And here’s the #1 lesson from my experience: If you are a small or medium sized publisher don’t have a news app. If you already have one, shut it down. Use your resources to make your mobile web site better.
[…]
Most people spend 80 percent of their time on three apps apps on their phone for 80 percent and, probably, twice as many on their iPads. Here are the apps that most people have room in their life for: Facebook, a music app and then probably some sort of news app. That means there’s a greater chance that they will go to their favorite big name news outlet (hint: NYT, WSJ, Guardian, BBC or an aggregator like Flipboard). That’s why app download numbers are not an effective metric.
On rejoint une autre lecture récente : L’essentiel du temps sur mobile est passé sur Facebook et quelques app, toujours les mêmes. Il y a plus de temps passé sur le web mobile que sur le reste des app. En plus de coûter cher, c’est clairement peu pertinent côté stratégique.
Avec l’arrivée des Service Workers, il va y avoir de moins en moins de raisons de passer au natif.
2 réponses à “Lessons From Five Years in Mobile News Apps: #1 Don’t have a news app”
L’essentiel du temps sur mobile est passé sur Facebook et quelques app, toujours les mêmes, parce que ces applications proposent aux gens ce qu’ils attendent. Incidemment, les entreprises derrières ces applications et ces sites, qui sont loin d’avoir une vocation philanthropique, ont acquis un monopole « de fait » sur la distribution de l’information, et donc le contrôle correspondant avec tout ce que cela implique comme dérive potentielles…
Mais surtout, par rapport au fond de ton billet, cela ne veut pas dire que les gens passent plus de temps sur le web mobile, juste qu’ils se sont enfermés dans un modèle qui leur convient car confortable parce qu’il correspond à leurs attentes en terme de contenu et de coût d’accès par rapport à ce qu’ils sont prêt à y investir en terme de temps et d’argent (et ça en dit très long sur l’Humanité).
L’argument me semble donc peu pertinent pour militer en faveur du web mobile, car de ce que je comprends, cette technologie n’a pas plus sa place dans l’univers de l’utilisateur que les applications natives, puisque cet univers est globalement occupé par Facebook et quelques autres applications majoritaires et privilégiées de par leur fonction et leur intérêt.
Je dirais donc que la technologie mis en œuvre n’a que peu d’importance, il faut surtout que le contenu et le modèle économique soient pertinent pour que la sauce prenne.
Et cette recette est vieille comme le monde…
Mais… c’est bien tout l’objet de la question. Le langage de programmation est de peu d’importance. On parle bien d’avoir un seul média, sans installation, avec une prise de tête minimale, y compris côté sécurité, et des liens qui rendent tout ça simple.