Typo : « la la »

Pour le reste, je reste sur mon biais de confirmation : le vote blanc n’est qu’un artefact issu du manque de représentativité du scrutin majoritaire. À partir du moment où une personne a la possibilité de s’exprimer sur tout ou partie des candidats (et pas forcément un seul) par un mécanisme qualitatif (vote par approbation, vote par valeurs), alors le vote blanc n’a plus de raison d’être ou plutôt, devient un « je n’approuve personne », ce qui est plus clair et peut être comptabilisé efficacement.