Le sujet du billet lui-même est vaste, et je n’ai pas forcément de valeur ajoutée à en parler ici, mais le titre lui-même m’interpelle. Il est réutilisable dans plus d’un contexte, et je crois qu’il reflète très bien mon état d’esprit fréquent.
Le jour où les bisounours mordront les vautours … à force d’excès, n’est peut être pas si loin.
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