No, e-book sales are not falling, despite what publi­shers say

Il y a des éditeurs qui font volon­tai­re­ment un prix numé­rique supé­rieur au prix papier pour leurs livres, prétex­tant la défense des libraires et les faibles ventes numé­riques. Quand je dis qu’ils sont en train de se tirer une balle dans le pied…

But that’s only half the story. Accor­ding to the figures from Author Earnings — which are based in part on regu­lar samples of Amazon sales data — what’s really been happe­ning is that the market share of esta­bli­shed publi­shers has been decli­ning, while sales of inde­pen­dently publi­shed e-books have been growing. In parti­cu­lar, sales of books that don’t even have indus­try stan­dard ISBN numbers have increa­sed.

extrait du maga­zine Fortune

Ça se passe aux États-Unis, où faire payer plus cher le numé­rique que le papier serait inima­gi­nable, mais où les prix des livres des gros éditeurs sont en train de remon­ter.

Bref, en propo­sant une offre inadap­tée, on habi­tue simple­ment auteurs et lecteurs à se passer des gros éditeurs. Quand vous les enten­drez appe­ler à la défense du droit d’au­teur face au numé­rique et à la baisse des ventes, repen­sez-y. Ce sont peut être simple­ment eux qui tournent une page, perdant leur quasi mono­pole pour deve­nir un modèle parmi d’autres possibles.


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