les DRH français qui estiment que [la] nécessaire optimisation [des coûts] devance le maintien d’un bon climat social, la GPEC ou l’amélioration de la performance.
En seconde place [des priorités des entreprises […] le développement de la productivité des salariés, autre recette d’optimisation ; loin devant la gestion des compétences rares et l’innovation qui nécessitent des enveloppes budgétaires…
A contrario, hors de France, c’est bien le climat social, l’innovation et la gestion des compétences rares qui figurent au rang de priorité des dirigeants alors que logiquement pour les DRH monde la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences et le management de la performance constituent l’essentiel de leur feuille de route.
Sur les échos, grand journal communiste.
Je ne sais pas si ça mérite un commentaire, mais je trouve que ça reflète bien et l’état d’esprit ici, et le fossé qu’on a vis à vis des anglo-saxons.
Laisser un commentaire