Pour couper court avant même de donner le lien : Non, tout n’est pas transposable, tout n’est pas équivalent, et tout n’est pas rose là bas non plus. Maintenant, avec le recul, les leçons de la crise islandaise: laisser les banques faire faillite, n’auraient peut être pas du être évaluées un peu plus sérieusement.
Tout du moins je vous propose la lecture de cet article. Le contenu n’est pas argumenté, n’a pas d’analyse technique, mais au moins peut donner une autre orientation que les promesses de centaines ou milliers de milliards avec lesquels on jongle actuellement.
Je me permets au moins de noter, comme à mon habitude, l’information annexe du document :
« l’Islande a, en fait, augmenté son filet de protection social »
Pendant une crise, ne serait-ce pas naturel finalement ? De notre côté nous diminuons le filet de protection social (qui était, il est vrai, assez haut) à cause de la crise et pour sa résolution. Plus qu’un choix économique, c’est un choix idéologique de laisser pour compte certains afin de régler le problème général. Je ne dis pas que ce choix était le mauvais, mais il serait temps d’arrêter de croire qu’il va de soi.
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