J’aimerais bien une durée de 20 ou 25 ans à compter de la date de première publication du livre.

Un auteur qui compterait sur la publication d’un seul livre pour le faire vivre toute sa vie, ça n’existe pas. Un qui cesserait d’écrire pendant plus de 20 ans après un succès, encore moins.

Quant aux descendants qui n’ont eu qu’à naître pour profiter des revenus de l’édition de leur aïeul(e) célèbre, je ne vois même pas en quoi ça bénéficie à la société de permettre de telles rentes.