Pour ma part : le second tour, on verra quand on y sera.

Mais a priori, il est hors de question de donner la moindre voix, et la moindre idée que je donnerai ma voix, au blondinet dont la dernière frasque s’appelle McKinsey. Il a assez joué avec la société française, aux dépens de ladite.
Imaginer lui donner encore un blanc-seing pour détruire encore plus les systèmes d’entraide, les hôpitaux, l’enseignement, tout en enrichissant ses copains, c’est non.

Je n’avais déjà pas voté pour lui en 2017 alors qu’il avait quand même bien réussi à faire croire à plein de gens qu’il amenait avec lui un renouveau politique, voire qu’il était de gauche (bravo, quel talent), cinq ans de sape de notre société ne me le rendent pas plus viable comme option de second tour.

Bref, concentrons-nous déjà pour un premier tour « en conscience ».