C’est malin.
Maintenant, il est 9:39 du matin, et j’ai envie de gerber.
Excuse moi Éric pour l’étalage de grossièreté qui va suivre : Putain de monde de merde !
Et au passage, je me demande bien comment l’homologue Quatarie aurait fait pour faire tourner son entreprise avec un nombre significatif de salariés en prison car grévistes…
Ils sont tellement imbus d’eux même qu’ils ne savent même plus qui permet à leur entreprise d’exister (ou de survivre, pour certain). Parce que non, ce ne sont pas eux, ou du moins, leur participation est plus que minime en regard de la valeur ajoutée des autres salariés.
Et pourtant, ils empochent bien plus à la fin du mois et traitent ceux qui font le boulot comme de la merde.
Monde de merde, je vous dit !