J’ai du mal avec la détestation française du manager.
Vous ne pouvez pas savoir combien j’aurai bien aimé, moi avoir quelqu’un a qui remonter mes difficultés, qui puisse m’y conseiller, m’orienter. À qui parler équilibre pro et perso ou évolution long terme dans mon métier. Quelqu’un qui sache me dire ce qui ne va pas mais dans une optique d’amélioration plutôt que dans une optique de reproche.
Vous pouvez appeler ça senior, mentor, référent ou ce que vous voulez. Je l’appelle juste manager. Ça m’a tellement manqué que j’ai voulu le faire pour les autres.
J’ai parfois l’impression qu’en confondant le manager et le mauvais caporal, certains font une prophétie auto-réalisatrice.
Laisser un commentaire