For years, Google’s mission included the preservation of the past. […]
In the last five years, starting around 2010, the shifting priorities of Google’s management left […] archival projects in limbo, or abandoned entirely.
On parle de la plus grande archive Usenet de l’époque, de Google Books qui tentait de scanner tous les livres de la planète pour archive, ou de la News Archive qui gardait des historiques de presse ayant jusqu’à 200 ans d’ancienneté.
Two months ago, Larry Page said the company’s outgrown its 14-year-old mission statement. Its ambitions have grown, and its priorities have shifted. […]
As it turns out, organizing the world’s information isn’t always profitable. Projects that preserve the past for the public good aren’t really a big profit center. Old Google knew that, but didn’t seem to care.
Tout est dans le titre : Never trust a corporation to do a library job.
The Internet Archive is mostly known for archiving the web, a task the San Francisco-based nonprofit has tirelessly done since 1996, two years before Google was founded.
Archives du web, mais aussi audio et vidéo diverses, musiques, films, enregistrements TV, livres et même vieux logiciels.
Le problème c’est que notre société a tendance à considérer que tout doit être rentable, que si ça a un intérêt de le faire alors ça doit pouvoir être vendu et géré par une société privée. Même l’État se désintéresse au fur et à mesure de ses missions légitime en calculant la rentabilité financière des projets.
Nous faisons de l’archéologie pour connaitre notre passé, mais jetons notre présent au lieu de l’archiver, alors que c’est techniquement faisable, et politiquement souhaitable.
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