Notons aussi que le vote électronique est une boite noire (matérielle et logicielle), que le citoyen n’est pas autorisé à décortiquer. On ne sait pas ce qui a été testé, comment ça a été testé…

En Belgique on a eu le problème suivant : le nombre de bulletins électroniques ne correspondait pas avec le nombre de votants sur la liste d’émargement. Après 3 jours, on a trouvé la cause : insérer plusieurs fois la carte de vote, annuler son vote puis enfin voter faisait bugguer le système.

Le papier, ya que ça de vrai !