PIB, crois­sance, bonheur, mais surtout écolo­gie

J’avais déjà abordé la ques­tion des gestion­naires. Aujourd’­hui je m’in­té­resse à deux critères au niveau poli­tique : Le bonheur des gens et l’éco­lo­gie. En fili­grane derrière je parle d’iné­ga­lité, de soli­da­rité, d’édu­ca­tion, de services publics, d’in­fra­struc­tures, de mutua­li­sa­tion, de règle­men­ta­tion dras­tiques sur la pollu­tion et de réduc­tion de la consom­ma­tion d’éner­gie.

C’est certai­ne­ment ridi­cule et tota­le­ment naïf pour ceux qui promeuvent une vision écono­mique, mais je ne vois pas une seconde comment deman­der plus de travail à du person­nel soignant en hôpi­tal qui se dit épuisé et qui a déjà une duré de vie ampu­tée de 7 ans à cause de ça.

J’ai deux vidéos à vous montrer. La première n’est qu’une intro­duc­tion mais est impor­tante. Dites-moi en sortant de la seconde comme vous pouvez ne pas tout centrer sur le bonheur et l’éco­lo­gie ?

* * *

Bref, en ce moment des candi­dats qui parlent bonheur et écolo­gie, il n’y en a pas 150 malheu­reu­se­ment. S’il n’y en a aucun de parfait, il y en a par contre plusieurs qui ne s’en préoc­cupent qu’à la marge, ou dont ce n’est pas la prio­rité assu­mée.


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Commentaires

Une réponse à “PIB, crois­sance, bonheur, mais surtout écolo­gie”

  1. […] que comme indicateur le PIB lui-même est discutable… Ne nous laissons pas […]

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