Réflexion à partir d’une lecture sur le web :
In 2006, it was reported that the FBI had deployed spyware to infect suspects’ mobile phones and record data even when they were turned off. The NSA may have resorted to a similar method in Iraq, albeit on a much larger scale by infecting thousands of users at one time. Though difficult, the mass targeting of populations with Trojan spyware is possible—and not unheard of. In 2009, for instance, thousands of BlackBerry users in the United Arab Emirates were targeted with spyware that was disguised as a legitimate update. The update drained users’ batteries and was eventually exposed by researchers, who identified that it had apparently been designed by U.S. firm SS8, which sells “lawful interception” tools to help governments conduct surveillance of communications.
Rien de neuf, malheureusement. Il y a dix ans, avant même les smartphones, la règle lors de réunions de gestion de projet chez des contructeurs de téléphone portable était « téléphones sur la table, batterie détachée ». Non, ce n’était pas à cause des interruptions potentielles.
La différence c’est qu’ils craignaient probablement l’espionnage industriel. Aujourd’hui c’est de notre État que vient la menace de surveillance. Ceux qui devraient nous protéger deviennent la menace principale. L’État garant des liberté était l’âge de la génération précédente. Désormais nous avons bel et bien des États policiers. Aujourd’hui ce sont des États policiers modérés, un peu comme des dictateurs éclairés, mais les digues ont sauté pour demain.
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