J’avais déjà relayé ici un article sur le sujet, avec un avis un peu plus tranché. Voilà un autre billet, qui aborde la problématique sans prendre vraiment parti personnel : La circoncision, la religion, et les droits de l’enfant
Ouvrir la porte aux interrogations sur les atteintes physiques imposées à de très jeunes enfants pour des motifs religieux ce n’est certainement pas s’en prendre aux religions. Le risque majeur, en refusant tout débat, est de légitimer par avance et par principe des pratiques « religieuses » autrement plus agressives et dangereuses que la circoncision.
Dans les pays démocratiques, il existe donc bien des limites aux pratiques religieuses.
A chacun de se faire sa propre opinion sur l’endroit où se situent ces limites.
Mais il ne saurait être question d’interdire le débat.
Laisser un commentaire