A Fukushima, selon le même dossier, « une zone rouge de 20 km a été délimitée, dans laquelle le gouvernement travaille à la dépollution : nul ne sait quand les quelque 110 000 habitants seront autorisés à rentrer », sans que soit fait mention des vastes zones inhabitables situées à 40 km de la centrale et bien au-delà, et sans que soit rappelé que le critère de définition de la zone de migration obligatoire a été fixé à une dose de 20 millisieverts par an, soit quatre fois plus qu’à Tchernobyl et vingt fois la norme internationale d’inacceptabilité.
Bien entendu, sur ce genre de sujets polémiques, il faut toujours penser à utiliser son sens critique. Certaines informations en apparence scandaleuses peuvent se révéler fausses ou simplement tout à fait légitimes. Tout de même, il faut continuer à lire sans rejeter par principe non plus.
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