The Nordic nation is getting closer this month to finalizing a solution to poverty: paying each of its 5.4 million people $876 tax-free a month — and in return, it will do away with welfare benefits, unemployment lines, and the other bureaucracy of its extensive social safety net.
The concept, called basic income, has been a popular source of debate among academics and economists for decades, though Finland would be the first nation in the European Union — and the first major nation anywhere — to actually implement the idea on a universal basis.
Il est temps de voir les choses avancer, mais il y a encore du chemin à faire. On parle là de dédier tout le budget uniquement à ça, coupant de fait tout le filet social.
Il m’apparait normal de déplacer une grosse part des aides sociales vers un revenu d’existence mais c’est loin d’être aussi simple. Si on y déplace l’équivalent de la sécurité sociale, les gens avec un cancer vont dépendre des assurances privées, qui calquent leurs prestations en fonction des risques. Une fois le cancer déclaré, le revenu d’existence risque de ne pas suffire. Même chose avec les allocations liés à des handicap, qui doivent forcément s’ajouter si on veut réellement aplanir des problèmes.
L’idée que l’administratif inutile, le contrôle et les règles complexes de redistribution ne soient finalement pas rentables face à un bête chèque sans conditions recoupe cependant assez bien un précédent lien sur les aides caritatives.
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