Pour faire suite au billet précédent sur le racisme au quotidien, deux anecdotes valent mieux qu’une, et autant le précédent pouvait passer sous un automatisme trop fort, autant celui là mérite repression.
Avec un compagnon de couleur, jeune mariée, elle découvre toutes ces petites humiliations racistes : On ne sort pas les appareils des vitrines, on présuppose des paiements non honorés, on demande des justificatifs superflus… Si ces anecdotes sont le quotidien, c’est une véritable mis au banc.
Laisser un commentaire