À noter que répondre « non » n’est pas forcément un drame. On peut très bien soutenir qu’une démocratie parfaite présente trop de risques pour l’intérêt commun.

Même si on considère qu’une démocratie parfaite est souhaitable, on peut la viser tout en étant réaliste sur le fait qu’on n’y est pas encore (et qu’on n’y sera peut-être jamais).

Être réaliste permet surtout de prendre du recul pour réfléchir et savoir ce qu’on veut. Le reste n’est que terminologie.