Je vous laisse lire l’article sur le combat d’une journaliste dénonçant des dérives et des juges dénoncés par cette journaliste, que ce soit à raison ou à tort. Le fond ne m’est pas assez profondément connu pour que je le commente. Il est intéressant en lui-même et je ne veux pas vous détourner de ce qu’il exprime. Je me permets toutefois deux hors-sujets partiel :
- L’outrage est de plus en plus un jugement arbitraire de ceux qui agissent au nom de la loi. On voit beaucoup de dérapages dans les outrages réclamés par les policiers. On voit ici que finalement le problème est éventuellement diffamatoire, peut être un sérieux abus de liberté d’expression, mais probablement pas un outrage. Quand bien même cela en sera un dans les textes (ce qui serait douteux), il s’agirait d’un fait par trop arbitraire à première vue.
- Mais ce qui dérange beaucoup c’est finalement que celui qui juge est celui mis en cause, du moins à ce que j’en lis dans l’article. Et ça, dans quel État de droit est-ce possible ? Là il y a forcément un problème indéniable.
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