Une équipe de chercheurs de l’université de Washington est parvenue à pirater un robot de chirurgie télécommandé à distance en exploitant plusieurs failles de sécurité, notamment via la connexion Internet qui relie le praticien au robot. S’il faut évidemment renforcer la protection du système, les solutions techniques existantes ne sont pas forcément compatibles avec les besoins de la chirurgie robotique téléopérée.
Le problème c’est que ça ne surprendra aucun informaticien. C’est même quasiment une certitude pour tous ceux là.
Et ça me fait peur que le corps médical puisse découvrir ça, ou que ce type de service ne soit pas sur des liaisons spécialisées, distinctes d’Internet.
À l’heure où les États-Unis créent des virus informatiques pour impacter à distance le programme nucléaire de l’Iran, je n’ose penser à l’arme que ces robots hospitaliers peuvent devenir.
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