On peut le juger irresponsable, même si le cas est loin d’être celui de la Grèce (il s’agit de la dette d’un établissement bancaire privé et pas celle de l’État), je ne peux m’empêcher de repenser à chaque fois à la maxime « ils ne savaient pas que c’était impossible, ils l’ont fait ».
Les pays pauvres sont complètement assujettis aux pays riches par la dette. Ces derniers sont complètement assujettis aux banques et organismes de crédit, qui eux même sont financés par de la monnaie virtuelle ou des aides des États.
Au final tout le monde est écrasé par des intérêts et dettes à rembourser, sur une part franchement importante du budget. Sans ces dettes nous aurions bien moins de problèmes. Au point où nous en sommes nous savons que nous n’en sortirons pas avant la prochaine révolution : Il faudra plus de temps pour rembourser totalement les dettes que n’a d’ancienneté aucun de nos systèmes politiques.
Au final ils ne sont que quelques uns à en profiter. On peut les appeler les banquiers, mais le terme est impropre. Disons qu’ils sont les détenteurs du capital, souvent rentiers par héritage.
Et si nous envisagions les solutions impossibles ? Elles sont probablement une mauvaise idée, mais elles valent le coup d’être mises sur la table. Le risque n’est peu être pas si grand : Référendum en Islande : seconde torgnole à la finance mondiale
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