La crèche a, une fois de plus, donné de l’homéopathie à notre enfant de 18mois, sans nous prévenir. Ma réponse: pic.twitter.com/MhEHrfg8NH
— Doc Jedi (@Docjedy) 15 novembre 2016
La crèche a, une fois de plus, donné de l’homéopathie à notre enfant de 18mois, sans nous prévenir. Ma réponse: pic.twitter.com/MhEHrfg8NH
— Doc Jedi (@Docjedy) 15 novembre 2016
De temps en temps j’aime bien explorer quelque chose de nouveau côté programmation.
J’ai tenté de faire une petite remise à zéro en Javascript il y a peu. J’y trouve plein de points positifs objectifs mais je ne vois pas la motivation pour mes projets perso. Je n’ai pas d’atomes crochus avec la syntaxe, le langage lui-même ne m’apporte pas suffisamment de nouveau pour que la découverte me motive, et il y a plein de trucs qui me fatiguent dans l’environnement.
J’ai vu Elm et j’aime bien plusieurs idées mais je cherche quelque chose qui tourne aussi en ligne de commande.
J’ai tenté Crystal. Le langage est sympa : inspiré de ruby, inférence de types, compilé et performant, liaisons simples avec toutes les libs en C. J’ai quelques reproches (genre l’absence d’un type « Numeric » qui m’abstrait des types bas niveau) mais je me suis surtout dit « à quoi bon » quand j’ai eu une exception à l’exécution lors de ma première journée. À quoi bon s’imposer un typage statique si c’est pour que les problèmes les plus courants soient encore gérés à l’exécution sans même un avertissement à la compilation ?
Dans l’idéal j’aimerais tester un environnement où quasiment tout est détecté en statique et qui ne soit pas aussi verbeux qu’un Java ou aussi bas niveau qu’un C. Vous avez quelque chose à me conseiller ?
Je fais les récapitulatifs des séances qui n’en ont pas bénéficié, quitte à remonter un peu dans le passé. Celle-ci était particulière pour moi.
La première séance avec quelqu’un que je ne connaissais pas déjà avant. C’est aussi la première qui a commencé par une discussion, et qui a du coup apporté quelque chose de particulier en plus de la simple photo brute.
Il y avait même eu un petit teaser :
Comme les précédentes, vous pouvez suivre les textes sur le fil RSS ou Twitter, et les images seules sur Flickr.
Et trois pour lesquelles je n’ai rien rédigé, mais qui ont été présentées sur Flickr :
Je n’avais pas publié le récapitulatif mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Séance difficile, avec une pièce petite et encombrée, beaucoup d’erreurs de ma part, mais c’est aussi une de celle où j’ai fini par plus chercher un sens lors des développement plutôt que du simple graphique. Il en reste quelques photos qui vont rester dans la sélection.
Comme la précédente, si les textes sont publiés ici par fil RSS ou sur Twitter, vous avez l’intégralité des albums sur Flickr. Vos réactions m’intéressent, même quand elles ne sont qu’un j’aime ou je n’aime pas, un retweet ou un repartage. Surtout ne les retenez pas en pensant que vous n’êtes pas légitimes.
Peut-être trop de pudeur de mon côté, cette première séance homme a été bien plus courte que les habituelles. J’en garde quelques photos que j’aime bien, et des vues du dos qui me sont chères, mais je suis aussi frustré : J’ai l’impression d’avoir comme bégayé dans mon chemin. Je suis reparti avec plus de pudeur et d’hésitations que dans ma première séance féminine, mais en plus sans oser avancer frontalement. Il y a encore du chemin.
Comme pour la précédente séance, vous avez les textes ici, mais les différents albums sont aussi publiés directement sur Flickr, annoncés sur Twitter.
Je tente les mêmes positions mais les allongés me donnent immédiatement un ressenti différent pour les hommes. Là où il y a de la sérénité, de la beauté ou même de la séduction chez la femme, le corps masculin prend immédiatement une connotation de force. Allongé il devient soit agonisant soit survivant.
Comme pour les précédentes, je remarque après coup que j’ai privilégié une vue de dos, encore une fois. Il y a tout un chemin à faire, et une représentation à déconstruire. Finalement le sujet est bien plus intéressant que je ne l’ai perçu au départ.
J’ai commencé mon parcours photo au téléobjectif, à faire des portraits tellement serrés qu’il manquait le front et le menton. J’en fais encore mais je commence à m’autoriser les plans plus larges, en intégrant l’espace autour pour créer quelque chose de différent. Je n’en n’avais pas réellement conscience et voir ce cadrage – conçu ainsi lors de la prise de vue – m’a fait un bien fou à l’égo.
Quelle position avec un homme ? Quels sont les reliefs intéressants, les courbes pertinentes ?
Rien que l’absence des courbes de la poitrine a totalement changé mes repères. Je me suis reparti sur le dos, peut-être pour éviter la question sans m’en rendre compte. Je suis reparti comme de zéro.
Je crois que c’est le sujet qui revient le plus cette année. Pourquoi uniquement des femmes ? – Par facilité, parce que c’est plus proche de ma bulle de confort, probablement.
Je voyais moins d’hommes prêts à accepter, et moi-même avais bien plus de barrières à faire tomber pour oser me confronter à la nudité masculine. Ma gêne est encore là vis à vis des hommes alors qu’elle a sensiblement réduit vis à vis du corps féminin.
La représentation du nu masculin est aussi plus rare, voire plus tabou. Je me pose la question de ce que je peux montrer d’un homme, alors que je ne me la suis pas posée pour les modèles femmes.
L’idée même de cette différence de traitement me gêne, mais elle ne peut disparaitre sans l’affronter directement. Le changement ne pouvait venir que de moi.
Maintenant que la séance précédente est publiée, voici quelques photos d’un premier essai différent.