Je rejoins l’idée que ça dépend du contexte dans lequel la question est posée et du type d’interlocuteur. À cela peuvent s’ajouter des « tics » de langage, la façon dont nous avons appris à parler en utilisant certaines expressions plutôt que d’autres, et que nous reproduisons sans nous rendre vraiment compte.
Sinon, vulgairement, aujourd’hui, je travaille « dans l’web » (la présentation peut s’arrêter là), chez *** (entreprise), sur un *** (produit).