Forcément, à imaginer des taxes sans fondement et des droits à rente pour des catégories spécifiques, ça créé des envieux. La presse et la musique ont tenté de taxer les fournisseurs d’accès Internet, mais Google étant le grand méchant du moment, c’est beaucoup plus simple, et puis il n’est pas français.
La musique veut elle aussi bénéficier de l’instauration d’une taxe Google. Telle est le message délivré jeudi 17 janvier par Pascal Nègre, président d’Universal Music pour la France, l’Italie, le Moyen Orient et l’Afrique.
En ayant ouvert la porte à la presse, quelle légitimité à dire non à l’industrie musicale ? Nos politiques ne se rendent pas compte des impacts à long terme de ce type de bêtise.
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