On parle de droit d’auteur, d’héritiers qui exploitent les oeuvres des grands-parents et qui n’ont qu’un gros porte-monnaie, ou au contraire qui bloquent toute réutilisation et toute vie à l’oeuvre, mais il existe d’autres types de relations des héritiers avec l’oeuvre des parents.
Tolkien, l’anneau de la discorde, c’est un article de Le Monde à lire absolument, tant pour l’histoire que pour apprécier le travail d’un journaliste quand il cherche à ne pas faire qu’un entrefilet.
Et quand bien même on en sort avec un sentiment mitigé, ne serait-ce pas là l’exemple d’un bon équilibre entre l’auteur, ses héritiers, l’oeuvre, les exploitations de divertissement et le public ?
Une réponse à “Tolkien, l’anneau de la discorde”
Les mythologies (quand elles le deviennent vraiment) n’appartiennent plus à leurs auteurs. On ne le saura jamais car nous ne vivrons pas assez longtemps pour cela. On ne sait pas non plus ce qu’a été le présent des anciennes mythologies (Edda, Mahabharata, etc.) au niveau politique, commercial, etc.