camping en France. Pour ceux que ça inté­resse, j’avais déjà une liste pour une sortie de 3 jours avec mon fils.

    🇫🇷Ce que j’em­mène en trajet court en France
    🇳🇴Ce que j’em­mène en trajet long jusqu’en Norvège
    ❄️Ce que j’em­mène en zone froide
    ☀️Ce que j’em­mène en zone chaude
    Ce que je vais proba­ble­ment d’em­me­ner nulle part
    Légende de la liste

    Pour chaque item je regarde plus préci­sé­ment ce que je prends : quel duvet, quelle tente, quel bidon d’eau, etc. J’ai tendance à géné­ra­le­ment plutôt viser le haut de gamme. Si j’en parle ici j’ajou­te­rai les liens dans le tableau et ça sera proba­ble­ment listé dans la caté­go­rie ad-hoc du site.

    Là aussi, viser à la fois la Norvège et la France ça n’amène pas forcé­ment le même choix de maté­riel. Parfois je prévois les deux, le reste du temps je vais privi­lé­gier la France et on verra ensuite.

    Acces­soires

    Adap­teur de prise élec­trique camping EU🇫🇷🇳🇴
    Adap­teur de prises élec­triques inter­na­tio­nales
    Batte­rie externe USB🇫🇷🇳🇴
    Bous­sole🇫🇷🇳🇴
    Cartes routières🇫🇷🇳🇴
    Char­geur élec­trique🇫🇷🇳🇴
    Câble micro-USB🇫🇷🇳🇴
    Câble USB-C🇫🇷🇳🇴
    Doubleur de prise élec­trique🇫🇷
    Dynamo pour recharge sur vélo
    GPS🇫🇷🇳🇴
    Liseuse / Livres🇫🇷🇳🇴
    Panneau solaire🇳🇴
    Radio FM
    Rallonge élec­trique
    Support GPS🇫🇷🇳🇴
    Support smart­phone🇫🇷🇳🇴
    Smart­phone🇫🇷🇳🇴
    Écou­teurs 🇫🇷🇳🇴

    J’ar­rive entre 1,75 et 2,1 kg suivant ce que je prends. Outre le système de charge et auto­no­mie élec­trique lui-même, les gros poids sont le smart­phone et la liseuse. Le reste fait indi­vi­duel­le­ment moins de 100 grammes mais rien que trois cartes papier à 90 grammes chacune, ça commence à prendre une part signi­fi­ca­tive.

    Couchage

    Bandeau de nuit🇳🇴
    Drap de sac🇫🇷🇳🇴
    Duvet🇫🇷🇳🇴
    Lampe fron­tale🇫🇷🇳🇴
    Mate­las de sol🇫🇷🇳🇴
    Oreiller🇫🇷🇳🇴
    Siège pliable🇳🇴
    Sur-sac ou couver­ture🇫🇷🇳🇴
    Tente🇫🇷🇳🇴

    Le poids du couchage est extrê­me­ment dépen­dant du type de voyage, long ou court, froid ou chaud. J’ar­rive entre 3,3 et 4,9 kg pour le couchage. Les poids évidents et incon­tour­nables sont la tente, le duvet et le mate­las de sol.

    Sur un voyage long de plusieurs mois j’ai osé ajou­ter un siège pliable de 500 grammes, pour être quand même tenu de temps en temps et repo­ser le dos. On verra si je la garde en fonc­tion du poids final.

    Sur un voyage froid j’ai aussi ajouté une très fine couver­ture polaire à poser sur le sac de couchage pour que ce soit elle qui prenne la conden­sa­tion et pas le sac de couchage. Ça sert aussi de plaid le soir ou le midi. Même très fin, ça fait facile 500 grammes aussi.

    Bagages

    Accroches rapides / scratch ou serre flex🇫🇷🇳🇴
    Bagage vélo centre arrière
    Bagage vélo guidon🇫🇷🇳🇴
    Filet🇫🇷🇳🇴
    Mousque­tons🇫🇷🇳🇴
    Sacoche de selle
    Sacoches côtés arrière🇫🇷🇳🇴
    Sacoches côtés avant🇫🇷🇳🇴
    Tendeurs🇫🇷🇳🇴

    Cuisine

    Combus­tible réchaud
    Assiette
    Bassine pliable
    Bidons d’eau
    Briquet
    Couteau cuisine
    Couverts
    Éponge
    Filtre à eau
    Gobe­let
    Ouvre-boîte
    Pare-vent pour réchaud
    Passoire
    Popote / casse­role / poêle
    Produit vais­selle
    Réchaud
    Sac à eau
    Sac poubelles
    Torchon
    Tupper­wares

    Habille­ment

    Bandeau pour les oreilles
    Bonnet de nuit
    Bonnet hiver
    Boxers
    Cagoule
    Casquette
    Collants ther­miques
    Gants ou sur-gants vélo pour la pluie
    Mitaines vélo été
    Gants longs vélo hiver
    Gants longs vélo inter­sai­son
    Gants longs vélo subzero
    Lunettes de soleil
    Maillot de bain
    Paire de chaus­sures
    Paire de sandales
    Paires de chaus­settes
    Panta­lon de pluie
    Panta­lons
    Pulls / polaires
    Pyjama
    Shorts
    Sous-casque / bonnet léger
    Sous-pulls ther­miques
    Soft-shell / coupe-vent
    Tour de cou
    Tshirts / maillots
    Veste de pluie

    Hygiène et toilette

    Sac à linge sale
    Brosse à dent
    Coupe-ongle
    Denti­frice
    Fil à linge
    Gant de toilette
    Lessive
    Mouchoirs
    Papier toilette
    Peigne / brosse
    Pelle
    Pinces à linge
    Savon
    Serviettes
    Sham­poing

    Répa­ra­tion

    Chambres à air
    Clef à rayons
    Dérive chaîne
    Maillon rapide de chaîne
    Multi-outil de répa­ra­tion vélo
    Multi-outil couteau/scie
    Plaquettes de frein
    Pompe
    Rayons de rechange
    Rustines
    Scotch de répa­ra­tion

    Santé et premiers secours

    Anti-diaré­hiques
    Anti-hista­mi­niques
    Anti­bio­tique large spectre
    Bandage adhé­sif / strap­ping
    Bande stérile
    Bandes de suture rapide
    Biafine
    Ciseaux
    Compresses anti-coagu­lantes
    Compresses non tissées
    Crème cica­tri­sante
    Crème solaire
    Désin­fec­tant
    Gants plas­tique
    Ibupro­fène
    Miroir
    Mous­tiquaire de tête
    Panse­ment israe­lien
    Panse­ments spéci­fiques doigts
    Panse­ments spéci­fiques ampoules
    Panse­ments simples
    Para­cé­ta­mol
    Pince-tiques
    Pince à épiler
    Répul­sif à mous­tiques
    Spara­drap
    Stick lèvres
    Sérum physio­lo­gique
    Trousse à phar­ma­cie
    Tulle gras / Compresse à brûlure
    Épingle de sûreté / attache de bandage

    Sécu­rité

    Anti­vol(s) vélo
    Casque vélo
    Couver­ture de survie
    Fiche de constat acci­dent routier et stylo
    Gilet réflé­chis­sant
    Lacrymo
    Sifflet
    Écar­teur de danger vélo
    ziplock ou cade­nas bagages

    Admi­nis­tra­tif

    Argent liquide
    Carte de paie­ment inter­na­tio­nale
    Carte d’iden­tité
    Carte euro­péenne d’as­su­rance mala­die
    Carte de mutuelle
    Carte vitale
    Papier contact consu­lats / ambas­sade
    Papier contacts d’ur­gence
    Passe­port
    Photo­co­pie papiers d’iden­tité
    Porte­feuille
    Récap assu­rance et rapa­trie­ment
    Stockage en ligne des scan PDF des docu­ments admi­nis­tra­tifs