Un péché d’orgueil d’avoir fait fabriquer en France
J’en ai marre d’être pris pour un jambon. Le problème, très bien noté dans l’article, c’est qu’il y a eu un défaut sur des milliers de cadres, qu’il a fallu un rappel, et qu’ils n’ont pas su le financer.
La fabrication en France elle a bon dos.
France ou Chine, le problème est surtout qu’ils ont préféré ne pas s’assurer contre ce risque, ou mal.
Je note aussi qu’on se retrouve dans le même cas que VanMoof, c’est à dire que l’entreprise n’a pas pris la peine de penser à la pérennité des vélos vendus en cas de cessation d’activité. Sachant qu’il y a eu un précédent avec VanMoof, cette impasse est un choix de leur part.
Bref, on a juste une classique enterprise qui a rogné des choses qu’elle n’aurait pas dû et qui tente de reporter la faute ensuite.
Il est peut-être temps d’avoir une législation adaptée aux objets connectés, avec une obligation de pérennité sur une durée de vie cible, dont au minimum la divulgation des protocoles, api et signatures en cas de cessation d’activité.
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