Rental America: Why the poor pay $4,150 for a $1,500 sofa

At Buddy’s, a used 32-giga­byte, early model iPad costs $1,439.28, paid over 72 weeks. An Acer laptop: $1,943.28, in 72 weekly install­ments. A Maytag washer and dryer: $1,999 over 100 weeks.

[…]

They were perpe­tually behind with their Buddy’s install­ments and had taken to skip­ping one week and then catching up, with a $5 late fee rolled in. To make matters worse, those payment trips to Buddy’s put them eye to eye with more temp­ta­tions. One week, they added a smart­phone to their order. Another week, some Samsung spea­kers. And suddenly, the weekly payments to Buddy’s were $110.

Je suis certain que nombreux sont ceux qui s’ar­rê­te­ront au premier niveau, critiquant la gestion finan­cière de ces familles dans le besoin.

Je vous invite à au moins passer au second niveau, à réflé­chir sur cette société qui fait vivre en loca­tion, à crédit tout son tiers le plus pauvre.

Là où ça commence à titiller, c’est au troi­sième niveau, où on se rend compte que le tiers riche qui détient le capi­tal fait payer une vie sous loca­tion au tiers le plus pauvre, et que ce tiers le plus pauvre la paye en réalité deux ou trois fois plus cher qu’il le devrait.

Et si les maga­sins qui font un busi­ness de l’ex­ploi­ta­tion des plus pauvres étaient quelque part respon­sables ?

Il y a tout un système qui exploite les plus pauvres, au béné­fice des plus riches, se défaus­sant de leur respon­sa­bi­lité sous l’au­tel du « on ne les force pas à ache­ter ou à prendre crédit » – ce qui est certes vrai, mais qui ne recouvre qu’une seule facette de la situa­tion.

In 2008, Buddy’s had 80 stores. Now it has 204. By 2017 it wants to have 500. Gazzo said that company reve­nue is rising at double-digit levels annually, even as it contends with a new wave of rent-to-own Web sites.

À lire sur The Washing­ton Post


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