Pour le paie­ment, les Austra­liens choi­sissent les empreintes digi­tales

Le numé­rique et les nouvelles tech­no­lo­gies relèvent encore du fantasme pour certains. Ils ont plus l’im­pres­sion de vivre dans la science fiction qu’a­vec les réali­tés.

Pour le paie­ment, les Austra­liens choi­sissent les empreintes digi­tales. C’est génial, on a l’im­pres­sion de vivre dans le futur, mais c’est peut être le seul avan­tage. Qui s’est posé la ques­tion des contraintes à vali­der ?

Les empreintes digi­tales ça se vole et ça se fausse sans avoir une équipe qui s’ap­pelle Mission Impos­sible. La sécu­rité réelle est loin de ce qu’on imagine. Les empreintes digi­tales ce n’est pas pérenne non plus. On peut s’abi­mer le doigt : C’est souvent tempo­raire mais parfois perma­nent ou régu­lier. Oh, et on peut se servir de votre doigt après vous avoir donné un bon coup sur la tête.

Le système de code secret n’est pas parfait non plus mais il a quelques avan­tages. Ceux qui font de la haute sécu­rité avec biomé­trie asso­cient toujours cette biomé­trie avec un système de code secret.

Plutôt qu’en­vi­sa­ger le progrès tech­no­lo­gie comme un rêve de science fiction, et si nous nous occu­pions à résoudre les vrais problèmes de tous les jours ? Par exemple permettre de payer par carte les petits paie­ments, ou permettre à chacun de rece­voir des paie­ments par carte sur son compte bancaire sans avoir à monter un site de commerce élec­tro­nique avec des abon­ne­ments bancaires bien chers. Savoir si on utilise du NFC, de la biomé­trie ou un code secret, c’est fina­le­ment un faux problème.


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