Je croyais l’avoir déjà gravé ici, désormais ce sera fait.
Je l’avais effectivement déjà écrit en mars :
Il ne sert à rien de comparer les violences. Les unes ne justifient jamais celles des autres. Les violences ne s’annulent pas l’une l’autre, elle s’additionnent.
Ça fonctionne avec n’importe quels préjudices, n’importe quelles actions malveillantes, n’importe quelles trahisons, …
Les maux ne s’annulent pas les uns les autres, ils s’additionnent entre eux.
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