Extrait de The Manager’s Path
A friend of mine recently became a director of engineering, and she had to start having an assistant order her lunch because she discovered that she would forget to eat — and had no energy to decide what to eat when she realized she needed food.
Sans en arriver à cet extrême, qui n’est évidemment sain ni pour la directrice ni pour l’organisation, je me pose toujours la question de l’assistant — ou du bras droit, suivant comment on l’appelle.
Il était fréquent dans les anciennes organisations d’avoir des assistants et des secrétaires. C’est une vision qu’on considère souvent dépassée dans les nouvelles organisations qui se veulent très à plat. Je m’interroge encore du pourquoi.
Sans bras droit, je me retrouve à faire des tâches à peu de valeur ajoutée. Je peux déléguer mais ce sont des tâches qui n’entrent pas forcément dans le périmètre de mes managers qui ont leurs propres missions, ou qui ne sont pas valorisantes pour eux non plus.
As tasks come at you, ask yourself: do I need to be the person who completes this work?
Mon problème, encore non résolu est plutôt le « à qui déléguer cette tâche ». Si c’est une tâche complexe et longue, je n’ai personne avec assez de liberté pour le sortir de ses autres missions. Si ce sont des tâches à vraiment très faible valeur ajoutée, c’est difficile de les rebalancer à mes leads d’équipe, surtout si la transmettre prend déjà du temps.
Ça fait daté mais cette disparition des secrétaires et des assistants me semble globalement une erreur.
This is also why I strongly advise you maintain your practice of regular, reliable 1–1 meetings with everyone who reports directly to you.
Je fais un peu de coaching et je discute avec d’autres directeurs techniques ou managers. Je suis toujours étonné de voir à quel point on considère les 1–1 comme une contrainte qu’on veut diminuer le plus possible.
Faites vos 1–1 toutes les semaines, même si ça ne dure que 5 ou 10 minutes. L’espace est là, il servira le jour où il y en aura besoin. Il vous permettra aussi de détecter des choses qui ne se verraient pas sinon.
Il nous arrive d’en annuler un de temps en temps, exceptionnellement deux de suite, mais je prends généralement au moins 40 minutes par semaine à mon CEO pour discuter de ce que je fais et de ce que je ne fais pas.
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