La crèche a, une fois de plus, donné de l’homéopathie à notre enfant de 18mois, sans nous prévenir. Ma réponse: pic.twitter.com/MhEHrfg8NH
— Doc Jedi (@Docjedy) 15 novembre 2016
La crèche a, une fois de plus, donné de l’homéopathie à notre enfant de 18mois, sans nous prévenir. Ma réponse: pic.twitter.com/MhEHrfg8NH
— Doc Jedi (@Docjedy) 15 novembre 2016
Imaginons qu’on nous dise : « Il avait un peu de fièvre, alors on lui a fait des rayons »…
Effectivement, ça passerait moins ainsi :D
L’innocuité, le côté « au pire, ça lui fera pas de mal », de l’homéopathie facilite l’auto-médication, voir la sur-médication (aussi inefficace soit-elle), et peut effectivement pousser les gamins, plus tard, à se gaver de -bonb- cachets.
La mesure est la croyance de notre société actuelle. Pour le reste, je ne cerne pas bien sur quel terrain tu (dé)places tes réflexions : les parents ont un contrat avec une crèche et dans ce cadre, toute médication/soin doit être faite avec l’accord des parents (les considérations de croyances, placebo, etc. n’ont rien à faire là-dedans). Dans le sens inverse également : les personnes de la crèche ne donnent normalement pas de médicament sans ordonnance présentée par les parents.
C’est par ailleurs un très bon moyen de rester ainsi respectueux et à distance des avis-croyances-histoire-etc. de chacun.
Sauf que justement, l’homéopathie est souvent considérée comme « ça ne peut pas faire de mal », en dehors de tout cadre et ordonnance. C’est vu comme « naturel » et « pas un médicament » (ce que je ne conteste pas forcément en soi).
Le message cité parle de la crèche mais c’est vrai ailleurs. N’importe qui hésitera avant de donner une dose de doliprane à mon fils en cas de fièvre, mais on peut lui donner de l’homéopathie sans m’en parler assez facilement à l’école, à un anniversaire, etc.
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