Tran­sports fran­ci­liens – Pourquoi le pire est à venir

C’est ainsi que le RER A, la ligne 1 du métro ou la ligne 9 (orien­tées est-ouest, elles aussi) atteignent des taux de satu­ra­tion invrai­sem­blables, avec cinq ou six voya­geurs debout au mètre carré le matin dans un sens, puis le soir dans l’autre. En milieu d’après-midi ou un dimanche, il n’y a aucun problème pour trou­ver une place assise sur ces mêmes lignes.

La situa­tion est égale­ment critique sur les lignes de RER B et C ainsi que sur les lignes de Tran­si­lien J, U et L. S’il s’agis­sait de trans­port de bétail, ces rames contre­vien­draient chaque semaine aux recom­man­da­tions euro­péennes, qui préco­nisent de ne pas dépas­ser les 235 kg de mammi­fères au mètre carré…

— Que Choi­sir

Tran­spor­ter des dizaines de milliers de personnes d’un côté à l’autre chaque jour va vite avoir ses limites. Rien de neuf, mais ça va s’ag­gra­vant.


Publié

dans

,

par

Étiquettes :

Commentaires

Une réponse à “Tran­sports fran­ci­liens – Pourquoi le pire est à venir”

  1. Avatar de Stéphane Deschamps

    « Meuh » comme dirait Karl.

    (Je ris un peu mais c’est pour cacher la consternation.)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *