Je tiens au « juste, nécessaire et proportionnée » plutôt que « juste, nécessaire ou proportionnée ».
On ne peut pas justifier quelque chose uniquement parce qu’« il le mérite », « c’est sa faute » ou « il n’avait qu’à pas […] » et autres « il fallait y penser avant ».
On ne devrait pas plus justifier la réaction par l’éventuelle douleur d’une victime ou par le préjudice créé initialement. Faire le mal ne réparera jamais le passé. Les maux s’additionnent et ne s’annulent pas l’un l’autre.
Si ce n’est pas nécessaire ou que ce n’est pas proportionné, c’est juste un problème supplémentaire. Rappel lié : Quand on parle de personnes, de leurs actions ou de leur travail, on juge sur les intentions ainsi que les efforts ou les moyens déployés, pas sur les résultats.
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